Ce projet avance. Nous publions aujourd'hui la version "conceptuelle" de ce texte, qui doit entrer en négociation avec les Etats à partir de février 2023.
Ce texte d’une grosse trentaine de pages devrait donc être discuté, si l’on en croit l’OMS, en février 2023.
On notera qu’il pose quelques principes très mondialistes.
En voici le contenu...
Malgré ce flop monumental, cette défaite historique de l’idéologie dite dominante, ou qui le croit, la presse aux ordres, comme un poulet sans tête, continue à défendre une injection qui fait peur, et à raison, aux populations qui ont eu un an pour en voir les effets nocifs. Tous ceux qui sont morts, tous ceux qui ont été touchés par les effets secondaires des trois premières injections ont été comme des bombes qui ont frappé l’esprit des sceptiques, et même des provax. Cela a réveillé les consciences. Et il fallait malheureusement en passer par là pour que les Français reprennent leurs esprits. C’est chose faite : si seulement 10 % des plus de 60 ans ont accepté de recevoir cette dose de rappel dite bivalente, alors, pour les 90 % restants, ce sera plus dur, très dur de les traîner vers les médecins qui gagnent 25 à 45 euros (le week-end !) par shoot. Les salles de shoot, elles sont là et elles sont vides !
Aujourd’hui, rachetée de nombreuses fois et reprise en main par différents directeurs artistiques, chaque fois moins talentueux que les précédents, comme le veut notre époque chaque jour un peu plus médiocre, la société Balenciaga est au centre d’un énième scandale.
Ce n’est pas la première fois que l’on relie élite, personnel politique ou people à la pédocriminalité. Que l’on se rappelle les affaires Podesta/Clinton, le Pizzagate, les affaires Epstein ou encore – géographiquement plus proche de nous – les enfants du juge Roche, l’affaire Luc Ferry, ou les mœurs douteuses d’un Frédéric Mitterrand ou d’un Pierre Bergé.
Après la crise économique de 1929, le monde entier était convaincu, à juste titre, que le capitalisme d’alors était fini. L’Union soviétique, seule, proposait une alternative, le bolchévisme. Bientôt les États-Unis en imaginèrent une seconde, les réformes structurelles du New Deal, puis l’Italie promut une troisième solution, le fascisme. Les grands capitalistes anglo-saxons choisirent de soutenir un nouveau régime, proche du fascisme, le nazisme. Ils pensaient que l’Allemagne attaquerait l’URSS, préservant ainsi leurs intérêts aussi bien menacés par les collectivisations bolchéviques que par les réformes économiques US. Cependant rien ne fonctionna comme prévu puisque l’Italie, l’Allemagne et le Japon formèrent l’Axe avec leur propre logique et que la guerre ne fut pas enclenchée contre les Soviétiques, mais contre les grandes fortunes qui la préparèrent.
Dans l’imaginaire collectif, nous ne tenons pas pour responsables les grands capitalistes anglo-saxons qui soutinrent le nazisme à ses début. Au contraire, nous nous souvenons des peuples britannique et états-unien comme ayant participé à la victoire.
Au cours de ce podcast en direct animé par des personnalités indépendantes du monde des médias et de la société, suite à la publication des « Twitter Files » la semaine dernière, Elon Musk a été interrogé par un groupe important de détenteurs de coches bleues sur une variété de sujets relatifs à la plateforme de réseau social.
Le milliardaire de la technologie a été interrogé sur son plan pour gérer les bots sur Twitter 2.0. Les bots représentent 50 % du trafic internet mondial.
« Je vais vaincre les bots », a-t-il déclaré, « C’est une guerre, et nous allons la gagner. »
« Nous allons démasquer ceux qui veulent manipuler les gens », a-t-il ajouté.
Il a expliqué que les bots agissaient « de concert », mais il a l’intention de développer un logiciel qui lui permettra de contrôler l’influence des bots.
« Ces outils logiciels n’ont pas été écrits, mais nous les ferons », a-t-il dit.
L’ivermectine a été saluée comme un « médicament miracle » et, selon le rapport mondial sur la science de l’UNESCO, comme un élément essentiel de « l’une des campagnes de santé publique les plus triomphantes jamais menées dans le monde en développement ».
Cependant, depuis le début de la pandémie de COVID-19, les National Institutes of Health (NIH) et les autorités sanitaires affiliées ont vivement recommandé de ne pas utiliser l’ivermectine comme traitement potentiel du virus.
• Bien que la Food and Drug Administration (FDA) ait approuvé l’utilisation de l’ivermectine chez l’homme pour le traitement des maladies causées par des parasites, elle a également insisté sur le fait que l’ivermectine « n’a pas été démontrée comme étant sûre ou efficace » pour le traitement du COVID-19.
Le médecin naturopathe suisse George Della Pietra estime que les gens du monde entier devraient être libres de choisir de se faire injecter ou non le vaccin contre le COVID-19.
Il estime qu’il devrait en être de même pour les personnes recevant des transfusions de sang « vacciné ».
« Le problème est qu’à l’heure actuelle, nous n’avons pas le choix », a déclaré Della Pietra, fondateur du service à but non lucratif Safe Blood Donation en 2021, qui met en contact des receveurs de sang non vaccinés avec des donneurs dans 65 pays.
Il y a actuellement une pandémie électrohypersensible. En France par exemple on est à peu près à 5% d'électrosensibles en France et ce pourcentage ne fait que croître ce qui représente plusieurs millions d'individus qui sont intolérants à des basses intensités de champs électromagnétiques. Et c'est la même chose au niveau du monde c'est des centaines de millions d'électrohypersensibles dans le monde.
Ou alors, très vaguement, comme d’une sorte de hold-up plus ou moins légal, dirigé à grande échelle par une minorité d’ultra-riches. De fait, La (Très) Grande Évasion représente sans doute, à ce sujet, le film qui manquait à notre siècle. Un film puissant, étonnamment limpide et exhaustif, s’offrant même le luxe d’un humour incisif, à propos d’un système déloyal qui ne cesse de se prétendre trop technique pour le commun des mortels.
La (Très) Grande Evasion est le nouveau film de Yannick Kergoat, écrit en collaboration avec Denis Robert (lanceur d’alerte dans l’affaire Clearstream) et produit/distribué par Wild Bunch, Le Bureau et La Grande Distribution.
Un film à présenter sans tarder, puisqu’il sera en salles dès ce 7 décembre.
En lutte contre la bétonisation, les opposants dénoncent les potentiels conflits d’intérêts du maire et les intimidations qu’ils subissent.
« C’est Byzance ! » Chaussures de randonnée aux pieds et sourire aux lèvres, Nicolas n’en revient pas de la qualité du sol qu’il arpente avec aisance, malgré les tranchées qui sillonnent la terre. Un terrain situé en bordure de Pertuis, commune de près de 20 000 habitants nichée au sud-est du Vaucluse, à une cinquantaine de kilomètres de Marseille. « Cette ancienne prairie n’a jamais reçu d’intrants et est particulièrement fertile », s’enthousiasme le jeune paysan. Au milieu des calcaires arides, la zone bénéficie notamment d’un avantage de taille : elle est parcourue de canaux du 19e siècle qui lui assurent une irrigation optimale. Alors que la parcelle n’a pas été entretenue depuis l’été, quelques pieds de tomates ont survécu au cagnard et les blettes se portent bien.