On a vu que BlackRock et Vanguard, possèdent à la fois Big Pharma et la grande majorité des médias de masses.
Les « nouvelles » télévisées sont constamment interrompues par des publicités présentant les derniers médicaments proposés par Big Pharma, puisque c’est Black Rock et Vanguard qui décident tout et qui tiennent à vous laver le cerveau en permanence…
Leur couverture collective des événements mondiaux s’articule toujours et en permanence autour de la même propagande mensongère.
Black Rock a dernièrement englouti des biens immobiliers à un prix bien supérieur au prix demandé. C’est une des raisons pour lesquelles les prix de l’immobilier n’ont jamais été aussi élevés. « C’est une redistribution de la richesse, et ce n’est pas la richesse des riches qui est redistribuée », a tweeté le compte @APhilosophae. « C’est la classe moyenne américaine normale, la richesse du sel de la terre qui se dirige vers les mains des entités et des individus les plus puissants du monde. Le véhicule financier traditionnel a disparu pour toujours. »
En réalité, BlackRock et Vanguard sont, comme on l’a déjà vu, la propriété de quelques grandes familles qui font pression pour un Nouvel Ordre Mondial et il semblerait qu’elles soient sur le point d’atteindre leur objectif par la destruction des systèmes financiers mondiaux, l’accaparement de tous les biens immobiliers, et prochainement l’abolition totale de la propriété privée.
Immédiatement après que la preuve de l’explosion des gazoducs a été apportée, tout le monde (y compris moi-même) a avancé sa théorie sur le coupable.
Nombreux sont ceux qui, par réflexe, pointent du doigt les déclarations de Joe Biden et de Victoria Nuland concernant la suppression du gazoduc Nordstream 2 avant que la guerre en Ukraine n’éclate. Mais, et alors ? Pourquoi avoir attendu sept mois pour mettre cette menace à exécution ? Et pourquoi se débarrasser en même temps de Nordstream 1 ?
L’argument repose sur l’idée que les États-Unis sont désormais un État voyou entièrement contrôlé par des néoconservateurs qui y voient l’occasion de faire d’une pierre deux coups sur le plan géopolitique, en entrant en guerre contre la Russie tout en reprenant la domination sur une Europe vassale.
C’est en effet le sentiment qui prévaut dans l’ensemble des médias alternatifs anti-américains. De Pepe Escobar à Bernard de Moon of Alabama, l’empressement à faire le lien entre le mobile (Escobar) et les moyens (MoA) est assez convaincant.
Cependant, je ne suis pas d’accord...
Alors que certaines personnes banalisent ce geste, ce refus est tout sauf banal. Il est au cœur de ce que nous sommes, de ce que nous faisons, de ce que nous voulons faire et de ce que nous voulons être.
Nous saurons le 29 novembre prochain lors de la rentrée parlementaire à Québec s’ils pourront y siéger ou non ; s’ils pourront faire le travail pour lequel ils ont été choisis ou non.
À force de laisser Kiev faire tout ce qu’elle veut, même les pires crimes de guerre et actes terroristes, l’Occident encourage l’Ukraine à continuer à jouer avec le feu, au risque de provoquer un désastre qui dépasserait les frontières du pays.
Le 23 octobre 2022, le ministre russe de la Défense s’est entretenu par téléphone avec les ministres de la Défense des États-Unis, de la France, du Royaume-Uni et de la Turquie. Sergueï Choïgou a abordé la situation en Ukraine, et a surtout fait part des inquiétudes de la Russie sur d’éventuelles provocations de l’Ukraine avec l’utilisation d’une bombe sale (bombe conventionnelle entourée de matériaux radioactifs qui seront dispersés lors de l’explosion).
Le lendemain, le chef des troupes de protection contre les risques NRBC (Nucléaires Radiologiques Biologiques et Chimiques) russes, le lieutenant général Igor Kirillov, a tenu une conférence de presse sur le risque d’une provocation de l’Ukraine à l’aide d’une bombe sale. Le but étant d’essayer d’isoler Moscou sur la scène internationale en faisant passer la Russie pour un état terroriste ayant eu recours à l’arme nucléaire contre un pays qui n’en est pas doté.
Mais à mon sens ce n’est pas le seul but recherché tant par Kiev, que par Londres, Washington, ou même Bruxelles. Une provocation à la bombe sale permettrait à l’Ukraine de sécuriser le soutien occidental en matière d’armes et d’argent, en renforçant la propagande anti-russe présente en Occident, et en servant de diversion aux tensions sociales croissantes qui deviennent problématiques en Europe.
