• Des preuves de plus en plus nombreuses montrent que les injections de COVID détruisent le système immunitaire des gens et déclenchent des cancers accélérés.
• Une enquête de Steve Kirsch a révélé que la mort subite est la première cause de décès chez les personnes de moins de 65 ans ayant reçu le vaccin COVID.
• La myocardite comme cause de décès est désormais enregistrée dans toutes les tranches d’âge, mais uniquement chez les personnes vaccinées. Les décès d’origine cardiaque sont également beaucoup plus nombreux chez les jeunes (moins de 65 ans) qui ont reçu le vaccin que chez ceux qui ne l’ont pas reçu.
• Des recherches récentes montrent que des vaccinations répétées déclenchent un changement dans les types d’anticorps produits par votre organisme et réduisent votre capacité à éliminer les virus. En passant des anticorps IgG neutralisants spécifiques aux pics aux anticorps IgG4, votre organisme passe du mode suppression des tumeurs au mode progression des tumeurs.
• Outre le risque d’emballement des cellules cancéreuses, la prédominance des IgG4 peut également avoir de graves conséquences sur le plan auto-immun, car la protéine spike de l’injection COVID présente des similitudes avec des protéines humaines.
Les preuves que les vaccins COVID sont un désastre pour la santé publique ne cessent de s’accumuler. Fin décembre 2022, Steve Kirsch1 et Jessica Rose2 ont tous deux publié des articles dans Substack détaillant certaines des dernières preuves montrant que les injections détruisent le système immunitaire des gens et ont déclenché une avalanche de cancers.
L’article de Kirsch3 présente les résultats d’une enquête récente qu’il a menée. Elle comportait quatre questions : l’âge, le fait que la personne décédée ait été vaccinée ou non, l’année du décès et la cause du décès. Si le nombre de réponses est faible, l’examen des tendances permet néanmoins de dégager des enseignements importants.
Tout d’abord, nous avons les données de base de 2020, qui montrent que le cancer était le tueur numéro 1 des Américains de moins de 65 ans, suivi par le traitement hospitalier pour le COVID. Les cancers turbulents représentaient un neuvième des rapports de cancer, et aucun décès dû à une myocardite n’a été signalé.
Chez les personnes âgées de plus de 65 ans, les conditions préexistantes étaient la principale cause de décès en 2020. Le cancer était en deuxième position, l’infection à COVID en troisième et les événements cardiaques en quatrième. Il n’y a pas eu de décès par cancer turbulent, ni de décès par myocardite. Kirsch s’intéresse ensuite aux différences entre les vaccinés et les non-vaxés en 2021 et 2022.
Les sages-femmes, les praticiens alternatifs et les entrepreneurs de pompes funèbres s’inquiètent de l’augmentation des fausses couches et des mortinaissances ainsi que de la baisse générale des taux de natalité.
En 2022, un peu plus d’un an après le début de la campagne de vaccination, beaucoup moins d’enfants sont nés dans de nombreux pays. La Suisse a enregistré environ 15% de naissances en moins au premier semestre 2022 par rapport à 2021. Il s’agit de la plus forte baisse depuis 1871, année où les statistiques ont commencé.
Les chiffres montrent également que les avortements ont considérablement augmenté en 2022. L’Allemagne, par exemple, a enregistré un total de 16% d’avortements en plus au troisième trimestre de 2022 qu’en 2021.
La même chose a déjà été observée au cours des deux premiers trimestres. Les avortements dus à des médicaments ont augmenté d’environ cinq pour cent au troisième trimestre (voir ici et ici). Jusqu’à présent, le public n’a guère prêté attention à ces événements.
Les développements récents suscitent des discussions animées. Les raisons de la baisse du taux de natalité sont peu claires et controversées. Les opposants aux injections d’ARNm en sont certains : la raison de la baisse du taux de natalité est la « vaccination » ; Les autorités et les scientifiques affiliés à l’État, en revanche, nient cela.
Jeudi 15 décembre, l’Agence France presse (AFP) a diffusé une dépêche titrée « Électricité : le relevé de compteurs payant à partir du 1er janvier pour certains clients non équipés de Linky » et dont le contenu a été repris par de nombreux médias et sites web. Or, même si ce qu’a écrit l’AFP n’est pas formellement faux, le fait est que la plupart des gens qui ont vu passer cette information ont été désinformés.
En effet, les personnes qui résistent depuis 2015 à l’invasion des compteurs communicants verts fluo ont juste à faire une auto-relève de leur consommation sur le site web du distributeur d’électricité Enedis, ou par téléphone, pour échapper au moins jusqu’en 2025 à la facturation actuellement agitée pour les intimider.
