Au cours de l’année écoulée, j’ai commencé à utiliser l’expression «la grande inversion» ou, plus simplement, le faux réveil. Je dois encore expliquer pourquoi j’utilise ce terme et ce qu’il signifie exactement, bien que je sois sûr que les lecteurs/téléspectateurs l’ont en grande partie compris maintenant.
Je définis la Grande Inversion comme suit :
«Un faux réveil par lequel les masses d’amoureux de la liberté qui se réveillent régulièrement sont dupées (une fois de plus) et tombent dans le piège de faux héros et messies, et sont furtivement manipulées pour soutenir leur propre asservissement».
Essentiellement, je crois que la montée d’acteurs comme Elon Musk, Donald Trump, Tucker Carlson et d’autres figures fait partie d’un faux réveil en cours où de nombreux amoureux de la liberté à travers le monde se tournent vers ces figures comme la dernière ligne de défense contre la Classe des prédateurs et l’État technocratique.
Malgré les attaques contre Trump et Musk, leurs actions révèlent leur véritable caractère. J’ai largement documenté les façons dont Donald Trump sert le marais et n’est pas un ami de la liberté. Au moment même où j’écris ces lignes, Donald Trump vient d’annoncer que son choix pour la vice-présidence se porte sur J.D. Vance, un sioniste dont l’ascension a été rendue possible grâce aux 15 millions de dollars versés par Peter Thiel, le tristement célèbre «tech bro» de PayPal et de la société de surveillance Palantir, et membre du comité directeur du groupe Bilderberg.
Je sais que cela sera difficile à accepter pour certains à la lumière de la tentative d’assassinat, mais lisez la suite.
Pendant ce temps, Musk promeut les puces cérébrales, le transhumanisme, utilise ses satellites Starlink pour soutenir la guerre en Ukraine et, de manière générale, promeut une vision du monde qui ressemble beaucoup à la 4ème révolution industrielle du Forum économique mondial.
Je pense que le tableau d’ensemble est que la Classe Predator veut que Donald Trump gagne les (s)élections américaines pour créer plus de faux espoirs chez les Américains désillusionnés, les conservateurs et les libertariens qui n’ont pas encore vu ce que Trump représente réellement. À partir de là, nous assisterons à une poussée vers plus de chaos avant que l’ordre ne soit mis en œuvre.
Prenons, par exemple, le récent changement de cap des médias, qui ont appelé Biden à se retirer de la course en raison de son horrible performance au débat. Il est impossible que la Classe des prédateurs, les médias d’entreprise complaisants et les valets du parti démocrate n’aient pas su ce que des millions d’Américains savaient depuis plus d’un an.
Le DNC (et ses contrôleurs) aurait pu écarter Biden depuis longtemps, mais il est plus intéressant et permet de maintenir l’attention du public sur les (s)élections si, tous les deux jours, les gros titres sont : «Va-t-il se présenter ? Va-t-il se retirer ?»
Si Trump remporte l’élection (ce qui semble très probable), les puissances qui souhaitent qu’elles le soient seront en mesure d’apaiser de nombreux amoureux de la liberté qui se sont laissés séduire par la tromperie de Trump et de déclencher à nouveau la colère de la gauche. Nous devrions nous attendre à plus d’émeutes, plus de combats dans les rues et plus d’autoritarisme de la part de l’administration de Trump.
Les grandes lignes de la Grande Inversion
J’ai entendu pour la première fois le terme Grande Inversion de la part d’une créatrice de contenu chrétienne, Probably Alexandra. Bien que je ne partage pas son point de vue chrétien, je pense qu’elle a raison dans son analyse.
À la suite de la tentative d’assassinat, Alexandra a rappelé à ses lecteurs l’existence de TGI :
«Le concept de «Grande Inversion» suggère que les événements sociétaux majeurs sont manipulés ou mis en scène pour créer un récit spécifique ou atteindre certains objectifs. Les incidents violents, en particulier ceux qui impliquent des personnalités importantes, suscitent la peur et l’incertitude au sein de la population. Cette peur peut être exploitée pour introduire de nouvelles politiques, renforcer la surveillance ou justifier des mesures autoritaires. Dans ce cas, il est probable que cela favorise le «programme du côté lumineux», qui consiste à prendre le contrôle des institutions actuelles et à apporter des changements. Ils veulent modifier le récit et continuer à faire avancer «l’inversion»».
Dans un blog plus ancien, Alexandra définit plus précisément l’IGC :
«L’inversion représente le passage de l’ordre mondial actuel à un nouvel ordre mondial, mais pas de la manière à laquelle la plupart des gens sont conditionnés à s’attendre. C’est l’inversion de l’obscurité vers la lumière».
La Grande Réinitialisation (sombre) contre le Grand Réveil (clair)
Les mondialistes constituent la majeure partie du côté «sombre». Ils sont identifiés par leurs croyances. Dans le cadre de cet article, toute personne (aux yeux du public) qui s’oppose aux idéaux mondialistes serait considérée comme étant en faveur de l’agenda du côté «lumineux» et de tout ce qu’il implique, c’est-à-dire le contraire.
En ce moment, c’est le «Globalisme» (centralisation, censure de masse, la Grande Réinitialisation, etc.) contre le «Nationalisme» (décentralisation, liberté d’expression, le Grand Réveil, la souveraineté, etc.).
