Lorsqu’un gouvernement est incapable d’organiser ou d’assurer les conditions d’un bon approvisionnement, il rationne et organise la pénurie.
Comme pour tout bon gouvernement socialisto-communiste, en France nous ne faisons pas exception à la règle et tout se termine toujours dans la pénurie, le manque, et l’absence.
Cette pénurie actuelle de médicament ne doit strictement rien au hasard et tout à l’action publique, et les médias cachent l’essentiel de la vérité.
Oui.
C’est le gouvernement qui est responsable des pénuries.
Pourquoi ?
Parce que dans un monde globalisé, mondialisé, où l’on a délocalisé volontairement nos usines, et où l’on a abandonné volontairement tous les droits de douane, on a décidé (en réalité on nous l’a imposé) de laisser jouer la concurrence internationale.
Le marché français du médicament n’est plus qu’un petit marché de 67 millions d’habitants dans un océan de 8 milliards de gens à soigner. Dans un tel monde et quand la demande est forte, l’ajustement se fait toujours par le prix… et la pénurie.
Ceux qui peuvent payer ou veulent payer sont servis. Les autres, se voient imposer la pénurie.
Avec les certificats d’économie d’énergie (CEE, ou C2E), l’État impose aux vendeurs d’énergie (EDF, Engie, Total, stations essence, etc.) d’inciter financièrement les consommateurs à investir dans l’efficacité énergétique. Pour ce faire, ces vendeurs ont la possibilité de financer des fonds, comme celui du « coup de pouce vélo », ou de financer directement les travaux des particuliers, ou encore de payer des intermédiaires pour le faire à leur place. Mais, c’est là le cœur du bidule : l’État n’impose pas aux entreprises de consacrer tant d’euros à ces « incitations ». Cela serait beaucoup trop simple ! Il leur demande par contre de justifier des économies d’énergie que les particuliers réaliseront grâce à ces financements, en présentant à l’Etat un nombre donné de CEE… Mais comment comptabiliser des économies d’énergies qui n’ont pas encore été réalisées !?
Vous pensez que c’est impossible ? Et bien il faut croire que non : des technocrates – conseillés par les industriels – l’ont fait ! Ainsi, une chaudière dernier cri va permettre d’économiser tant de kWh pendant 20 ans même si on ne sait pas ce qu’elle remplace. Tu achètes 30 m² d’isolant ? On ne sait pas si l’isolant a été bien posé, ni même s’il a été effectivement posé, mais on évalue l’économie d’énergie engendrée par ces 30 m² d’isolant achetés. Ainsi, tous les produits et services concernés par les certificats d’économie d’énergie ont été comptabilisés en kWh économisés. Pour ce qui est du coup de pouce vélo, l’économie d’énergie « créée » grâce à une réparation à 50 euros équivaut à 10 MWh, car nous allons moins prendre notre voiture…
Twitter s’est livré à une censure généralisée à l’encontre d’éminents scientifiques et experts médicaux pour avoir publié des contenus qui contredisaient le récit officiel de la COVID-19, selon le dernier dépôt de documents « dossiers Twitter », publié le 26 décembre 2022 par le journaliste d’investigation et auteur David Zweig.
Selon M. Zweig, une grande partie de cette censure a été mise en place à la demande de l’administration Biden, qui a déclaré que des documents internes ont révélé que l’administration Biden était « très en colère » que Twitter ne s’engage pas dans une plus grande censure.
Le Forum économique mondial (FEM), une organisation mondiale non élue qui cherche à « façonner les agendas mondiaux, régionaux et industriels », a annoncé le programme de sa réunion annuelle de 2023, qui comprend un panel sur la lutte contre la « mésinformation. »
Le panel s’intitule « Countering Threats in the Age of Black Swans » et aura lieu le 18 janvier 2023 à 9 heures, heure normale de l’Est (HNE).
La description de la table ronde ne définit pas la mésinformation, mais affirme qu’un « large éventail d’acteurs » a accès à « une capacité toujours plus grande de diffusion de la mésinformation. » Cette capacité, selon le FEM, est censée aggraver les « menaces qui étaient autrefois considérées comme aberrantes ».
Au cours de la table ronde, les intervenants discuteront de la manière de prévoir, d’atténuer et de contrer ces menaces qui sont censées être aggravées par la mésinformation.
Alors que la description du panel ne définit pas la mésinformation, un récent post promouvant la réunion annuelle du FEM suggère que le groupe considère la critique du FEM et la remise en question des récits dominants du Covid-19 comme de la mésinformation.
Quelles seront les grandes préoccupations du monde dans les prochaines années ? Quels seront les défis mondiaux auxquels nous devrons faire face dans l’avenir, comme la guerre, l’énergie, la Chine ou les nouvelles technologies ?