Notons qu’il s’agit bien d’une simple facturation, parmi les nombreuses autres figurant dans le catalogue des prestations d’Enedis, et en aucun cas d’une amende : les 4 millions de foyers encore équipés de compteurs ordinaires ne sont pas hors-la-loi.
Au sommaire de ce bulletin N°115, proposé depuis Moscou par Xavier Moreau, analyste politico-stratégique : Les sanctions ne frappent toujours que l'Europe, l'armée ukrainienne et les armes d'origine soviétique sont en grande partie détruites.
00.30 Trève de Noël orthodoxe
02.16 The Economist et la Russie
04.17 Démilitarisation de l’Ukraine
24.13 Dénazification de l’Ukraine
25.29 Débolchévisation de l’Ukraine
30.11 Carte des opérations militaires
Dans un rapport d'expert, Steele a déclaré que la 5G représente un crime odieux pour les personnes qui comprennent le motif de son déploiement.
Steele a précédemment agi en tant que témoin et fourni des déclarations dans plusieurs affaires judiciaires, révélant l'absence de toute preuve crédible que le réseau 5G et la connexion neuronale prévue au réseau 5G sont sûrs. Il a également exposé les technologies de nano-métamatériaux qui contaminent les vaccinations coronavirus.
Ses efforts ont porté leurs fruits car un juge du Newcastle Crown Court a déclaré que "le risque 5G doit être débattu".
« Était » car le collectif évolue fortement. Louis Fouché nous propose de nous expliquer ces grands changements : nous lui laissons donc la parole.
« Merci au Média en 442 de m’accueillir. Et merci de me permettre de préciser clairement les choses, si je peux...
Elisabeth Borne doit présenter ce 10 janvier le projet de réforme des retraites. Ardemment souhaitée par Emmanuel Macron, la réforme vise à reculer l’âge légal de départ à taux plein à 65 ans. Cela fait des semaines que les membres du gouvernement et de la majorité avancent des arguments parfois fallacieux pour tenter de justifier cet allongement de la durée de travail.
Basta! est allé regarder de plus près.
2021 : 77 % de la population française de plus de 15 ans possédait déjà un ordiphone (INSEE).
Ce taux d’équipement est en progression constante, et tout est fait pour faire craquer celles et ceux qui résistent encore et toujours à l’envahisseur connecté : acheter un billet de train, accéder à une administration, lire la carte d’un restaurant qui ne propose plus qu’un QR code à ses client·es… Les embûches du quotidien se multiplient pour les non-smartphonisés. Voici un autre exemple de contrainte délirante, découverte en rendant visite à mon vieux pote Béber, installé à Paris. Locataire d’un petit appartement situé dans le 12e arrondissement, il a vu un jour débarquer un technicien chargé de remplacer l’interphone de l’immeuble. « On est tous locataires, c’est la régie (Gecina, bailleur au patrimoine évalué à 20 milliards d’euros, Ndlr) qui s’occupe de ce genre de choses. Ils ne te demandent pas ton avis », m’explique-t-il. Une fois tout le matos bien installé, le type lui en révèle le fonctionnement : lorsque les gens sonneront à l’interphone, la sonnerie ne retentira plus sur son vieux combiné accroché à côté de la porte, mais directement sur son smartphone ! Heureusement, pour le bon fonctionnement du truc, le Béber en question en est équipé.
Cela-dit il a fallu ouvrir la porte parisienne depuis la Roumanie ?!
Nous avons vu passer l’année 2021 qui était une Année 5, c’est-à-dire une année de choix entre le Bien et le mal. Le résultat fut terrifiant = 8 à 2 ! Ou si vous préférez, le mal a recueilli 80% des suffrages et le Bien seulement 20% !
Depuis, la véritable humanité sur la Terre ne constitue plus que ces 20%, entourée par les 80% (environ), qui ont renié leur humanité en se soumettant au mal.
Et, même si c’était prévu depuis des milliers d’années, la pilule est tout de même difficile à avaler, n’est-ce pas ?
L’an passé, en 2022, nous étions en Année 6 : nous disposions de douze mois propices au défi et au déploiement de l’Amour, l’harmonie, la beauté, l’art, le service… euh, bon arrêtons-nous là, car nous avons en réalité connu plutôt une année 2+2+2 : ceci nous donne 6 au total, certes, mais avec une prépondérance de la dualité (trois fois le Nombre 2 !) et de la division tous azimut !
Nous sommes trop peu à connaître le fonctionnement de ce dispositif, géré par des entreprises, que nous finançons chaque année à hauteur de plusieurs milliards d’euros.