Inversion : le mot «inversion» signifie l’action d’inverser quelque chose ou l’état d’être inversé ; un renversement
«Dans certains cas, l’inversion est le contraire – le sombre et le clair, le chaud et le froid, etc. Ces oppositions sont des pôles l’un de l’autre. Les pôles sont constitués de deux idées opposées qui ne varient qu’en degré et qui sont unies par un axe».
Cette discussion sur les «pôles» et les idées qui semblent opposées mais qui sont en fait alignées d’une manière ou d’une autre est essentielle à notre conversation. Tout comme les partis républicain et démocrate aux États-Unis semblent souvent diamétralement opposés, nous voyons souvent comment ils s’alignent lorsqu’il s’agit de la guerre, de la surveillance, du soutien au sionisme et, d’une manière générale, de la suppression des droits de la population. Bien sûr, il y a de légères différences, mais au bout du compte, ils servent les mêmes maîtres.
Alexandra pense qu’il y a eu des inversions tout au long de l’histoire de l’humanité, mais que l’actuelle représente un changement à l’échelle mondiale. Elle évoque à nouveau les pôles de l’obscurité et de la lumière.
«La Grande Inversion se compose de deux pôles : l’obscurité et la lumière. Vous pouvez également considérer les pôles comme la main droite ou la main gauche reliées par le corps (axe). Ils ne sont ni indépendants l’un de l’autre, ni ennemis. Ils travaillent en symbiose pour atteindre un objectif commun, aussi désordonné soit-il. Les pôles sont reliés par un axe, ils ne peuvent donc jamais être séparés, ils ne peuvent que varier en degré.
Ils se divisent pour mieux se conquérir».
Je suis d’accord avec l’évaluation d’Alexandra et je pense que nous pouvons remonter plus loin dans le temps pour trouver des sources nous avertissant d’un phénomène similaire.
Rudolf Steiner : Lucifer, Ahriman et la conscience du Christ
Dans la conférence de Rudolf Steiner de 1919, Lucifer et Ahriman, le philosophe anthroposophe expose un concept similaire en utilisant le nom du Christ, Lucifer, et ce qu’il appelle Ahriman. Encore une fois, bien que je ne sois pas chrétien, je pense que l’analyse de Steiner peut s’appliquer à nos circonstances actuelles, quelles que soient nos croyances religieuses (ou leur absence). Que l’on croie ou non que ces forces représentent des êtres physiques/spirituels littéraux, je pense qu’il ne s’agit pas d’un sujet à ignorer.
Steiner pensait qu’il existait deux forces du mal, l’une sous la forme de Lucifer et l’autre sous la forme d’Ahriman. Bien que ces deux forces apparaissent et s’incarnent différemment, elles se trouvent en fait sur le même plan d’existence, l’énergie christique se situant au-dessus et au-delà de ces deux forces.
La bibliothèque en ligne Steiner indique que Steiner a averti que «l’humanité doit suivre une voie médiane consciente entre les deux puissances «tentatrices» de Lucifer et d’Ahriman». Alors que Lucifer pourrait être considéré comme représentant une fausse lumière, avec un accent sur les pratiques spirituelles qui éloignent les gens de l’énergie du Christ, Ahriman représente le matérialisme et une énergie plus mécanique et statique.
Alors que ces deux forces semblent travailler l’une contre l’autre ou en opposition, elles travaillent en fait de plus en plus ensemble au fil du temps.
«Tout comme il y a eu l’incarnation qui a culminé au Golgotha, l’incarnation du Christ dans l’homme Jésus de Nazareth, il y a eu une incarnation réelle de Lucifer dans la lointaine Asie, au troisième millénaire avant J.-C.», a déclaré Steiner lors de sa conférence. «Et la source d’inspiration d’une grande partie de la culture antique était ce que l’on ne peut décrire que comme une incarnation terrestre de Lucifer dans un homme de chair et de sang.
Cependant, ces incarnations n’étaient pas les seules à venir. Steiner a déclaré que «avant qu’une partie seulement du troisième millénaire de l’ère post-chrétienne ne se soit écoulée, il y aura, en Occident, une véritable incarnation d’Ahriman, Ahriman en chair et en os» : Ahriman en chair et en os».
Bien que Steiner affirme que les forces de Lucifer et du Christ sont plus familières à l’humanité, il prévient que l’humanité est terriblement mal informée et mal préparée à l’énergie ahrimanique.
«Si Ahriman pouvait se faufiler dans une humanité inconsciente de sa venue, cela le réjouirait au plus haut point. C’est pour cette raison que les événements et les tendances dans lesquels Ahriman travaille pour sa future incarnation doivent être mis en lumière», prévient Steiner.
Le temps est venu pour chaque homme de savoir quelles tendances et quels événements autour de lui sont des machinations d’Ahriman, afin de l’aider à se préparer à son incarnation prochaine».
Steiner a également mis en garde contre le fait qu’à son époque, les gens «n’apprécient plus l’esprit pour l’amour de l’esprit ou l’âme pour l’amour de l’âme» et ne sont captivés que par «ce qui est considéré comme «utile»». Il affirme que le nationalisme profite également à Ahriman et représente une occasion pour lui de s’emparer de l’humanité.
