Et ce n’est pas tout : la mise en œuvre est déjà en cours. Un message qui nécessite des nerfs solides.
L’historien militaire israélien Yuval Noah Harari est auteur et professeur à la faculté d’histoire de l’Université hébraïque de Jérusalem. Des personnalités telles que Barack Obama, Angela Merkel, Emmanuel Macron et Sebastian Kurz, qui font appel à lui comme source d’inspiration et comme conseiller, font l’éloge de cet homme. Klaus Schwab, le fondateur du Forum économique mondial (FEM) et auteur du livre « Covid-19 : La Grande Réinitialisation » (« Covid-19 The Great Reset »), décrit Yuval Noah Harari comme un brillant futurologue. Lors de ses interventions au Forum économique mondial en 2018 et 2020 ou au Forum de la démocratie d’Athènes en 2020, Harari a parlé du développement technologique et de ce qu’il signifie pour la société, la politique, la religion et l’idéologie.
Dans ses conférences, il rappelle régulièrement qu’il est désormais possible, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, d’observer et de suivre des personnes à tout moment et en tout lieu. À une vitesse très élevée, les algorithmes de l’IA traitent d’énormes quantités d’informations et ont le potentiel de tout mémoriser et de reconnaître dans les données des modèles pour des analyses liées à la personnalité.
« Un système qui nous comprend mieux que nous nous comprenons nous-mêmes peut prédire nos sentiments et nos décisions, peut manipuler nos sentiments et nos décisions et il peut finalement prendre des décisions à notre place. »
Beaucoup appellent Tang Yu « femme-robot », mais vous n’aurez aucune chance de la voir déambuler dans les couloirs de NetDragon Websoft, où elle « travaille » pourtant depuis 2017, puisqu’il s’agit d’une humanoïde virtuelle. En revanche, sur les réseaux, elle saura analyser des données et donner des directives 24 h sur 24, sans aucun salaire.
« La nomination de Mme Tang Yu traduit notre engagement à adopter pleinement l’utilisation de l’IA pour changer la façon dont nous exploitons notre entreprise et, en fin de compte, pour stimuler notre croissance stratégique. »
Avec près de 347 millions de tests positifs déclarés en dix mois de 2022 dans une population mondiale de 8 milliards d’habitants qui avait déjà reçu 9,2 milliards de doses de vaccin en 2021, on réalise que la contamination n’a jamais été réduite par le vaccin, bien au contraire, puisqu’elle a été 4 fois plus importante en 2022 sur des populations vaccinées qu’en 2020 sans vaccin. Qui ne connaît pas parmi ses proches des gens double ou triple vaccinés qui ont attrapé le Covid en 2022 ?
Le slogan « Tous vaccinés, tous protégés » était donc un énorme mensonge répété ad nauseam par les politiques et leurs relais médiatiques.
La grande majorité des contaminations et des décès de l’année 2022 l’a été dans des pays très vaccinés d’Europe et d’Amérique du Nord (voir les détails dans les tableaux qui suivront). L’Europe est d’ailleurs restée l’épicentre de l’épidémie depuis plus d’un an, sans discontinuer, ce qui est la preuve que la stratégie du tout vaccinal n’y a pas fonctionné. Elle ne compte que 9,5% de la population mondiale mais déclare encore, la semaine dernière, 47% des tests positifs et 51% des décès enregistrés sur la planète. C’est un fait difficilement contestable, même par les « déconneurs » du Monde ou de Libération qui ont réponse à tout.
Alors que la population qui a voté pour le président Jair Bolsonaro accuse le TSE de fraude, la FFAA promet de livrer un rapport plus tard dans la journée. Des informations en coulisses affirment que divers types de fraude ont été documentés, les rapports contiennent des preuves des trois dernières élections. Le Brésil attend, la tension continue.
Le débat ne se limite pas qu’à Pôle emploi et à la CAF, il va bien au-delà.
Dans cet épisode de « Toujours debout », notre quotidienne politique et culturelle Nadiya Lazzouni reçoit sur son plateau, Bastien Le Querrec et Benoît Piedallu, tous deux membres de l’association de défense des libertés numériques, La Quadrature du Net.
L’association vient tout juste de sortir un livre : « Internet et libertés : 15 ans de combat de la Quadrature du Net » (Éditeur : Vuibert). Un livre riche qui fait le point sur une évolution préoccupante : au départ un espace précieux de liberté, Internet est devenu aujourd’hui un territoire d’expérimentation de tous les systèmes de surveillance de masse, de ce que la Quadrature du Net appelle la technopolice, de la censure et de la publicité ciblée.
Avant de revenir sur cette dernière publication, Nadiya Lazzouni et ses invités commenceront par évoquer des articles de La Quadrature du Net proprement glaçants. Ces derniers dépeignent la France de 2022 où les technologies de contrôle social étant déjà réalité, à l’image du modèle chinois visant les personnes les plus précaires.
Des dispositifs nanoélectroniques basés sur l'ADN synthétique sont bien embarqués dans les vaccins Pfizer et Cie... Bien que non mentionnés dans la composition du vaccin, en raison d'un vide juridique probablement entretenu (La législation n'a pas évolué depuis 20 ans), ces dispositifs sont inoculés à l'insu des personnes « vaccinées ».