900 000 vélos réparés en moins de 6 mois (1) : le dispositif « coup de pouce vélo » cartonne. Il faut dire qu’il est assez simple de profiter de ce « bon d’achat » de 50 euros pour faire réparer son vélo. Il suffit de se rendre chez un vélociste avec son vélo, sa pièce d’identité et son smartphone (2), et hop ! Face au succès de l’opération lancée le 11 mai, le gouvernement a annoncé tripler l’enveloppe dédiée, en la portant à 60 millions d’euros. En septembre, il a encore annoncé une rallonge de 20 millions d’euros. En décembre, le dispositif est prolongé jusqu’au 31 mars, et l’enveloppe portée à 105 millions d’euros. Ce n’est plus une enveloppe, c’est une valise !
Mais d’où vient l’argent ? Le gouvernement fait-il preuve de courage politique en réorientant la dépense publique en faveur du vélo ? Pas du tout. Ce sont les consommateurs finaux d’énergie, c’est-à-dire vous et moi, qui payons le coup de pouce vélo, à chaque fois que nous faisons le plein ou que nous allumons notre radiateur. L’entourloupe porte un nom : le dispositif des certificats d’économies d’énergie. Un formidable « bidule » spécialement créé pour financer la politique de maîtrise de la consommation énergétique. Nous tenterons plus tard d’expliquer en détail le fonctionnement de cette usine à gaz, mais pour l’instant, il suffit de présenter le principe dans ses grandes largeurs pour comprendre la manœuvre. Pour réduire la consommation d’énergie des particuliers (3), l’État impose aux vendeurs d’énergie (EDF, Engie, Total, stations essence, etc.) d’inciter financièrement les consommateurs à investir dans l’efficacité énergétique. Pour ce faire, les vendeurs d’énergie vont tout simplement payer une partie des investissements des ménages : réparation vélo pour éviter de prendre la voiture, isolation des combles pour ne pas pousser le chauffage, etc. Exemple avec le « coup de pouce vélo » : six fournisseurs d’énergie, parmi lesquels Total et Auchan Énergies, abondent un fonds. C’est avec ce fonds que les vélocistes sont payés pour la réparation des vélos.
Lorsqu’un gouvernement est incapable d’organiser ou d’assurer les conditions d’un bon approvisionnement, il rationne et organise la pénurie.
Comme pour tout bon gouvernement socialisto-communiste, en France nous ne faisons pas exception à la règle et tout se termine toujours dans la pénurie, le manque, et l’absence.
Cette pénurie actuelle de médicament ne doit strictement rien au hasard et tout à l’action publique, et les médias cachent l’essentiel de la vérité.
Oui.
C’est le gouvernement qui est responsable des pénuries.
Pourquoi ?
Parce que dans un monde globalisé, mondialisé, où l’on a délocalisé volontairement nos usines, et où l’on a abandonné volontairement tous les droits de douane, on a décidé (en réalité on nous l’a imposé) de laisser jouer la concurrence internationale.
Le marché français du médicament n’est plus qu’un petit marché de 67 millions d’habitants dans un océan de 8 milliards de gens à soigner. Dans un tel monde et quand la demande est forte, l’ajustement se fait toujours par le prix… et la pénurie.
Ceux qui peuvent payer ou veulent payer sont servis. Les autres, se voient imposer la pénurie.
Avec les certificats d’économie d’énergie (CEE, ou C2E), l’État impose aux vendeurs d’énergie (EDF, Engie, Total, stations essence, etc.) d’inciter financièrement les consommateurs à investir dans l’efficacité énergétique. Pour ce faire, ces vendeurs ont la possibilité de financer des fonds, comme celui du « coup de pouce vélo », ou de financer directement les travaux des particuliers, ou encore de payer des intermédiaires pour le faire à leur place. Mais, c’est là le cœur du bidule : l’État n’impose pas aux entreprises de consacrer tant d’euros à ces « incitations ». Cela serait beaucoup trop simple ! Il leur demande par contre de justifier des économies d’énergie que les particuliers réaliseront grâce à ces financements, en présentant à l’Etat un nombre donné de CEE… Mais comment comptabiliser des économies d’énergies qui n’ont pas encore été réalisées !?
Vous pensez que c’est impossible ? Et bien il faut croire que non : des technocrates – conseillés par les industriels – l’ont fait ! Ainsi, une chaudière dernier cri va permettre d’économiser tant de kWh pendant 20 ans même si on ne sait pas ce qu’elle remplace. Tu achètes 30 m² d’isolant ? On ne sait pas si l’isolant a été bien posé, ni même s’il a été effectivement posé, mais on évalue l’économie d’énergie engendrée par ces 30 m² d’isolant achetés. Ainsi, tous les produits et services concernés par les certificats d’économie d’énergie ont été comptabilisés en kWh économisés. Pour ce qui est du coup de pouce vélo, l’économie d’énergie « créée » grâce à une réparation à 50 euros équivaut à 10 MWh, car nous allons moins prendre notre voiture…