Les soldats ukrainiens n’ont jamais eu la moindre chance de résister à la puissance de l’armée russe. Pas la moindre. Cela était évident dès le début de la guerre. Il est illogique que le gouvernement ukrainien et ses partisans aient tenté de résister à cet assaut.
L’« Occident » aurait dû abandonner et faire les concessions que la Russie avait exigées. Il devra les faire de toute façon.
Toutes les installations de cet éco-lieu sont conçues pour économiser l’eau au maximum, ne pas produire de déchets, se chauffer au bois, utiliser de l’électricité obtenue par des panneaux solaires et un fournisseur d’énergies renouvelables. La flore est laissée à l’état sauvage et les animaux peuvent entrer et sortir librement de l’éco-lieu. Un gîte proche de la nature et respectueux de la planète.
Pascale Nottaris est une femme qui a décidé de créer un gîte proche de la nature et respectueux de l’environnement. Une façon de lutter contre le tourisme de masse en proposant des vacances engagées, et un nouvel écolieu à recenser en France. Près de Saumur, dans la région du Val de Loire, elle a créé le gîte du Bois Davy. Situé en plein milieu de la forêt, cet éco-lieu est s’étale sur 11 hectares. Orienté vers l’éco-tourisme, il propose des logements insolites comme des cabanes dans les arbres ou des couchages sous un toit transparent, des emplacements de camping ainsi que quatre bâtiments principaux où peuvent loger des visiteurs à l’année.
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Une émission dirigée par Clémence Houdiakova
Réalisation : Franck et Arnaud
Production audio : Franck
Journalistes et programmation : Emmanuelle, Corentin, Valentin et Louis
Les marchés américains étant fermés hier pour la fête du travail, toute l’action s’est déroulée en Europe – et étant donné que Nord Stream 1 a été fermé et que la Commission européenne a proposé des réglementations de type économie de guerre, et que la Russie a ensuite clairement indiqué qu’à moins que les sanctions à son encontre ne soient levées, aucun gaz ne circulera *jamais* à nouveau par Nord Stream 1, il n’est pas étonnant que les Eurostoxx aient baissé et que l’euro soit passé sous la barre des 0,99 pour la première fois en 20 ans, alors que le mouvement de démolition du dollar se poursuit.
L’Amazonie : 390 milliards d’arbres, plusieurs millions d’espèces d’insectes, un nombre incalculable d’oiseaux, de mammifères et de reptiles, pour certains encore inconnus de l’être humain. Un trésor de biodiversité qui, malheureusement, s’effondre. Selon un rapport publié le 6 septembre par un regroupement d’organisations environnementales amazoniennes (RAISG) et la Coordination des organisations indigènes du bassin amazonien (Coica), la forêt pluviale a atteint son « point de bascule ». Certaines zones commencent déjà à se transformer en savane.
A côté des ré-étiquetages multiples des maladies respiratoires habituelles il y a toutes les fraudes des médecins générées par les incitations financières au ré-étiquetage y compris lorsqu’il ne s’agissait pas d’affections respiratoires ou carrément d’assassinats (Rivotril, sur ordonnance ministérielle) ou soins inadaptés promus par les labos (Remdésivir etc…).
Comme le montre une nouvelle étude, une certaine oxydation se produit également à l’intérieur : le nettoyage chimique qui se produit par l’intermédiaire des radicaux hydroxyles (OH) – des espèces réactives de courte durée dont le rôle est d’oxyder d’autres molécules – est dû à une combinaison d’ozone provenant de l’extérieur et des champs d’oxydation que nous créons autour de nous.
Les scientifiques ont découvert que, dans certains cas, les niveaux de radicaux OH à l’intérieur sont comparables aux niveaux diurnes à l’extérieur. En d’autres termes, nous sommes des machines à réaction chimique qui marchent et respirent, ce qui a des répercussions sur la qualité de l’air intérieur et la santé humaine.
Toute donnée qui contredit le récit du changement climatique causé par l’homme est entourée d’une machine à opinion qui soit rejette l’information, soit l’occulte dans un déluge de propagande sur le réchauffement climatique, inoculant au lecteur, bien avant qu’il n’ait la chance de digérer la nouvelle, que le changement climatique n’est peut-être pas si évident que cela.
Chaque fois que des températures élevées sont signalées aux États-Unis ou en Europe, la nouvelle est extrapolée par les médias et donne lieu à des théories délirantes d’apocalypse climatique, mais l’histoire météorologique suggère que la panique est fabriquée plutôt que justifiée.
S’il est incontestable que la liberté a un prix encore faut-il analyser où et par qui la liberté est menacée, qui sont les responsables des atteintes à cette liberté, qui en sont les défenseurs et finalement quel en est le prix et qui doit payer.
Oui votre responsabilité engagée dans cette crise et votre faute est énorme.
Nous prenant pour des débiles mentaux profonds ou des séniles précoces, il nous a expliqué qu’en coupant toutes les veilleuses de nos appareils électriques, nous pouvions économiser 15 % de notre consommation. Faux, nous économiserions alors 2 à 3 %.
Le même nous a expliqué qu’en remplaçant nos lampes traditionnelles par des lampes à économie d’énergie, nous pouvions économiser 30 à 35 % d’énergie. Faux c’est de 4 à 5 % que l’on peut économiser.
Il est temps d’arrêter de nous rabâcher tous les soirs à la météo « c’est bon pour la planète », parce que là, on ne sait plus trop où est le bien et le mal, et on va finir par penser que ceux qui donnent des conseils sont, en plus d’être malhonnêtes ou incompétents, les plus dangereux.
Billet de Markku Siira.
Le président russe Vladimir Poutine est désormais considéré sans rire en Occident comme le plus grand mal de la planète, comme le nouvel Hitler, etc. Si vous ne dénigrez pas la Russie ou ses dirigeants, vous êtes immédiatement étiqueté « poutiniste » et « antipatriotique ». La dissidence et la remise en question du récit officiel de l’OTAN soutiendraient les objectifs de Poutine.
Dans ses discours, Poutine a pris position contre l’élite occidentale. Au cours des six derniers mois en particulier, le président russe a parlé ouvertement du fait que les politiciens démocratiquement élus ne gouvernent pas en Occident, mais que le véritable pouvoir est exercé par « l’élite mondialiste occidentale », en d’autres termes, par un petit cercle de banquiers centraux et de grands investisseurs.
Or il s'avère que comme Pékin, Washington, Londres et Bruxelles, Moscou répète le même mantra onusien de « développement durable », de « changement climatique », de numérisation et de nécessité de combattre la « pandémie » avec des vaccins.
Trois de ces tentatives pour gagner du terrain détenues par les troupes russes ont échoué. Un axe a été arrêté après avoir pris quelques petits villages sans valeur stratégique. La seule attaque « réussie » a traversé la rivière Inhulet près d’Andriivka en direction du barrage et de la traversée de la rivière qui ferme le réservoir de Kakhovka.
Le plan était fou au départ. Toute la région est une steppe plate et ouverte. Les troupes auraient dû créer un couloir de 50 kilomètres (30 miles) de long à travers des terres hostiles non protégées, sans abri ! Les agglomérations sur le chemin sont pour la plupart des mini-villages agricoles à une ou deux rues avec des maisons à un étage qui offrent peu de protection. Les forces ukrainiennes n’ont aucune capacité de défense aérienne ou d’attaque aérienne pour couvrir l’avancée des troupes. Leurs capacités d’artillerie représentent un dixième de ce que l’armée russe peut fournir dans la région.
Il était évident dès le début qu’il s’agissait d’une mission suicide.