Stades climatisés et à usage unique, « navettes » en avion pour se rendre aux matchs… La Coupe du monde au Qatar, qui se déroule du 20 novembre au 18 décembre, jette une lumière crue sur les dérives écologiques du sport business et de ses grandes messes : les compétitions continentales et internationales.
Dans leur sillage, les émissions de gaz à effet de serre explosent, notamment en raison des déplacements en transport aérien. La Fédération internationale de football association (Fifa) évalue celles du Mondial au Qatar à 3,6 millions de tonnes équivalent CO2, autant que les émissions de l’Islande et du Monténégro pendant un an. Les précédentes éditions en Russie, au Brésil et en Afrique du Sud étaient déjà désastreuses, avec des émissions supérieures à 2 millions de tonnes équivalent CO2.
Ces chiffres, sous-estimés et difficiles à appréhender, représentent une contribution concrète et palpable aux dérèglements du climat.
« Ces évènements rassemblent des centaines de milliers de personnes venant du monde entier qui, pendant quelques semaines, voyagent et consomment, sur des sites parfois tout juste sortis de terre »
Cette demande à l’encontre des deux enseignes de la grande distribution fait suite au constat que l’absence de personnel dans certains magasins ouverts le dimanche contraignait les clients à régler leurs courses à des caisses automatiques.
La Banque de France a rappelé aux groupes de grande distribution Carrefour et Casino leur obligation d’accepter les paiements en espèces dans l’ensemble de leurs magasins, a indiqué mercredi le directeur des activités fiduciaires Christophe Baud-Berthier. Un rappel qui intervient quand il a été constaté que l’absence de personnel dans certains magasins ouverts le dimanche obligeait les clients à se diriger vers des caisses automatiques ne permettant pas le paiement en pièces et billets.
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En tablant sur deux facteurs favorables majeurs :
a. La corruption institutionnelle systémique qui assure une docilité et une absence d’esprit critique au sein de la « communauté scientifique » : ses membres ne veulent surtout pas avoir d’ennuis avec leur hiérarchie ni avec les milieux privés dont il est aujourd’hui exigé qu’ils participent au financement de la recherche, de l’enseignement et de la pratique médicale hospitalière. Se faire « mal voir » de ces partenaires obligés est un luxe qu’à peu près plus personne ne peut se permettre sans en pâtir de lourdes conséquences. Sous les gloussements ravis des politiques, trop heureux de voir ainsi prospérer les « partenariats public-privé » si au goût du jour et soulageant commodément les finances publiques…
b. La très répandue ignorance des mathématiques. Dès lors que des formules alambiquées et savantes sont mises en avant, le 98% des lecteurs des articles (médecins, experts, chercheurs, scientifiques) sont en réalité incapables de comprendre ce dont il s’agit et évidemment encore moins de porter une contradiction éclairée.
Ignorance et complaisance combinées forment un cocktail aussi redoutable pour l’intelligence individuelle et collective que le glycérol et l’acide nitrique !
Certes, l’image est terrible, mais l’image ne permet pas de gagner des guerres. La stratégie, le courage et la puissance de feu font gagner les guerres. Le général russe Sergueï Sourovikine semble avoir compris ce fait, c’est pourquoi il a pris la décision impopulaire de battre en retraite.
Sourovikine aurait pu faire le choix politiquement plus acceptable et défendre Kherson jusqu’au bout, mais les risques étaient bien supérieurs aux avantages. Au dire de tous, les 25 000 soldats russes présents dans la ville auraient facilement pu être encerclés et anéantis par l’artillerie ukrainienne. En outre, Sourovikine aurait été contraint d’engager davantage de troupes dans une mission de sauvetage qui n’aurait pas fait progresser la stratégie militaire globale de la Russie le moins du monde. L’objectif immédiat de la Russie est d’achever la libération du Donbass, une tâche qui n’est pas encore terminée et qui requiert davantage de troupes qui étaient bloquées à Kherson.
« Si quelqu’un de l’extérieur s’immisce en Ukraine, il doit le savoir : S’ils créent des menaces pour nous… nous riposterons immédiatement. Nous avons tous les outils dont nous avons besoin pour répondre, et toutes les décisions sur ce (sujet), ont déjà été prises. »
Et c’est tellement vrai, tellement évident qu’une récente tribune du Monde revient sur ce qui est maintenant un but affiché de l’écologie de combat, à savoir la réduction active de l’Humanité.
