- Un vaccin efficace doit ralentir la progression des décès, mais ce n’est pas le cas pour les vaccins « COVID ».
- L’absence d’efficacité est visible à tous les niveaux, de mondial à une classe d’âge en France.
- Les vaccins ne ralentissent pas l’apparition de nouveaux décès mais ils auraient même tendance à l’accélérer.
La première est une maladie grave. Ce n’est pas vraiment le cas pour la COVID puisque les taux de létalité sont, au pire, comparables à ceux de la grippe, et souvent inférieurs, notamment pour les populations de moins de 75 ans.
La deuxième est évidemment l’efficacité du vaccin.
Pour évaluer l’efficacité d’un vaccin, plusieurs méthodes sont possibles comme le calcul de l’efficacité vaccinale (VE). Mais pour faire de tels calculs, il faut connaître la proportion de la population qui est vaccinée mais surtout le statut vaccinal des gens décédés ou hospitalisés en raison du COVID.
Au contraire, les cancers précoces constituent une menace croissante pour la population mondiale, selon un nouveau rapport publié cette semaine dans la revue Nature Reviews Clinical Oncology.
« Au cours des dernières décennies, l’incidence des cancers précoces, souvent définis comme des cancers diagnostiqués chez des adultes de moins de 50 ans… a augmenté dans de nombreux pays », ont constaté les auteurs de l’étude.
Si les auteurs admettent que l’accès accru aux dépistages a contribué à cette hausse, ils affirment que l’exposition précoce à des produits chimiques nocifs, parfois même in-utero, contribue probablement à l’augmentation des taux de cancer. Le coupable, selon eux, est que l’environnement humain a considérablement changé au cours du siècle dernier et que, combiné à des modifications du régime alimentaire, du mode de vie et du microbiome, la cause de cette hausse pourrait bien être la civilisation elle-même.
Rectification : Une polémique a été soulevée, à savoir le texte ci-dessous est-il du général Christian Blanchon ou de Fernando López-Mirones, biologiste ?
Même si j’étais entièrement vacciné, j’admirerais les non-vaccinés pour avoir résisté à la plus grande pression que j’ai jamais vue, y compris de la part de conjoints, de parents, d’enfants, d’amis, de collègues et de médecins.
Les personnes qui ont été capables d’une telle personnalité, d’un tel courage et d’une telle capacité critique incarnent sans aucun doute le meilleur de l’humanité. *
On en retrouve partout, dans tous les âges, niveaux d’éducation, pays et opinions.
Ils sont d’un genre particulier ; ce sont les soldats que toute armée de lumière souhaite avoir dans ses rangs...
« Vous êtes fait de l’étoffe des plus grands qui aient jamais vécu, ces héros nés parmi les hommes ordinaires qui brillent dans l’obscurité. »
Dans l’article précédent, nous décrivons les réseaux sociaux comme un hyper-média, une arme d’espionnage et de propagande convoitée par les États. Une arme dont nous sommes les munitions, par les données que nous laissons.
Nous allons voir comment éviter l’espionnage des réseaux sociaux aussi bien sur leurs plateformes qu’en dehors.
Bien évidemment, le meilleur moyen de ne pas se faire voler les données est encore de ne jamais aller sur les réseaux sociaux. On ne loupe pas grand-chose à se passer de Facebook, Twitter, Instagram ou Tiktok. Toutefois, même en tant qu’utilisateur, on peut limiter la casse.
Éviter le mobile. Une application mobile a davantage de possibilités qu’une simple page web. Si vous acceptez un peu vite les permissions, c’est open bar ! L’app peut analyser vos photos, vos contacts, vos SMS, vos appels, votre position GPS.
Toutes ces choses sont impossibles avec un simple site web. De plus, le site s’arrête une fois l’onglet fermé. Alors que les apps peuvent tourner en permanence en arrière-plan. Mieux vaut donc accéder aux réseaux sociaux par un navigateur web plutôt qu’une application mobile.
Le 2 août, le président Biden a nommé le docteur Demetre Daskalakis au poste de coordinateur adjoint de la Maison Blanche pour la réponse nationale à la variole du singe. Également directeur de la division des CDC pour la prévention du VIH, il a précédemment travaillé au sein de l’administration du maire Bill de Blasio, au département de la santé de la ville de New York.
Daskalakis est connu pour ses efforts dans le monde du VIH et d’autres maladies affectant la communauté LGBTQ+, ayant fréquenté la faculté de médecine de l’Université de New York, suivie d’une résidence, d’une bourse et d’un master supplémentaire à la faculté de médecine de Harvard.
La présence de Daskalakis sur les médias sociaux est pour le moins troublante. Avec son partenaire Michael MacNeal, ils ont lancé une salle de sport « gothique » à New York, qui dépendait à l’origine de la célèbre chaîne de salles de sport Equinox, avant de devenir une marque à part entière basée dans une ancienne boîte de nuit gay qui avait elle-même investi une ancienne église de Manhattan : Monster Cycle.
Les pages des médias sociaux de Monster Cycle sont pleines de références au satanisme, au diable, aux croix enflammées et aux pentagrammes, entre autres. Alors que la salle de sport a bénéficié d’une couverture élogieuse du New York Times (ci-dessous) en 2014, sa critique sur « SweatConcierge » faisait référence à une imagerie « alarmante » et à des vestiaires mixtes « terrifiants ».
