Dans un tweet publié le vendredi 5 août, CBS faisait la promotion d’un nouveau film-documentaire Arming Ukraine (Armer l’Ukraine) : « Le nouveau documentaire de CBS Reports explore pourquoi une grande partie des milliards de dollars d'aide militaire que les États-Unis envoient à l'Ukraine n'arrivent pas sur les lignes de front : 30% atteint sa destination », écrivait le média sur Twitter.
« Inonder un pays avec des armes modernes peut entrainer de graves conséquences, même si cela est fait avec les meilleures intentions », pouvait-on lire par ailleurs dans l’article de description du reportage sur le site Internet de la chaine.
Mais depuis, l’article a été mis « mis à jour », selon les termes employés par CBS, et le film supprimé de son site Web au cours du weekend dernier. Faisant face à une avalanche de questions concernant les motivations qui ont sous-tendu cette décision, le média s’en est finalement expliquée sur Twitter.
C’est le menu de cet hiver qui commence du reste en plein mois d’août. Car pourquoi se gêner ? À Madrid les hôtels se vident car on ne peut plus délivrer à la clientèle une chambre à moins de 27° de température. Les amendes démocratiques du gouvernement socialiste peuvent se monter à dix millions d’euros. Comme dit Trotski, si tu veux obéir au capital américain et mettre l’européen à la portion congrue (voyez mon texte), vote socialiste ! Marié au mondialisme, au multiculturalisme et au féminisme mondain, la deuxième internationale ne s’est jamais aussi bien portée, qui contrôle les deux tiers (les deux tiers ou la totalité ?) du parlement français.
Levine, qui est elle-même transgenre et a vécu jusqu’en 2011 en tant qu’homme biologique, a fait ces déclarations lors de son passage dans l’émission « Andrea Mitchell Reports » sur MSNBC.
« 80% des enfants se débarrassent de la dysphorie de genre. Dans le cadre des politiques de « soins d’affirmation du genre » de l’administration Biden, ces enfants peuvent subir des dommages irréversibles. Les « soins d’affirmation du genre » sont de la maltraitance d’enfants. »
Mike Bara est un auteur, conférencier et personnalité de la télévision qui a été un auteur à succès du New York Times pendant plus de 20 ans. Ancien concepteur et consultant en ingénierie pour de grandes entreprises aérospatiales pendant plus de 25 ans, il est devenu un membre à part entière du complexe militaro-industriel avant de se tourner vers l’écriture.
L’un des sujets fréquents de ses livres est la théorie du complot liée aux ovnis et aux extraterrestres. Pourtant, il affirme aujourd’hui que les vidéos filmées par la Navy (souvent appelées Gimbal, Tic-Tac et Go Fast) ne démontrent rien d’exceptionnel et ont été données au public avec des arrière-pensées plutôt sinistres.
Nous avons maintenant la preuve scientifique que les injections d’ARNm Covid-19 peuvent causer le cancer des ovaires, du pancréas et du sein.
La voie de réparation de l’ADN de recombinaison homologue est l’un des mécanismes que le corps utilise pour empêcher vos cellules de devenir cancéreuses en réponse au stress environnemental.
L’un des composants les plus importants de cette voie est la protéine tumorale P53 (p53), la « gardienne du génome ». Il protège nos cellules des dommages cellulaires. Sous le stress cellulaire, p53 entre en action, régulant l’expression des gènes pour contrôler la réparation de l’ADN, la division cellulaire et la mort cellulaire. C’est le gène le plus souvent muté dans le cancer.
Avertissement. Le dossier transmis ici est exceptionnellement documenté et précis. Je le reprends pour enrichir la réflexion et l’hypothèse de travail autour de la transhumanisation des peuples. Toutefois, aussi longtemps que nos autorités sanitaires refuseront de faire procéder à des analyses indépendantes du contenu de fioles contenant les produits à injecter, nous serons incapables d’affirmer si, et dans quelle mesure, la liste des éléments indésirables listés dans ce document ont pollué la production industrielle des injections réalisées depuis une année.
Cette intolérance latente incite les acteurs du secteur des véhicules de loisir aménagés à promouvoir une image plus désirable de leurs utilisateurs, ce qui renforce la marginalisation des plus précaires d’entre eux, à l’image de Nono, dont nous avons suivi la descente aux enfers sur une année. Immersion de l’autre côté d’Instagram.