Les actionnaires de The Economist sont la famille Agnelli (Exor), Rothschild, Cadbury (Kraft Foods : Vanguard, BlackRock, Morgan Stanley, State Street, etc.), Schroders (banques : Lloyds, Guinness Mahon, G30). Ils nous présentent donc leurs vœux pour l’année qui vient. Des désirs à la réalité… Ainsi les prévisions de The Economist pour 2017, démenties par les faits, ont été qualifiées par son propre rédacteur en chef de « conspirationnistes ».
Cette responsabilité des services secrets russes n’a jamais pu être établie et les mails divulgués n’ont jamais été démentis.
La dernière livraison des Twitter Files atteste, sans doute possible, que la CIA a participé aux réunions du FBI avec divers réseaux sociaux. L’Agence a fait pression sur Twitter, Yahoo, Twitch, Cloudfare, LinkedIn et le groupe Wikimedia pour censurer les arguments des opposants au président Emmanuel Macron lors de sa campagne électorale de réélection, en 2022.
« Le chef par intérim de la République populaire de Lougansk, Leonid Pasechnik, a noté une participation plus flagrante de l’OTAN au conflit sur le Donbass. Dans une interview avec TASS, il a déclaré que cela se manifeste notamment par la quantité d’armes fournies [par les pays de l’OTAN] sur le territoire de l’Ukraine. »
Vendredi, un officier de la milice populaire de la LPR, Andrey Marochko, a déclaré à TASS que le commandement des forces armées ukrainiennes avait envoyé des détachements composés d’étrangers armés d’armes de type OTAN dans les villes d’Artemovsk et de Soledar en République populaire de Donetsk.
S’adressant à TASS, Pasechnik a également réitéré que des milliers de mercenaires de plus de 50 pays combattent dans les rangs des forces armées ukrainiennes dans la zone de l’opération militaire spéciale de la Russie.
Quels corps étrangers ont-ils été identifiés ? Que sont ces mystérieux "caillots" ? Y a-t-il une autre explication pour la soi-disant mort subite de l'adulte, que celle médiatisée et quelles lésions d'organes et de tissus spécifiques ont-elles été découvertes ? Le Pr. Arne Burkhardt a présenté les dernières découvertes de l'équipe lors de la conférence de pathologie d'un symposium médical.
En un temps record, l’armée russe a comblé toutes les « lacunes » qu’elle avait. Dans la partie nord du front, elle a stabilisé la ligne de contact le long de la route Sviatove-Kremina. Au sud, dans la région de Kherson, la ligne de front repose désormais sur le Dniepr, un obstacle naturel difficile à franchir pour les Ukrainiens. Récemment, le chef d’état-major de l’armée russe, le général Valery Gerasimov, a indiqué que le front dans la région de Zaporozhye, entre Vasilivka et Vuhledar, a été stabilisé et renforcé par la mise en place d’une défense en couches basée sur 3-4 lignes défensives.
Dans le Donbass, l’armée russe passe à l’offensive dans plusieurs directions. De ce fait, quelques 27 brigades ukrainiennes sont massées derrière les fortifications de Seversk-Soledar-Bahmut pour arrêter l’avancée de l’armée russe. Le général Valery Zalujny n’a plus de troupes prêtes au combat en Ukraine occidentale et septentrionale comme réserve stratégique. Il ne peut pas non plus se permettre de déloger les troupes de la région d’Odessa par crainte d’un débarquement maritime russe. En fait, Zalujny est bloqué parce qu’il n’a aucune idée de la façon dont il peut créer la surprise et prendre l’initiative. Le général Sergueï Sourovikine a désormais toute latitude pour démontrer la supériorité de la pensée militaire russe dans le domaine de l’art militaire. Et les premiers pas, je crois, ont déjà été faits.
Le Professeur Perronne est désormais iconique. Ce spécialiste des maladies tropicales et des maladies infectieuses émergentes, professeur des universités, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches, a incarné la résistance au narratif mondialisé sur le COVID. Cet engagement a suivi de premières études sur la maladie de Lyme, avant l’apparition du COVID, qui lui ont permis de mesurer l’impact des techniques déployées par l’industrie pharmaceutique pour influencer l’opinion.
Pendant plus d’une heure, Christian Perronne a bien voulu répondre à nos questions sur la crise sanitaire que nous traversons, et sur les manœuvres de coulisses. Ses précieuses réponses sans langue de bois constituent un témoignage important pour l’avenir. Nous sommes en effet convaincus que, dans les années, et même les mois qui viennent, la digue bâtie par la propagande officielle contre le « complotisme », qui est en réalité l’esprit critique naturel à la recherche des faits et de leur vérité, ne cessera de prendre l’eau jusqu’à céder complètement.
Ne manquez pas les vœux de Christian Perronne à la fin de l’interview. Ils sont pleins d’espoir et de courage.
Bonne année 2023 à toutes et tous.