S’il faut y voir essentiellement un coup de communication, le chef de l’État prépare surtout les Français à une nouvelle cure d’austérité. Décryptage.
Le président français a d’abord évoqué la fin des « liquidités sans coût » dont il faudra « tirer les conséquence en terme de finances publiques ». Comme prévu, le gouvernement reprend donc son agenda austéritaire. Une nouvelle fois, « la crise » fera office de parfaite excuse pour mettre en place une politique néolibérale. Pour essayer de montrer qu’il n’est pas un idéologue, le président rappelle son plan de solidarité lors de la crise du Covid-19, le fameux « quoi qu’il en coûte ». Toute honte bue, ce plan a largement été instrumentalisé pour tenter de démontrer l’existence d’une fibre sociale dans ce gouvernement. Le ministre de l’économie, Bruno Lemaire, n’a d’ailleurs de cesse de répéter que la France a été la plus généreuse d’Europe lors de cette crise.
Aussi riches qu'ils soient, tous ces gens vont mourir dans d'horribles souffrances, par ce qu'ils n'ont pas d'empathie, pas de spiritualité, ce sont des matérialistes athés, et ils devraient toutes et tous lire Jean....
En tant qu'humaniste qui écrit sur l'impact de la technologie numérique sur nos vies, on me prend souvent pour un futurologue. Les personnes les plus intéressées à m'engager pour mes opinions sur la technologie sont généralement moins préoccupées par la création d'outils qui aident les gens à vivre mieux dans le présent que par l'identification de la prochaine grande chose qui leur permettra de les dominer dans le futur. Je ne réponds généralement pas à leurs demandes. Pourquoi aider ces types à ruiner ce qui reste de l'internet, et encore moins la civilisation ?
La nature est bien faite. Le fait même d’éprouver un sentiment de répulsion à l’endroit d’une chose n’est jamais le fruit du hasard. Ainsi, si la plupart d’entre nous est contre la légalisation du mariage homosexuel, cela n’est pas par homophobie à l’endroit de la personne concernée (l’homosexualité cachée et en privée, même si elle demeure un très grave péché, ne dérange au fond que peu de monde), mais bien plutôt parce que nous savons intuitivement que la «normalisation-universalisation» absolue de l’homosexualité mettrait en péril la reproduction de l’espèce (puisque les gays, en effet, ne peuvent pas se reproduire entre eux). Quand l’être humain rejette spontanément une chose, c’est qu’en général cette chose n’est pas bonne pour lui. Ce principe, qui fonctionne d’ailleurs également pour les espèces animales, est à la base de l’évolution (attention, cela ne fait pas de moi un partisan de Darwin, loin s’en faut…)
Car oui, vous n’y couperez pas : vous aurez peur de manquer de chaleur, de nourriture, de lumière. Vous aurez peur que l’Europe soit irradiée ou qu’un conflit nucléaire éclate.
Nos élites nous rappellent, par leur incroyable talent prévisionniste, que gouverner c’est prévoir, vous allez voir ce que vous allez voir.
D’ailleurs, on a vu : ayant su prévoir – avec un brio inégalé – que la France pourrait largement se passer de nucléaire grâce à sa batterie de moulins à vent et de petits panneaux solaires, nos formidables politiciens arrivent à présent et très progressivement à la conclusion que les premiers mois de 2023 pourraient être marqués par autant de tensions dans les rues qu’il n’y en aura plus aucune dans les câbles EDF.
Cela fait un an que Emmanuel Macron a annoncé l’une des mesures les plus honteuses de ces dernières décennies : la vaccination obligatoire pour le personnel soignant. Surtout depuis que l’on sait, de source officielle, que le « vaccin » n’empêche pas la transmission du virus… En leur donnant la parole, nous avons décidé de rendre hommage à notre manière à ces citoyens qui refusent de s’injecter un traitement en phase expérimentale pour conserver leur emploi.
Les soldats ukrainiens n’ont jamais eu la moindre chance de résister à la puissance de l’armée russe. Pas la moindre. Cela était évident dès le début de la guerre. Il est illogique que le gouvernement ukrainien et ses partisans aient tenté de résister à cet assaut.
L’« Occident » aurait dû abandonner et faire les concessions que la Russie avait exigées. Il devra les faire de toute façon.
Toutes les installations de cet éco-lieu sont conçues pour économiser l’eau au maximum, ne pas produire de déchets, se chauffer au bois, utiliser de l’électricité obtenue par des panneaux solaires et un fournisseur d’énergies renouvelables. La flore est laissée à l’état sauvage et les animaux peuvent entrer et sortir librement de l’éco-lieu. Un gîte proche de la nature et respectueux de la planète.
Pascale Nottaris est une femme qui a décidé de créer un gîte proche de la nature et respectueux de l’environnement. Une façon de lutter contre le tourisme de masse en proposant des vacances engagées, et un nouvel écolieu à recenser en France. Près de Saumur, dans la région du Val de Loire, elle a créé le gîte du Bois Davy. Situé en plein milieu de la forêt, cet éco-lieu est s’étale sur 11 hectares. Orienté vers l’éco-tourisme, il propose des logements insolites comme des cabanes dans les arbres ou des couchages sous un toit transparent, des emplacements de camping ainsi que quatre bâtiments principaux où peuvent loger des visiteurs à l’année.