«Tout ce qui peut séparer les hommes en groupes, tout ce qui peut les éloigner de la compréhension mutuelle dans le monde entier et creuser des fossés entre eux, renforce l’impulsion d’Ahriman», a déclaré Steiner. Selon lui, «les liens du sang ont cessé d’être le facteur décisif» dans les relations humaines, mais si le nationalisme persistait, il «ferait directement le jeu d’Ahriman». Steiner a également mis en garde contre le fait que les intérêts d’Ahriman sont favorisés par la capture de l’humanité par les partis politiques.
Comme dans la discussion d’Alexandra sur les pôles, Steiner considère que ces deux forces représentent des pôles opposés avec des objectifs et des résultats similaires.
«Ahriman et Lucifer travailleront toujours main dans la main. La seule question est de savoir laquelle des deux prédomine dans la conscience de l’homme à une époque donnée».
Enfin, Steiner a averti que les «activités» d’Ahriman «prenaient de l’importance» au début des années 1900, lorsqu’il a donné la conférence.
Trump, Elon, Tucker et la grande inversion
Dans mon dernier article pour The Last American Vagabond, j’explique comment je pense que cette bataille entre la fausse lumière et l’obscurité se joue devant nous. Je crois que la montée de Trump, Elon, Tucker, etc. comme le bouclier du peuple, nous défendant contre la Classe Prédatrice, est une fausse dichotomie entre l’énergie Luciférienne et Ahrimanique.
«La Classe Prédatrice veut le chaos pour pouvoir mettre en place l’ordre. Elle créera le chaos de toutes les façons possibles. Si cela signifie tuer un candidat à la présidence qui est soutenu par des millions d’Américains (et détesté par des millions d’autres Américains), ils n’hésiteront pas à le faire.
Cependant, si le fait que Trump survive à une tentative d’assassinat sert mieux leurs objectifs, ils choisiront cette voie. Ils ne sont pas omnipotents ni invincibles, mais l’histoire montre que la classe des prédateurs qui dirige le gouvernement de l’ombre est tout à fait capable de mettre en scène des événements comportant à la fois des éléments réels et des éléments factices.
J’encourage les lecteurs à ne pas se laisser séduire par ces scénarios et à ne pas les prendre pour la réalité. Ce récit a pour but de créer le chaos et d’attirer davantage de personnes dans la mascarade de la politique et des élections truquées.
Le chaos ne fait que commencer. Les étatistes fanatiques de gauche et de droite continueront à se battre pour l’anneau du pouvoir, chacun jurant que Trump est le seul moyen d’arrêter Biden et les communistes, ou que Biden est la seule valeur sûre pour empêcher Trump de revenir au pouvoir. Tous deux ont raison et vendent une fausse dichotomie aux Américains qui n’ont pas encore compris que la politique n’est pas la réponse à nos problèmes.
Peu importe qui est derrière la tentative d’assassinat de Donald Trump, l’incident sera utilisé pour renforcer davantage le soutien au système politique corrompu et pour attiser davantage la division au sein du peuple américain».
J’encourage les lecteurs à s’accrocher à leurs valeurs et à leurs principes et à ne pas se laisser influencer par de faux prophètes qui ne vous sont présentés que pour faire avancer les mêmes programmes que ceux qu’ils prétendent combattre.
À huit jours du début des Jeux olympiques de Paris, plus d’un million de billets ne sont toujours pas vendus. Les organisateurs se veulent rassurants et rappellent que ces JO ont déjà battu le record du nombre de billets vendus, alors que de nombreuses voix s’élèvent contre le dispositif sécuritaire qui se met en place.
«Plus de 50 000 nouveaux billets vont être remis en vente [ce 18 juillet] dans plus de 30 sports». L’annonce faite par le directeur général délégué du comité d’organisation des Jeux de Paris, Mickaël Aloïsio, le 17 juillet à propos de la vente de billets le lendemain a mis les réseaux sociaux en émoi, à huit jours des JO.
Les organisateurs affirment néanmoins que les Jeux olympiques de Paris auraient déjà dépassé le record du nombre de billets vendus lors de Jeux modernes avec 8,7 millions de tickets vendus, contre 8,3 millions pour Atlanta en 1996. Sur ces ventes, plus de 60% auraient été réalisées pour des visiteurs français.
Mickaël Aloïsio a également fait savoir qu’à partir du 22 juillet des billets seront quotidiennement mis en vente et qu’il y aurait «des opportunités jusqu’à la fin des Jeux».
«Jamais vu un bordel aussi indescriptible dans Paris»
Derrière ces chiffres des ventes de billets pour les Jeux, se trouvent ceux moins reluisants pour les Jeux paralympiques pour lesquels 1,7 million de billets sont toujours en vente. Fin mai, seulement 800 000 places avaient été vendues pour ces épreuves qui se dérouleront du 28 août au 8 septembre.
Mais c’est surtout face au dispositif sécuritaire que la colère gronde : «Jamais vu un bordel aussi indescriptible dans Paris». Sur X (ex-Twitter), le très médiatique avocat Charles Consigny n’y est pas allé par quatre chemins à propos du dispositif sécuritaire mis en place dans la capitale. Pour lui, «la liberté de circuler n’existe plus. Des policiers bloquent tout, partout. Retour au délire des QR codes et autres absurdités administratives».