Petit récapitulatif sur les adresses MAC bluetooth des injectés, les nanorouteurs et nanoantennes, l'oxyde de graphène, les nano-poulpes ou hydres...
Date de sortie, en streaming le 21 novembre 2022 sur le site de Stew Peters : https://www.stewpeters.com/
00:00 Censure généralisée. VPN obligatoire.
05:35 Nouvelles économiques. Coopérations sino-russes.
07:46 Le paradis énergétique russe.
10:38 Loyauté à la polonaise.
11:05 Les milliardaires quittent le navire.
13:43 Carte des opérations militaires.
22:52 Zelenski et le piège de Kherson.
24:35 Bombardements stratégiques russes.
27:20 Discours de Poutine à Valdaï.
30:20 Les trois phases de l'opération spéciale.
La Cour suprême du Brésil a annulé les procès dans lesquels Lula a été condamné, l’a fait sortir de prison et a contesté les élections. Pendant la campagne électorale, il l’a quand même aidé en lui donnant plus d’avantages que Bolsonaro. Il a créé une loi de censure ici au Brésil qui interdit à quiconque, y compris aux médias, de parler du fait que Lula est un ancien détenu, et est même allé jusqu’à ordonner l’arrestation des personnes qui désobéissent. Puis, lors des élections, ils ont trafiqué les urnes électroniques, qui ne sont pas techniquement sécurisées, et ont élu l’ex-taulard Lula. Maintenant, les gens sont dans les rues de toutes les villes du Brésil pour demander une intervention militaire. Les camionneurs ont fermé les routes et ne laissent personne entrer ou sortir des villes. Demain est la date limite et ils ont 72 heures pour arrêter Lula où il y aura une guerre civile au Brésil.
Les camionneurs et les agriculteurs travaillent ensemble pour s’opposer à la sélection du criminel corrompu Lula.
Le badge bleu certifié indique aux utilisateurs l’authenticité d’un compte d’intérêt public. Alors que la certification des comptes Twitter ne pouvait être obtenu que par les personnalités, il sera possible au commun des mortels d’en bénéficier. Le propriétaire de Tesla et de SpaceX assure que le prix de l’abonnement — annoncé à 8 euros par mois — sera ajusté en fonction des pays et de leur niveau de vie. Voici les avantages de la certification :
- Les tweets apparaîtront en priorité.
- Possibilité de publier de longues vidéos et enregistrements audio.
- Deux fois moins d’annonces.
- Les revenus générés par Twitter permettront de rémunérer les créateurs de contenu.
« Le système actuel de seigneurs et paysans de Twitter en fonction de qui a ou n’a pas un badge bleu est une connerie. Pouvoir au peuple ! Bleu pour huit dollars par mois »
Emmanuel Macron avait jugé que les très contrôlés YouTube, BFMTV, Facebook & Cie étaient largement suffisants pour informer les Français. Or, tandis que notre information est de plus en plus limitée à des communiqués officiels, des publicités pour Pfizer et des jeux débiles, entre-temps Elon Musk a rouvert des comptes supprimés sur Twitter et viré les dirigeants qui avaient supprimé le compte de Trump après sa défaite aux élections. Un air de liberté anti-démocrate — du nom d’un parti américain fort peu démocrate — qui ne plaît guère à la macronie déjà fragilisée par les révélations de Pfizer sur ses vaccins.
Panique des démocrates à la veille des élections de mi-mandat, obéissance stricte aux ordres de BlackRock (Larry Fink a été un des premiers chefs d’entreprise reçus à l’Élysée en 2017) ont fait prendre une décision ouvertement dictatoriale.
Les activités du corps expéditionnaire américain, qui est resté dans le pays pendant 18 mois, ont depuis longtemps disparu des livres d’histoire aux États-Unis, mais les Russes considèrent toujours cet incident comme un nouvel exemple de l’intervention incessante des États-Unis dans les affaires de leurs voisins. Le fait est que les élites de Washington se sont toujours mêlées des affaires de la Russie malgré les fortes objections de Moscou. En fait, un grand nombre d’élites occidentales pensent non seulement que la Russie devrait être divisée en unités géographiques plus petites, mais aussi que le peuple russe devrait se réjouir d’une telle issue. Les dirigeants occidentaux de l’anglosphère sont tellement consumés par leur orgueil démesuré et leur sentiment aveugle d’être dans leur bon droit qu’ils croient sincèrement que les Russes ordinaires aimeraient voir leur pays divisé en petits États qui resteraient ouverts à l’exploitation vorace des géants pétroliers occidentaux, des sociétés minières et, bien sûr, du Pentagone. Voici comment le cerveau géopolitique de Washington, Zbigniew Brzezinski, résume la situation dans un article de Foreign Affairs.
« L’objectif de l’Occident est d’affaiblir, de diviser et finalement de détruire notre nation. Ils déclarent ouvertement que, puisqu’ils ont réussi à briser l’Union soviétique en 1991, il est maintenant temps de diviser la Russie en de nombreuses régions distinctes qui se disputeront les unes les autres. »