Malgré leur défaite cuisante subie lors de leurs dernières attaques sur le front de Kherson, les forces ukrainiennes, poussées par un régime de Kiev lui-même pressé par Washington, semblent vouloir lancer une nouvelle offensive contre cette ville stratégique située sur l’embouchure du Dniepr, espérant la conquérir avant l’arrivée de l’Hiver qu’annoncent depuis quelques jours des pluies automnales de plus en plus froides.
La menace qui pèse aujourd’hui sur les populations de Kherson est double : à la fois l’offensive potentielle des forces ukro-atlantistes qui ne manqueront pas de bombarder la ville, et d’autre part la destruction possible du barrage hydro-électrique de Kakhovka qui déclencherait une inondation du secteur.
Les auteurs d'une étude évaluée par des pairs publiée mardi mettent en garde contre les risques d'exposition aux rayonnements de la technologie 5G et affirment que leurs recherches montrent que les limites d'exposition existantes pour les rayonnements sans fil sont inadéquates, dépassées et nuisibles à la santé humaine et à la faune.
Les auteurs d’une étude évaluée par des pairs publiée mardi mettent en garde contre les risques d’exposition aux rayonnements de la technologie 5G et affirment que leurs recherches montrent que les limites d’exposition existantes pour les rayonnements sans fil sont inadéquates, dépassées et nuisibles à la santé humaine et à la faune.
La Commission internationale sur les effets biologiques des champs électromagnétiques (ICBE-EMF) a mené cette étude, qui a été publiée dans Environmental Health.
« De multiples études humaines robustes sur le rayonnement des téléphones cellulaires ont révélé des risques accrus de tumeurs cérébrales, et celles-ci sont étayées par des preuves claires de la cancérogénicité des mêmes types de cellules que celles trouvées dans les études animales. »
Elon Musk devrait prendre les clés de Twitter d’ici la fin de la semaine prochaine, après une série de batailles juridiques, de prises de bec en ligne et de négociations complexes. Quel que soit le propriétaire de la plateforme, le géant des médias sociaux semble prêt à procéder à des coupes sombres dans ses effectifs.
C’est ce qui ressort d’un nouveau rapport du Washington Post, qui a enquêté sur le rachat de Twitter au moyen d’un certain nombre d’entretiens et de documents obtenus. M. Musk aurait déclaré à des investisseurs potentiels que son rachat de l’entreprise impliquerait le licenciement de près de 75 % des 7 500 employés de Twitter. En réponse à cette information, le principal avocat de Twitter, Sean Edgett, a envoyé un courriel aux employés jeudi pour leur dire que l’entreprise n’avait pas prévu de licenciements, rapporte Reuters.
Musk et Twitter souhaitent tous deux conclure l’accord d’ici le 28 octobre, à l’issue d’une période de négociation controversée qui s’est étalée sur plusieurs mois.
Menacée par Ursula Von Der Leyen dès l’annonce de son élection à la tête de l’Italie, Giorgia Meloni, cheffe de file du mouvement Fratelli d’Italia (Union des Droits), a capitulé en nommant dans son gouvernement des personnalités pro-européennes et un ministre de la Santé favorable au maintien du Pass Sanitaire, une mesure sanitaire que le nouveau gouvernement avait pourtant menacé de faire sauter. Sur les réseaux sociaux, les électeurs de Meloni ne cachent pas leur immense colère.
L’expert a noté qu’un rôle important dans les événements qui se déroulent en Ukraine est joué par les moyens de reconnaissance aérienne américains, à savoir les avions de contrôle de combat E-8 Joint STARS et de désignation de cibles. Ces avions sont équipés de radars qui permettent de suivre jusqu’à 600 cibles au sol simultanément. Ils enregistrent les mouvements des troupes russes et transmettent à l’armée ukrainienne des données sur leur emplacement, leur vitesse de déplacement et leur direction.