QR code : des Parisiens et des personnalités excédés
Un agacement partagé par le président des Patriotes Florian Philippot qui dénonce le QR code sur le réseau social X (ex-Twitter), un procédé «même pas utilisé par la Chine pour ses JO ou le Qatar pour la Coupe du monde de football».
Le journaliste Alexis Poulain parle lui de «servitude volontaire et d’aveuglement devant ce qui s’avère être l’antichambre d’une société totalitaire» alors que la chaîne de télévision BFMTV a fait sensation en révélant que même «des éboueurs de la ville sans QR code» avaient été «empêchés d’accéder à la zone».
Les inquiétudes sur l’usage du QR code pour cet événement sportif se doublent d’une crainte en matière de sécurité dans un contexte politique rendu particulièrement incertain en France après la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron.
Dans cette vidéo, nous explorons le phénomène inquiétant de l’accaparement des terres agricoles en France. Alors que les agriculteurs français font face à une crise de vocation et au vieillissement, de grandes multinationales et des fonds d’investissement s’approprient des hectares de bonnes terres cultivables. Ce phénomène, observé dans de nombreux pays, menace l’avenir de l’agriculture française, sa diversité et la qualité de ses produits. Nous discutons également des limitations de la SAFER et des propositions pour mieux protéger nos terres.
J’ai appris que le Dr Robert Duncan, lanceur d’alerte de la CIA et de la DARPA sur le programme gouvernemental de ciblage et de torture des civils — ainsi que de la technologie de surveillance du cerveau humain à l’échelle mondiale par superordinateur — a été retrouvé mort à son domicile. Il a écrit plusieurs livres, dont Soul Catcher, qui confirme que le piratage de l’âme humaine est possible et a été réalisé. Soul Catcher est de loin le livre le plus important que j’ai lu pour comprendre la profondeur du mal satanique qui surveille et contrôle le monde et comment les superordinateurs souterrains à intelligence artificielle sont utilisés pour les programmes d’assassinat et de torture à distance. Ce programme de ciblage a été le terrain d’essai pour toute l’Humanité. Et maintenant, en raison de l’implantation de l’arme biologique COVID-19, des puces cérébrales nanotechnologiques à assemblage automatique et des microrobots ont été intégrés dans la simulation du monde sensible.
Il a fait d’excellentes présentations, confirmant que les nanoparticules d’auto-assemblage sont utilisées à des fins de contrôle de l’esprit et ont été injectées à des individus avec la capacité de prendre en charge l’intégralité de leurs fonctions cérébrales. En substance, tous les humains sont désormais des candidats mandchous potentiels.
Voir les vidéos à ce sujet...
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Les écrans envoient un nombre gigantesque d’informations au cerveau de l’enfant qu’il n’est pas en capacité de gérer. La lumière bleue des écrans et la fréquence des images diffusées ont un effet très excitant sur l’enfant et provoquent des difficultés à s’endormir, des dérégulations émotionnelles et physiques au moment de l’extinction de l’écran.
L’utilisation des écrans peut également gêner les apprentissages et avoir un impact sur les relations sociales. Les écrans ne développent pas l’intelligence émotionnelle et sont bien souvent une activité solitaire. Les enfants qui passent trop de temps devant les écrans peuvent donc avoir des difficultés à se concentrer et à interagir avec les autres.
Il est important de protéger les enfants de cet environnement et de leur donner les bonnes informations. Les neurosciences recommandent d’éviter les écrans avant 6 ans, car il y a des effets dramatiques à court terme. Les parents doivent être conscients des dangers des écrans et trouver des solutions pour détoxifier leurs enfants.
Voici quelques solutions pour vous aider à détoxifier vos enfants des écrans :
. Fixez des limites claires : déterminez des heures précises pour l’utilisation des écrans et respectez-les. Évitez également de laisser les écrans dans la chambre de votre enfant.
. Proposez des activités en famille qui ne nécessitent pas d’écrans, comme des jeux de société, des promenades, des sorties au parc, etc.
. Proposez à votre enfant des activités créatives comme le dessin, la peinture, la musique, etc.
. Favorisez les interactions sociales : encouragez votre enfant à interagir avec d’autres enfants et à participer à des activités de groupe.
. Soyez un modèle : montrez l’exemple à votre enfant en limitant votre propre utilisation des écrans et en étant présent et attentif lorsque vous êtes avec lui.
. Éduquez votre enfant : expliquez-lui les effets néfastes des écrans sur le cerveau et les relations sociales, et aidez-le à comprendre pourquoi il est important de limiter leur utilisation.
. Utilisez des outils de contrôle parental : utilisez des outils de contrôle parental pour limiter l’accès de votre enfant aux contenus inappropriés et pour surveiller son utilisation des écrans.
. Encouragez la lecture : proposez à votre enfant des livres adaptés à son âge et encouragez-le à lire régulièrement.
. Imposez à votre enfant des pauses régulières lorsqu’il utilise des écrans et à bouger pour se dégourdir les jambes.
. Consultez un professionnel : si vous avez des inquiétudes concernant l’utilisation des écrans par votre enfant, n’hésitez pas à consulter un professionnel de la santé mentale ou un orthophoniste pour obtenir de l’aide.
Yoann
JFK Jr. a été assassiné parce qu’il était le fils de JFK, et qu’il avait des ambitions politiques motivées par une intense piété filiale.