« la mobilité constitue un moyen d’exprimer un désir de construire un parcours de vie singulier, un devenir, pour des individus tentant d’échapper à une certaine désillusion envers la société dans laquelle ils vivent »
Les nombreuses prédictions du FEM se transforment rapidement en réalité, et ses programmes égoïstes sont, bien sûr, salués comme brillants et nécessaires par ses alliés médiatiques. Par exemple, en février 2021, le magazine Time a insisté sur le fait que nous devrions vraiment manger plus d’insectes pour sauver la planète, et en mai 2021, Bloomberg a annoncé que « L’avenir de l’eau est des eaux usées recyclées, et nous le boirons tous ».
« La tension de la série réside dans le fait que vous savez que le cannibalisme arrive, mais quand ? Et pourquoi ? »
Alors que la loi santé précise qu’une obligation généralisée n’est plus envisageable sans discussion préalable par les députés, le ministre se débrouille pour continuer à nous l’imposer alors que l’épidémie est terminée, les traitements précoces reconnus et l’inefficacité du masque de la population évidente !1,2 SON RÔLE PROPRE EST DÉMASQUÉ.
Constamment réactivée, l’obligation du port du masque provoque un retour du traumatisme. Ce masque n’est pas seulement une fausse protection, mais bien une poursuite de la destruction de notre Humanité, vers le transhumanisme.
Plus grave encore qu’en première analyse :
« L’obligation du port généralisé du masque est emblématique de la gestion de la “pandémie”. Cette contrainte n’est pas de nature sanitaire et témoigne d’un hors sens. C’est un commandement se présentant, en même temps, comme une loi et la destruction de celle-ci. Elle est le passage à l’acte d’une sortie du Politique.
Les raisons de l’obligation peuvent se résumer au fait que, sans elle, il n’y aurait aucun signe manifeste de “l’extrême gravité » supposée de la covid. La centralité du port du masque réside dans le fait, qu’en nous rappelant constamment la « pandémie », la contrainte nous place dans le regard du pouvoir nous confisquant notre intime »
Données provenant de rapports du laboratoire Pfizer et d’études scientifiques indépendantes.
Début 2022, un juge fédéral du Texas a ordonné à la Food and Drug Administration (FDA) de rendre publique, sous huit mois, l’ensemble des données sur lesquelles elle s’est fondée pour homologuer le vaccin Covid-19 de Pfizer. Ce sont des milliers de pages réparties dans de nombreux documents et rapports qui sont maintenant publiées. Le rapport « C4591001 – Clinical Protocol 2020″ est particulièrement intéressant.
Ce rapport évoque que le simple fait de côtoyer une personne vaccinée peut-être la cause d’effets secondaires sérieux pour un individu non vacciné. La transmission se produit par le contact de la peau ou en respirant le même air qu’une personne ayant reçu le vaccin covid-19.
Un collectif de parents s’était rencontré en 2016 et avait ouvert l’école privée et hors contrat en 2018, avec deux salariés à plein temps et une subvention. À son maximum au moment de la crise sanitaire, la classe « multiâge » comptait une vingtaine d’élèves de 3 à 9 ans. La journée, les enfants avaient des temps « d’apprentissage autonome au contact de la nature » et aussi des moments pour apprendre à leur rythme les compétences obligatoires, lecture, écriture ou maths.
« L’enfant passe une ou deux heures à jouer dans la gadoue, et après ses performances en maths sont très bonnes. Je pense que les bonnes hormones, le plaisir et l’enthousiasme, sont vertueuses pour l’apprentissage. Les enfants avaient de très très bons résultats. »
Les confinements successifs, les mesures gouvernementales paradoxales et le contexte socio-économique sont d'autant de facteurs qui ont sonné le ras-le-bol du travail.
C’est aux États-Unis que ce phénomène a d'abord pris de l’ampleur. Le "Big Quit", ou grande démission, qui affecte les entreprises américaines, en est l’incarnation. Près de 48 millions d’Américains ont décidé de prendre le large en 2021. Cette année, les départs continuent de s’accélérer. Selon le département américain du Travail, 4,4 millions de personnes ont déjà donné leur démission en 2022.