Le réseau de reconnaissance aérienne de l’OTAN comprend de nombreux types d’aéronefs différents, en plus du E-8 dont on se souvient, il comprend E-3 AWCS, EC-135, RQ-4B. Ils patrouillent la partie nord de la mer Noire et la frontière avec la Roumanie avec la Pologne. Ils sont combinés en un seul réseau, à travers lequel les données reçues sont envoyées aux stations au sol situées en Ukraine. L’expert estime que la destruction des communications entre les forces armées ukrainiennes et la reconnaissance aérienne de l’OTAN est une cible secrète des frappes russes sur les infrastructures ukrainiennes. Il y a quelque temps, j’ai reçu un message démontrant que ces actions ont déjà porté leurs fruits.
« Dans un communiqué de presse daté du 18 octobre, le représentant du ministère russe de la Défense Igor Konashenkov a déclaré que les forces armées russes avaient détruit la station de communication spatiale du Centre de communication du gouvernement ukrainien, situé dans la région d’Odessa », a déclaré Valentin Vasilescu.
Écrit en 2020 pendant l’état d’urgence sanitaire, « le grand virage de l’humanité » annonçait déjà que la société de contrôle numérique, qualifiée de « foutur », vers laquelle ces mesures semblaient nous conduire, était en train de disparaître au profit d’un nouveau futur qualifié de « futé lumineux », sur la base de l’observation de « traces du futur » dans les évènements ayant précédé la crise.
Dans ce dernier futé lumineux, l’homme s’éveille enfin à la véritable nature de sa réalité et apprend à se relier à plus grand que lui, non pas dans une démarche religieuse mais plutôt spirituelle et laïque, par une connexion retrouvée avec son âme et son esprit. Cela se produit d’autant plus vite que la vraie science finit par admettre les fondements rationnels de ces deux derniers concepts spirituels, comme l’explique ce livre en seconde partie.
Où en est-on aujourd’hui ?
Lors de l’assemblée générale annuelle du Parti conservateur uni, ce samedi 22 octobre 2022, une journaliste de Rebel News, Selene Galas, a demandé au nouveau Premier ministre de l’Alberta — province de l’Ouest du Canada — si elle s’excuserait auprès des personnes non vaccinées qui ont été intimidées par le gouvernement.
La réponse de Danielle Smith est sans détour : « Je peux m’excuser maintenant. Je suis profondément désolée pour toute personne qui a été victime de discrimination de manière inappropriée en raison de son statut vaccinal, je suis profondément désolée. Pour tout employé du gouvernement qui a été licencié de son travail, en raison de son statut vaccinal, et je souhaite son retour s’il veut revenir. »
Loin de s’arrêter en si bon chemin, le Premier ministre dit vouloir accorder une amnistie à tous les Albertains accusés d’infractions du confinement.
« Ce ne sont pas des choses normales pour lesquelles on peut recevoir des amendes et être poursuivi en justice. Je vais examiner l’éventail des amendes en suspens et obtenir un avis juridique sur celles que nous pouvons annuler et amnistier […] Nous devons revenir à l’attitude selon laquelle il faut se faire vacciner pour se protéger. (Mais) nous devons nous éloigner de cette attitude qui consiste à diaboliser ceux qui font un choix différent. »
La Chambre disciplinaire considère que le Pr Perronne, au regard de sa qualité d’infectiologue internationalement reconnu avait « l’obligation de s’exprimer dans le domaine qui relève de sa compétence », durant la crise du COVID.
Son avocat, Me Thomas Benages, résume les décisions rendues par la Chambre disciplinaire :
Le 13 septembre dernier le Pr Christian Perronne était entendu par la Chambre disciplinaire de première instance d’Île de France de L’Ordre des médecins suite à deux plaintes déposées en 2020, par le Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM), et par le Dr Nathan Peiffer-Smadja.
Le Conseil national de l’Ordre des médecins considérait que le Pr Perronne avait violé le code de la santé publique en s’étant exprimé dans la presse nationale, sur les réseaux sociaux, et dans un ouvrage en mettant « gravement en cause des confrères ayant pris en charge un membre de sa famille ou ayant participé à des décisions sanitaires des pouvoirs publics », et d’une manière générale, en n’ayant pas apporté son concours aux actions de santé publique mise en place par le gouvernement. Il lui était par ailleurs reproché d’avoir dénigré les « politiques de santé publique » mises en place durant la crise du Covid.
Le Dr Nathan Peiffer-Smadja estimait, pour sa part, avoir été attaqué personnellement par le Pr Perronne sur la valeur scientifique de ses publications, au regard des propos tenus par celui-ci dans les médias ainsi que dans le documentaire « Hold-Up ».