Il devait mourir pour la même raison que son oncle Robert Francis Kennedy (RFK) devait mourir en 1968 : aucun Kennedy ne devait plus jamais s’approcher de la Maison-Blanche – à moins de s’appeler aussi Schlossberg, selon l’avis du rabbin Jeffrey Salkin. Et JFK Jr. aurait pu accéder à la Maison-Blanche en huit ans (il aurait eu 48 ans en novembre 2008 ; son père était devenu président à 43 ans). Je vais expliquer cela aussi.
« La famille Kennedy est un clan, une tribu, une souveraineté et une dynastie », a écrit Arthur Krock, qui les a bien connus [1]. Aucun des Kennedy ne peut être compris comme un simple individu. Ainsi, dans un sens plus profond, la raison pour laquelle JFK Jr. devait mourir est qu’il était le petit-fils du patriarche fondateur, Joe Kennedy. Ce point a été souligné sans ambiguïté par John Podhoretz dans un éditorial pour le New York Post, publié le jour même où le corps de JFK Jr. a été retrouvé au fond de l’océan, avec ceux de sa femme et de sa belle-sœur. Dans cette fiction des plus dégoûtantes, Podhoretz imagine que le Diable s’adresse à Joe en enfer : « Chaque fois que tu crois que ta famille est à nouveau sur le chemin de la gloire, je dois faire quelque chose, comme je l’ai fait ce week-end, avec ton petit-fils John. » Selon Podhoretz, JFK Jr. est mort en représailles pour ce que son grand-père a fait aux juifs, « lorsqu’il était ambassadeur des États-Unis en Angleterre, disant toutes ces gentillesses sur Hitler, et faisant son possible pour empêcher l’émigration juive de l’Allemagne nazie ». « Des milliers de juifs sont morts à cause de toi », selon le Diable parlant par Podhoretz.
Notez que, logiquement, c’est le dieu des juifs Yahvé, et non le Diable, qui devrait vouloir punir Joe en tuant son petit-fils. À moins bien sûr que Yahvé soit le Diable. Podhoretz n’a pas pris le temps de réfléchir à cette question ; il ne pouvait pas attendre un jour de plus pour exprimer sa joie, alors que l’Amérique pleurait le prince de Camelot.
John Podhoretz est le fils de Norman Podhoretz, l’homme qui en 2004 voulait déclencher la quatrième guerre mondiale. Les Podhoretz aiment les guerres mondiales parce que les guerres mondiales sont toujours bonnes pour Israël. C’est pour cela qu’ils ont une haine éternelle envers Joe Kennedy, l’homme qui a presque réussi à éviter la Seconde Guerre mondiale. Comme je l’explique dans le chapitre que je lui consacre dans Qui a maudit les Kennedy ?, Joe Kennedy n’était pas un ami de Hitler, mais un ami de la paix, tout comme Neville Chamberlain. « Je suis pour la paix, je prie, j’espère et je travaille pour la paix », déclara-t-il à son premier retour de Londres en décembre 1938 [2].
Pour avoir tenté d’empêcher les juifs d’entraîner l’Amérique dans la guerre, Joe Kennedy était considéré comme un antisémite de dimension holocaustique. Il est d’ailleurs étonnant que ses fils aient pu réussir si bien dans la politique américaine, malgré la réputation de leur père comme partisan de l’apaisement avec Hitler. Joe a dû déployer des trésors d’ingénuité pour laver sa descendance de la tâche antisémite.
Du point de vue d’Israël, JFK était définitivement un partisan de l’apaisement, comme son père. Israël avait eu besoin de la Seconde Guerre mondiale, et Israël avait maintenant besoin de la Troisième Guerre mondiale (c’est ainsi que Norman Podhoretz appelle la guerre froide). « Qu’est-ce qu’ils ont, tous ces Kennedy ? Pourquoi veulent-ils toujours empêcher ou mettre fin aux guerres dont Israël a besoin ? Que Yahvé les maudisse ! »
La malédiction des Kennedy est un concept kabbalistique qui a été présenté au public dans des livres tels que Les Péchés du père (Ronald Kessler) et La Malédiction des Kennedy (Edward Klein). Le titre du premier livre, écrit en 1997, fait référence à Exode 20:5 : « Moi, Yahvé, ton dieu, je suis un dieu jaloux qui punis la faute des pères sur les enfants, les petits-enfants et les arrière-petits-enfants de ceux qui me haïssent. » Le second livre, publié en 2004, évoque en introduction l’histoire « racontée dans les cercles juifs mystiques » selon laquelle, en « représailles » pour une remarque que Joe aurait faite à « un pauvre rabbin Loubavitch, et six de ses étudiants de yeshiva qui fuyaient les nazis » à la veille de la Seconde Guerre mondiale, « le rabbin a jeté une malédiction sur Kennedy, le condamnant, lui et toute sa progéniture mâle, à des destins tragiques » [8]. On voit bien le rapport entre cette « malédiction des Kennedy » et le texte de John Podhoretz : mettez la malédiction sur le compte du diable, mais sachez qu’il s’agit du pouvoir (surnaturel) des juifs.
Il est implicite dans l’histoire de Klein que la malédiction est d’abord entrée en action par la mort de Joe Kennedy Jr., l’aîné de la fratrie, tué au combat le 12 août 1944, aux commandes d’un bombardier dans une mission à haut risque. Le destin présidentiel est alors passé au deuxième fils.
