La certification « Haute valeur environnementale » rencontre un vif succès parmi les grosses exploitations agricoles. Logique : elle permet de percevoir de l’argent public sans quasiment rien changer à ses pratiques peu vertueuses.
Les agriculteurs peuvent-ils utiliser des pesticides classés cancérigènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction tout en bénéficiant d’une certification « Haute valeur environnementale » (HVE) ? La réponse est oui. Le nouveau cahier des charges de cette certification – publié le 22 novembre – le permet, comme le permettait le précédent. La certification HVE inclut bien d’autres contradictions, dénoncées par les associations environnementales et certains syndicats agricoles, mais aussi par la Cour des comptes ou la Commission européenne. Elle est pourtant de plus en plus mise en avant dans les rayons des supermarchés, en particulier le vin, avec son logo rouge sur fond blanc, et sa ferme ensoleillée ornée d’un papillon.
« La HVE n’interdit ni l’utilisation des pesticides ni des OGM. Il ne faut pas laisser duper les consommateurs français. La HVE n’est rien d’autre qu’une haute volonté d’enfumage. »
Mais grâce à la valeureuse police allemande, au renseignement intérieur et à la vigilance civique toujours en éveil, notre ami Olaf va pouvoir rester chancelier et notre autre grande amie, Annalena, continuer à pouvoir apprendre l'histoire militaire et la géographie de l'Europe et du monde pour faire son job de ministresse des Affaires Etrangères. Le fascisme est toujours renaissant mais les femmes et les hommes de progrès veillent: no pasaran! Une fois qu'on a ri un bon coup, on comprend cependant que, derrière le scénario farcesque, qui consiste à prendre les citoyens allemands pour des imbéciles, se profile une intimidation d'envergure contre tous ceux qui critiquent l'incompétence du gouvernement allemand et son aliénation à Washington, Davos et Pékin.
Le coup d’Etat était presque parfait
A vrai dire, la seule chose hilarante dans le scénario proposé, c’est que les ingrédients attendus y sont. Je ne résiste pas au plaisir de citer le copié-collé du très macroniste Figaro, sous le titre “L’Allemagne déjoue un complot d’extrême-droite” – rien que ça ! Accrochez-vous à la table, fou-rire assuré.
« Psychologiquement, c’est très dur. Nous sommes à bout. » Adrien et Marine devront-ils dire adieu à leurs mobile homes, installés dans leur hangar agricole ? C’est ce qui inquiète les deux maraîchers. Cet été, le maire de Maché, en Vendée, les a mis en demeure sous astreinte de quitter les lieux. Depuis le 8 novembre, le couple doit payer 50 euros par jour d’astreinte. Ils résistent, non sans difficultés.
Ce projet avance. Nous publions aujourd'hui la version "conceptuelle" de ce texte, qui doit entrer en négociation avec les Etats à partir de février 2023.
Ce texte d’une grosse trentaine de pages devrait donc être discuté, si l’on en croit l’OMS, en février 2023.
On notera qu’il pose quelques principes très mondialistes.
En voici le contenu...
Malgré ce flop monumental, cette défaite historique de l’idéologie dite dominante, ou qui le croit, la presse aux ordres, comme un poulet sans tête, continue à défendre une injection qui fait peur, et à raison, aux populations qui ont eu un an pour en voir les effets nocifs. Tous ceux qui sont morts, tous ceux qui ont été touchés par les effets secondaires des trois premières injections ont été comme des bombes qui ont frappé l’esprit des sceptiques, et même des provax. Cela a réveillé les consciences. Et il fallait malheureusement en passer par là pour que les Français reprennent leurs esprits. C’est chose faite : si seulement 10 % des plus de 60 ans ont accepté de recevoir cette dose de rappel dite bivalente, alors, pour les 90 % restants, ce sera plus dur, très dur de les traîner vers les médecins qui gagnent 25 à 45 euros (le week-end !) par shoot. Les salles de shoot, elles sont là et elles sont vides !
Aujourd’hui, rachetée de nombreuses fois et reprise en main par différents directeurs artistiques, chaque fois moins talentueux que les précédents, comme le veut notre époque chaque jour un peu plus médiocre, la société Balenciaga est au centre d’un énième scandale.
Ce n’est pas la première fois que l’on relie élite, personnel politique ou people à la pédocriminalité. Que l’on se rappelle les affaires Podesta/Clinton, le Pizzagate, les affaires Epstein ou encore – géographiquement plus proche de nous – les enfants du juge Roche, l’affaire Luc Ferry, ou les mœurs douteuses d’un Frédéric Mitterrand ou d’un Pierre Bergé.
Après la crise économique de 1929, le monde entier était convaincu, à juste titre, que le capitalisme d’alors était fini. L’Union soviétique, seule, proposait une alternative, le bolchévisme. Bientôt les États-Unis en imaginèrent une seconde, les réformes structurelles du New Deal, puis l’Italie promut une troisième solution, le fascisme. Les grands capitalistes anglo-saxons choisirent de soutenir un nouveau régime, proche du fascisme, le nazisme. Ils pensaient que l’Allemagne attaquerait l’URSS, préservant ainsi leurs intérêts aussi bien menacés par les collectivisations bolchéviques que par les réformes économiques US. Cependant rien ne fonctionna comme prévu puisque l’Italie, l’Allemagne et le Japon formèrent l’Axe avec leur propre logique et que la guerre ne fut pas enclenchée contre les Soviétiques, mais contre les grandes fortunes qui la préparèrent.
Dans l’imaginaire collectif, nous ne tenons pas pour responsables les grands capitalistes anglo-saxons qui soutinrent le nazisme à ses début. Au contraire, nous nous souvenons des peuples britannique et états-unien comme ayant participé à la victoire.
Au cours de ce podcast en direct animé par des personnalités indépendantes du monde des médias et de la société, suite à la publication des « Twitter Files » la semaine dernière, Elon Musk a été interrogé par un groupe important de détenteurs de coches bleues sur une variété de sujets relatifs à la plateforme de réseau social.
Le milliardaire de la technologie a été interrogé sur son plan pour gérer les bots sur Twitter 2.0. Les bots représentent 50 % du trafic internet mondial.
« Je vais vaincre les bots », a-t-il déclaré, « C’est une guerre, et nous allons la gagner. »
« Nous allons démasquer ceux qui veulent manipuler les gens », a-t-il ajouté.
Il a expliqué que les bots agissaient « de concert », mais il a l’intention de développer un logiciel qui lui permettra de contrôler l’influence des bots.
« Ces outils logiciels n’ont pas été écrits, mais nous les ferons », a-t-il dit.