Condamné en première instance et en appel pour « injures publiques » au président de la République, Michel-Ange Flori s'était pourvu en cassation. Emmanuel Macron et les tribunaux l'ont poursuivi jusqu'en appel. La condamnation a paradoxalement prouvé le bien-fondé de Michel-Ange Flori, puisque jamais Hitler et Pétain, auxquels Emmanuel Macron était comparé, n'auraient permis la critique. La cour de Cassation, elle, a jugé que l'humour était légal. Un petit pas dans la jurisprudence, mais un grand pas pour la liberté d'expression.
Petit rappel des faits.
Les chiffres officiels publiés discrètement par les Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis confirment que près d’un demi-million d’enfants et de jeunes adultes sont morts depuis que la Food & Drug Administration a accordé pour la première fois l’autorisation d’utilisation d’urgence d’un vaccin Covid-19 aux États-Unis.
Cela a malheureusement entraîné près de 118 000 décès supplémentaires par rapport à la moyenne 2015-2019.
Les chiffres révèlent également qu’il y a eu jusqu’à présent 7 680 décès supplémentaires chez les enfants et les jeunes adultes en 2022 par rapport à la même période en 2020 au plus fort de la prétendue pandémie de Covid-19.
Mais l’année 2021 a été dans l’ensemble la pire année pour les décès chez les 0 à 44 ans, avec 291 461 décès excédentaires au total, soit près de 60 000 de plus qu’en 2020. Et selon les chiffres officiels du CDC, cela était principalement dû à une mystérieuse augmentation soudaine des décès chez les enfants et les jeunes adultes à partir de la semaine 31 environ.
Malheureusement, selon les données publiées par le gouvernement britannique, cette augmentation soudaine « mystérieuse » qui a contribué à la mort d’un demi-million d’enfants et de jeunes adultes américains depuis fin 2020, est très probablement due aux injections de Covid-19.
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C’est ne pas avoir réalisé son coup de force de juillet, à la faveur de la guerre. Il a fait interdire tous les partis politiques qui s’opposaient à lui ; assassiner les personnalités qui lui résistaient ; contrôler tous les médias, écrits, audiovisuels et internet ; interdire la langue russe ; détruire 100 millions de livres ; confisquer de nombreux biens des oligarques, y compris de celui qui l’a personnellement financé ; nationaliser les biens des investisseurs et sociétés russes ; et enfin interdit l’Église orthodoxe.
Ce faisant, il se conforme à l’objectif énoncé en 1996 dans la Constitution (art. 16) par les « nationalistes intégraux » : « préserver le patrimoine génétique du peuple ukrainien » (sic). C’est l’ethnopolitique, c’est-à-dire une politique reconnaissant les droits des individus, mais fondée sur l’ethnie ukrainienne.
Elle souligne que ce scandale n'en est probablement qu'à ses débuts... et regrette que la procédure concernant la signature des contrats sur les vaccins, en particulier sur les vaccins Pfizer, ne bénéficie pour l'instant d'aucune suite judiciaire.
Virginie Joron a bien voulu répondre à quelques questions concernant le “Qatargate”, scandale où il semblerait que le Qatar ait pu “acheter des voix” au sein du Parlement européen pour bénéficier de votes favorables à ses intérêts. Virginie Joron résume efficacement les enjeux de ce dossier à tiroir… qui ne doit surtout pas faire oublier les autres dossiers.
Le secteur du bâtiment est aujourd’hui le plus gros consommateur d’énergie en France. En 2022, la Réglementation Thermique 2020 (RT2020), également appelée Règlementation Environnementale 2020 (RE2020), a remplacé la RT2012.
Les projets résidentiels qui nécessitent le dépôt d’un permis de construire ou une déclaration préalable de travaux devront respecter ces mesures dès le 1er janvier 2022. Le but : permettre aux nouvelles constructions de répondre aux futurs enjeux climatiques. En effet, comme l’indique le GIEC, après le transport, le secteur du bâtiment est le plus grand émetteur de CO2 (10 solutions pour réduire efficacement nos gaz à effet de serre). Quels éléments changent avec la nouvelle RE2020 ?
Aurélie Moy est jeune ingénieure polytechnicienne spécialisée en développement durable. Elle a eu cette idée de village de Tiny Houses en 2018 alors qu’elle concevait sa propre Tiny House SuSy (diminutif de Sustainable Systems – Systèmes Durables en anglais). Disposant d’un grand terrain familial de 3500m² près du centre-ville de Saint-Brieuc, la jeune femme a décidé de créer le premier village de Tiny Houses afin de promouvoir ce mode de vie plus respectueux de l’environnement.