La malédiction des Kennedy frappa à nouveau le 22 novembre 1963. J’ai évoqué dans mon livre cet homme de 39 ans nommé Louie Steven Witt qui était venu reprocher silencieusement au président Kennedy le soutien de son père à la politique d’apaisement de Chamberlain, en se tenant avec un parapluie noir à l’endroit et au moment précis de son exécution. Cette coïncidence entre le geste symbolique de Witt et l’assassinat n’était qu’une… malheureuse coïncidence, assura Witt au House Select Committee on Assassinations en 1978, et on ne lui posa pas d’autre question.
Je n’avais pas prêté attention au fait que Witt n’était pas le seul à faire sa « mauvaise blague ». Sur le film Zapruder et sur d’autres photos, on peut voir, devant lui à droite, un homme saluant JFK. Cet homme n’a jamais été identifié, et c’est étrange, car il était visiblement avec Witt. Quelques minutes après avoir vu la tête de JFK exploser sous leurs yeux, ils étaient assis l’un à côté de l’autre au même endroit. Cela suggère que leurs actions étaient un acte symbolique coordonné et que le salut du compère de Witt était censé être un salut nazi. Le parapluie noir en lui-même n’était peut-être pas un message assez clair, et donc le salut nazi rendait le message beaucoup plus clair.
Louie Steven Witt et ses collègues étaient-ils des agents sionistes conscients de la portée de leur geste ? Je ne pense pas. Le fait qu’ils se soient assis ensemble après coup suggère qu’ils étaient stupéfaits et se demandaient ce qu’ils avaient bien fait. Je suppose qu’ils avaient été envoyés pour transmettre un message symbolique, sans savoir que cela pimenterait l’assassinat. Qui serait assez fou pour se mettre dans cette situation en connaissance de cause et se placer, de surcroît, si prêt de la ligne de mire du tireur du Grassy Knoll ? Peut-être avaient-ils été convaincus de le faire pour de l’argent, ou dans le cadre d’un pari, ou comme service rendu au patron juif de Witt à la Rio Grande National Life Insurance Co où Witt travaillait.
Je pense en tout cas que, s’il restait le moindre doute sur le fait qu’Israël était l’instigateur principal de l’assassinat de John Kennedy, Umbrella Man et Nazi-Salute Man en sont la signature ultime. Mais pour voir cela, il faut une certaine perspicacité spirituelle.
Les Podhoretz, fondateurs du mouvement néoconservateur, incarnent l’âme maléfique des États-Unis. Les Kennedy incarnaient le meilleur de l’Amérique : des valeurs familiales ancrées dans le christianisme, et le culte du service rendu au pays jusqu’au sacrifice. La famille Kennedy symbolisait l’Amérique que les Américains et le monde aimaient. Aucune autre famille américaine n’avait une telle aura dynastique.
C’est pourquoi John F. Kennedy, Jr. était le « prince héritier charismatique de la famille royale américaine », comme l’écrivait le New York Daily News au lendemain de sa mort. Il était le prince Hamlet hanté par le fantôme de son père assassiné, destiné à le venger et à sauver le royaume des usurpateurs. La tragédie de Kennedy est l’histoire la plus shakespearienne, la plus mythique, la plus paradigmatique, la plus emblématique de toute l’histoire américaine. Et l’Amérique n’a pas un seul monument digne en leur honneur. Tant de musées de l’Holocauste pour honorer les morts juifs, et pas une seule chapelle pour prier pour les Kennedy.
En fait, seul Israël a construit un mémorial Kennedy relativement important. Il a été explicitement conçu pour ressembler à « la souche d’un arbre abattu », et c’est effectivement le cas. Vous voyez l’idée ? Il symbolise le projet d’Israël pour la dynastie Kennedy. Vous pouvez faire confiance aux juifs pour choisir les symboles avec précision. Et n’imaginez pas qu’on puisse voir une statue ou même une seule photo de Kennedy à l’intérieur du monument ; il est creux comme une souche morte. C’est un mémorial pour effacer la mémoire de Kennedy, ce qui me rappelle le commandement paradoxal de « ne pas oublier d’effacer la mémoire d’Amalek » (Deutéronome 25:19 et Exode 17:14).
La haine des sionistes envers les Kennedy est ancienne et éternelle. Lors de sa rencontre avec le nouveau président le 30 mai 1961 à New York, Ben Gourion ne pouvait s’empêcher de voir en lui le fils d’un pacificateur hitlérien. Abraham Feinberg (qui organisait la rencontre) se souvient que « Ben Gourion pouvait être vicieux et qu’il avait une telle haine envers "le vieux" [Joe Kennedy] » [9]. Ben Gourion ne se faisait aucune illusion sur le fait que John était vraiment le fils de son père. N’avait-il pas, dans son livre Profiles in Courage, lauréat du prix Pulitzer en 1956, donné raison au sénateur Robert Taft pour avoir dénoncé les procès de Nuremberg comme une parodie de justice, et la pendaison de responsables allemands comme « une tache sur l’histoire américaine que nous regretterons longtemps » ? Il n’échappa certainement pas aux sionistes que, le 11 mai 1962, le président Kennedy invita à la Maison-Blanche Charles Lindbergh, celui qui en 1940 avait accusé publiquement les juifs de pousser l’Amérique à la guerre, et vivait depuis la fin de la guerre en reclus pestiféré.