Peu importe que les dernières projections raisonnables montrent une réduction naturelle drastique (plus de 50%) de la population d’ici 2100 ; pour les activistes malthusiens du climat, pas de doute : éliminer rapidement une partie de la population constituerait une vraie solution pour lutter contre un réchauffement climatique qu’ils continuent de voir dans des phénomènes disparates et à l’aune de prophéties plus ou moins catastrophistes pourtant régulièrement repoussées (nous devions tous mourir brûlés ou noyés en 2000, puis 2010, puis 2020 puis … bientôt, promis juré craché).
Selon l’humoriste et commentateur politique Russell Brand, les débats sur la récente acquisition de Twitter par Elon Musk ont fait rage entre les défenseurs de la liberté d’expression qui se réjouissent de cette opération et les démocrates néolibéraux qui s’inquiètent de voir un seul milliardaire contrôler la plateforme.
Dans sa dernière vidéo, Russell Brand soulève des questions sur les plans de Musk pour Twitter qu’aucun des deux camps ne pose.
Brand fait valoir que le paysage médiatique a changé. Aujourd’hui, de nombreux journalistes et personnalités des médias sont de plus en plus opposés à la liberté d’expression.
Elle commence durant la Première guerre mondiale, se poursuit durant la Seconde, la Guerre froide et continue aujourd’hui dans l’Ukraine moderne. De nombreux documents ont été détruits et l’Ukraine moderne interdit sous peine de prison d’évoquer leurs crimes. Il n’en reste pas moins que ces gens ont massacré au moins quatre millions de leurs compatriotes et ont conçu l’architecture de la solution finale, c’est-à-dire l’assassinat de millions de personnes au motif de leur appartenance réelle ou supposée aux communautés juives ou tsiganes d’Europe.
Comme la plupart des analystes et des commentateurs politiques occidentaux, j’ignorais l’existence des néo-nazis ukrainiens jusqu’en 2014. Lors du renversement du président élu, je vivais alors en Syrie, j’ai cru qu’il s’agissait de groupuscules violents ayant fait irruption sur la scène publique pour prêter main-forte aux éléments pro-Européens. Cependant, depuis l’intervention militaire russe, j’ai découvert progressivement quantité de documents et d’informations sur ce mouvement politique qui représentait, en 2021, un tiers des forces armées ukrainiennes. Cet article en présente une synthèse.
Le groupe de campagne pour la protection de la vie privée Digital Rights Ireland a demandé une enquête sur la collecte de données sur la consommation d’électricité par les compteurs intelligents d’ESB Networks. Le groupe affirme que la société semi-étatique recueille plus de données que ce dont elle a besoin à des fins de facturation et que les clients ne sont pas conscients de la collecte de données.
L’installation des compteurs intelligents a commencé en 2020 et a été installée dans plus de 800 000 foyers. L’objectif est de remplacer tous les compteurs par des compteurs intelligents d’ici 2024.
Le mois dernier, ESB Networks a reconfiguré les compteurs intelligents pour collecter des données détaillées toutes les demi-heures. Ces données sont stockées dans une base de données centralisée. DRI affirme que les clients n’ont pas consenti à cette collecte de données. Le groupe s’interroge également sur la base juridique de la collecte de données et demande à la Commission de protection des données (DPC), organisme de surveillance de la vie privée, d’enquêter.
Collectif IEF 35 - Bretagne, Académie de Rennes - Défendre le droit à l'instruction en famille pour tous
Initialement créé par des familles d’Ille-et-Vilaine suite à l’annonce de la loi « séparatisme » visant à interdire de fait l’IEF, le Collectif IEF 35 regroupe aujourd’hui des familles de toute la Bretagne désireuses de soutenir la lutte pour la liberté d’instruction.
Le Collectif IEF 35 – Académie de Bretagne organise depuis octobre 2020 des actions de protestation et de mise en lumière de l’IEF, interpelle les politiques et élus sur l’arbitraire de cette nouvelle loi et échange directement avec l’Académie afin d’exprimer les difficultés rencontrées par les familles, garantir le respect lors des contrôles pédagogiques et le traitement le plus équitable possible des demandes d’autorisations sur notre territoire, tout en œuvrant pour le retour au régime déclaratif.
« Une épidémie électrosensible, c'est-à-dire que les gens deviennent intolérants aux ondes. C'est comme une intolérance alimentaire. Vous pouvez utiliser une arme à micro-ondes de manière collective sur des groupes de soldats, c'est ce qu'a fait la Chine pour récupérer 150 km2 dans l'Himalaya ; éventuellement ça peut être projeté sur des opposants et des dissidents politiques aussi ».
Pierre-Gilles Bellin