En effet, vivre en Tiny House c’est faire le choix du minimalisme, vivre avec moins de possessions matérielles pour vivre heureux.
Les maisonnettes du Ty village sont construites en ossature en bois et fabriquées avec des matériaux principalement naturels, renouvelables et locaux. Elles sont bien isolées pour permettre aux habitants d’y vivre à l’année.
Ce mode de vie minimaliste s’accompagne bien trop souvent de difficultés administratives. Même si, depuis la loi ALUR, les Tiny Houses sont reconnues comme des habitats légers, les propriétaires de Tiny Houses ont toujours du mal à obtenir les autorisations pour s’installer.
En créant ce village, Aurelie a souhaité rendre ce mode de vie accessible à ceux qui souhaitent expérimenter la vie en Tiny House. Après avoir bataillé avec la mairie pour obtenir le permis d’aménager, Ty village a pu accueillir ses 5 premières Tiny Houses en 2019. Aujourd’hui, il y en a une vingtaine. Les Tiny Houses sur le terrain sont actuellement en location pendant la période scolaire pour les étudiants. En été, elles sont disponibles à la semaine ou à la nuit pour les touristes et les curieux qui souhaitent tester la vie en Tiny House. En plus de ces locations de Tiny Houses, Ty Village souhaite aussi proposer des terrains à la location pour les propriétaires qui veulent s’installer sur un terrain. Des emplacements sont ainsi disponibles pour accueillir des propriétaires et leur tiny.
On vous expliquait que pour installer une maison alternative (yourte, Tiny House, roulotte…) aucun permis de construire n’était requis. En revanche, les yourtes, les Tiny Houses, les roulottes et autres habitations démontables ne peuvent pas être installées sur n’importe quel terrain. Du coup, est-il possible de poser une maison alternative sur un terrain non constructible ?
Alexandre Penasse : Dans votre ouvrage, vous indiquez que l’épisode sanitaire repose sur deux axiomes : primo, la référence informatique de Nils Ferguson dans la modélisation de l’épidémie ; secundo, la conclusion que la seule possibilité de lutter contre la diffusion du virus consiste à diminuer le nombre de contacts. C’était le début du « narratif ». Quid de cette matrice dans laquelle on est rentré ?
Vincent Pavan : Les simulations numériques de Ferguson vont justifier la prise de décision, en particulier en France. Ferguson est un escroc introduit dans le milieu académique, qui était déjà à la manœuvre à l’OMS en 2009, au moment de la grippe H1N1. Ce fiasco était un peu une répétition générale de ce qu’on a vécu avec le covid. Une commission d’enquête nommée par le Sénat avait conclu à la fausseté de ses prédictions. À nouveau, ses fausses simulations sont allées dans le sens des décisions du gouvernement. L’épidémiologie ne se laisse pas modéliser. La complexité dans la transmission du virus nous échappe complètement et n’est pas susceptible de rentrer dans une épidémiologie « newtonienne ». Le « sans contact » ne repose sur rien. Il a été utilisé pour séparer les gens les uns des autres, imposer le masque et la « distanciation sociale », faire cette publicité atroce de l’enfant qui va embrasser sa grand-mère et l’envoie ainsi mourir à l’hôpital. Ce n’est pas un problème sanitaire mais un prétexte sanitaire.
Ariane Bilheran : Oui, la crise politique s’est manifestée par l’apologie de l’état d’exception, une notion qu’on doit au philosophe Giorgio Agamben, qui a d’ailleurs immédiatement réagi. Il nous explique que quelque chose d’anormal se passe dans les États contemporains : au nom d’une urgence réelle ou supposée, la proclamation de l’état d’exception permet de suspendre ou supprimer nos droits fondamentaux. Ceci pose deux questions : 1) A‑t-on le droit, au nom de la nécessité, de suspendre les droits humains ? La philosophie politique y a répondu par la négative. 2)Lanécessitéenétait-ellevraimentune?L’humanitéétait-elle vraiment en danger de mort ? L’état d’exception est totalitaire, comme le nazisme, qui fonctionnait par décrets mais jamais dans la logique du droit. Quand les politiques commencent à interdire le débat, la controverse et les avis divergents, nous ne sommes plus en démocratie.