De plus, JFK voulait empêcher Israël de se doter de la dissuasion nucléaire indispensable pour empêcher les Arabes de commettre un nouvel Holocauste. C’est ce que Ben Gourion voulait dire en décrivant Nasser comme un nouveau Hitler et les Arabes comme les nouveaux nazis, dans l’une de ses dernières lettres à Kennedy, le 12 mai 1963, en réponse à la demande de Kennedy d’inspecter immédiatement Dimona : « Les connaissant, je suis convaincu qu’ils sont capables de suivre l’exemple nazi… Monsieur le Président, mon peuple a le droit d’exister… et cette existence est en danger. » Il termina sa lettre par une remarque cryptique sur le roi Hussein de Jordanie : « Il y a toujours le risque qu’une balle mette fin à sa vie et à son régime. » [10]
Ben Gourion avait de bonnes raisons de craindre, non seulement une présidence de John Kennedy jusqu’en 1968, mais la dynastie Kennedy, car on imagine aisément que Robert Kennedy prenne sa succession pour huit ans et, pourquoi pas, Ted Kennedy ensuite. Il fallait non seulement éliminer John Kennedy, mais détruire la dynastie Kennedy. Pour cela, il fallait également tuer le fils unique du président Kennedy. Tuer son avenir politique n’était pas suffisant, et probablement pas possible.
J’ai écrit un très long article sur JFK Jr. en janvier 2019, intitulé « Le destin présidentiel brisé de John Kennedy Junior », que je vais maintenant résumer.
Les preuves de l’assassinat
[...]
Il est intéressant de regarder de plus près les raisons pour lesquelles l’ancien président a fait ce choix. Un célèbre libertarien américain, Wayne Roote, a son idée sur la question.
Le choix d’un vice-président est toujours complexe pour un candidat à la présidence des Etats-Unis. Et Donald Trump a fait une mauvaise expérience, puisqu’il a été trahi, en fin de premier mandat, par Mike Pence, un homme politique catholique, très opposé à l’avortement mais qui a refusé d’aider Trump à démasquer la fraude du camp Biden lors de l’élection présidentielle de 2024.
Certains s’étonnent, pour cette raison, que l’ancien président ait chois, cette fois, un homme qui le critiquait durement il y a quelques années. Mais écoutons ce qu’a à en dire Wayne Root, célèbre libertarien américain...
Je vous présente Laurence Tubiana. Elle a été choisie par le NFP (hors LFI) pour devenir 1° ministre. Laurence Tubiana porte le pin’s de Bill Gates « global goals» et participe au forum de Davos.
«Il faut que tout change pour que rien ne change »
L’étude, publiée dans Science Direct, confirme ce que les « climatologues » auraient dû dire au public depuis longtemps.
Selon la nouvelle étude, l’effet de réchauffement du dioxyde de carbone dans l’atmosphère est naturellement limité.
En fait, cette limite a déjà été atteinte il y a plusieurs décennies.
L’étude montre que les émissions de dioxyde de carbone n’ont aucun impact sur les températures globales de la Terre.
Même si l’on extrayait tout le charbon et tout le pétrole du monde pour les brûler dans un gigantesque bûcher, les émissions de CO2 ne réchaufferaient pas la planète.
Les conclusions de cette étude vont directement à l’encontre du discours mondialiste sur la « crise climatique » véhiculé par la communauté « scientifique » financée par les Nations unies.
Même la National Aeronautics and Space Administration (NASA), financée par les contribuables, continue de promouvoir ces « affirmations sur le réchauffement climatique ».
Les trois scientifiques polonais de l’université militaire de technologie de Varsovie qui ont rédigé cette dernière étude ont suivi les traces d’autres scientifiques qui ont tiré des conclusions similaires dans leurs propres recherches, publiées ces dernières années.
Comme une éponge, elle ne peut en contenir qu’une quantité limitée, ce qui signifie que le dioxyde de carbone ne peut plus augmenter les températures car le point de saturation a été atteint il y a longtemps.
Les grands médias ont toutefois refusé de faire état de ces études.
Toutes ces études suivent le même concept sous-jacent.
La dernière étude utilise le concept hypothétique d’un feu à l’intérieur d’une serre qui émet constamment de la chaleur.
La serre devient de plus en plus chaude, mais à un moment donné, la chaleur commence à se dissiper et la température à l’intérieur se stabilise.
Les parois et le plafond en verre ne peuvent contenir qu’une quantité limitée de chaleur avant de commencer à l’émettre vers l’extérieur.
Le cas du CO2 dans l’atmosphère est très similaire.
Il peut agir comme un gaz à effet de serre, mais l’ensemble du CO2 ne peut contenir qu’une quantité limitée de chaleur, tout comme la serre hypothétique.
La CO2 Coalition explique :
« L’effet de réchauffement de chaque molécule de CO2 diminue à mesure que la concentration globale de CO2 augmente.
Une fois la limite globale atteinte, l’ajout de CO2 n’a plus d’impact.
Il est intéressant de noter que la limite de l’effet de serre a peut-être été atteinte avant même la construction de la première usine au charbon.
Les scientifiques polonais affirment, sur la base de leurs résultats, qu’il y a « actuellement un dépassement multiple de la masse de saturation pour le dioxyde de carbone dans l’atmosphère terrestre ».
Selon l’étude, nous avons déjà atteint le point, il y a longtemps, où le CO2 a perdu son efficacité pour réchauffer la planète.
Des scientifiques de l’université McGill ont fait le même constat l’année dernière :
La transmission dans la bande centrale du CO2 reste inchangée en cas d’augmentation du CO2, car l’absorption est déjà saturée.
Par « déjà saturée », ils entendaient que l’absorption est saturée depuis des siècles – depuis « l’ère préindustrielle », en fait.
Le niveau de CO2 dans l’atmosphère est aujourd’hui légèrement supérieur à 400 ppm.
Selon le professeur Dieter Schildknecht de l’université de Bielefeld, en Allemagne, le niveau de saturation du dioxyde de carbone n’est que de 300 ppm, un niveau qui a probablement été atteint vers 1950, comme l’illustre le graphique ci-dessous.
Sur la base de recherches antérieures, Schildknecht écrit qu’au-delà de ce niveau, les émissions causées par l’activité humaine n’ont pas d’effet significatif sur les propriétés d’effet de serre du dioxyde de carbone.
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La question de la sécurité autour de Donald Trump agite l’Amérique après la tentative d’assassinat qui a visé le candidat républicain à la présidentielle ce samedi 13 juillet, lors d’un meeting à Butler, en Pennsylvanie. « Clairement, nous allons avoir beaucoup de questions à poser sur ce qu’il s’est passé », a réagi Steve Scalise, chef de la majorité républicaine à la Chambre des représentants.
Donald Trump a été touché à l’oreille. Exfiltré par les agents du Service secret, l’ancien président a été examiné par des médecins et se porte bien. Mais un militant présent dans le public, également touché, est décédé. Le FBI dit avoir identifié le tireur comme étant « Thomas Matthew Crooks, 20 ans, de Bethel Park, Pennsylvanie ». Il a été abattu après avoir tiré.
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Plusieurs témoins ont affirmé avoir aperçu le tireur avant qu’il n’ouvre le feu et avoir tenté d’alerter la police de la ville, qui a rapporté avoir « répondu à un certain nombre de rapports d’activité suspecte », sans donner plus de précisions. Un témoin interrogé par la BBC assure avoir vu « un homme ramper sur le toit » et l’avoir montré « pendant plusieurs minutes » aux forces de l’ordre. « On pouvait clairement le voir avec son arme », a-t-il ajouté, expliquant que la police semblait ne pas comprendre ce qu’il se passait. Selon lui, l’inclinaison du toit faisait que les agents du Service secret ne pouvaient probablement pas le voir de là où ils se trouvaient.
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Quarante-six mille entreprises israéliennes ont été contraintes de fermer en raison de la guerre en cours et de ses effets dévastateurs sur l’économie, a rapporté le journal hébreu Maariv le 10 juillet, qualifiant Israël de «pays en faillite».
«Ce chiffre très élevé englobe de nombreux secteurs. Environ 77% des entreprises qui ont fermé depuis le début de la guerre, soit environ 35 000 entreprises, sont des petites entreprises comptant jusqu’à cinq employés, les plus vulnérables sur le plan économique», a déclaré Yoel Amir, PDG de la société israélienne de services d’information et de gestion des risques de crédit, CofaceBdi, au média Maariv.
Le rapport ajoute que : «les industries les plus vulnérables sont celles de la construction et, par conséquent, tout l’écosystème qui fonctionne autour d’elles : la céramique, la climatisation, l’aluminium, les matériaux de construction, etc.».
Le secteur du commerce a également été sévèrement touché. Il s’agit du secteur des services et des industries de la mode, du mobilier, des articles ménagers, des loisirs, des transports et du tourisme.
Israël se trouve dans une situation où «le tourisme étranger a pratiquement disparu», indique le rapport, ajoutant que «les préjudices subis par les entreprises s’étendent à tout le pays, et presque aucun secteur n’a été épargné».
Cela inclut le secteur agricole, principalement basé dans le sud et le nord – tous deux considérés comme des zones de combat actives en raison de la menace représentée par la résistance palestinienne et le Hezbollah libanais – dont le front de soutien contre Israël a contribué de manière significative à l’effondrement de l’économie.
Le directeur général de CofaceBdi estime que 60 000 entreprises israéliennes devraient fermer boutique d’ici à la fin de 2024.
Les attaques du Hezbollah ont gravement affecté les entreprises locales et l’éducation dans le nord. Des dizaines de milliers de colons ont été contraints d’évacuer. «Notre objectif d’assécher l’économie de l’ennemi a été atteint», a déclaré Hassan Nasrallah, chef du Hezbollah, le 10 juillet.
Les opérations militaires en mer conduites par l’armée yéménite ont également contribué à l’effondrement de l’économie du pays. Les recettes des principaux ports, comme celui d’Eilat, dans le sud du pays, ont chuté de manière spectaculaire.
Au cours des derniers mois de 2023, le PIB israélien a chuté de près de 20%.
La menace d’une intensification des hostilités avec le Hezbollah a également fait craindre à Israël qu’une guerre à grande échelle avec la résistance libanaise ne pousse l’économie israélienne à plonger encore davantage. Le Hezbollah a démontré, par le biais de récents avertissements vidéo, qu’il était capable d’attaquer des infrastructures énergétiques telles que des raffineries de pétrole et des réservoirs de gaz.