Dans cette vidéo, nous explorons le phénomène inquiétant de l’accaparement des terres agricoles en France. Alors que les agriculteurs français font face à une crise de vocation et au vieillissement, de grandes multinationales et des fonds d’investissement s’approprient des hectares de bonnes terres cultivables. Ce phénomène, observé dans de nombreux pays, menace l’avenir de l’agriculture française, sa diversité et la qualité de ses produits. Nous discutons également des limitations de la SAFER et des propositions pour mieux protéger nos terres.
J’ai appris que le Dr Robert Duncan, lanceur d’alerte de la CIA et de la DARPA sur le programme gouvernemental de ciblage et de torture des civils — ainsi que de la technologie de surveillance du cerveau humain à l’échelle mondiale par superordinateur — a été retrouvé mort à son domicile. Il a écrit plusieurs livres, dont Soul Catcher, qui confirme que le piratage de l’âme humaine est possible et a été réalisé. Soul Catcher est de loin le livre le plus important que j’ai lu pour comprendre la profondeur du mal satanique qui surveille et contrôle le monde et comment les superordinateurs souterrains à intelligence artificielle sont utilisés pour les programmes d’assassinat et de torture à distance. Ce programme de ciblage a été le terrain d’essai pour toute l’Humanité. Et maintenant, en raison de l’implantation de l’arme biologique COVID-19, des puces cérébrales nanotechnologiques à assemblage automatique et des microrobots ont été intégrés dans la simulation du monde sensible.
Il a fait d’excellentes présentations, confirmant que les nanoparticules d’auto-assemblage sont utilisées à des fins de contrôle de l’esprit et ont été injectées à des individus avec la capacité de prendre en charge l’intégralité de leurs fonctions cérébrales. En substance, tous les humains sont désormais des candidats mandchous potentiels.
Voir les vidéos à ce sujet...
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Les écrans envoient un nombre gigantesque d’informations au cerveau de l’enfant qu’il n’est pas en capacité de gérer. La lumière bleue des écrans et la fréquence des images diffusées ont un effet très excitant sur l’enfant et provoquent des difficultés à s’endormir, des dérégulations émotionnelles et physiques au moment de l’extinction de l’écran.
L’utilisation des écrans peut également gêner les apprentissages et avoir un impact sur les relations sociales. Les écrans ne développent pas l’intelligence émotionnelle et sont bien souvent une activité solitaire. Les enfants qui passent trop de temps devant les écrans peuvent donc avoir des difficultés à se concentrer et à interagir avec les autres.
Il est important de protéger les enfants de cet environnement et de leur donner les bonnes informations. Les neurosciences recommandent d’éviter les écrans avant 6 ans, car il y a des effets dramatiques à court terme. Les parents doivent être conscients des dangers des écrans et trouver des solutions pour détoxifier leurs enfants.
Voici quelques solutions pour vous aider à détoxifier vos enfants des écrans :
. Fixez des limites claires : déterminez des heures précises pour l’utilisation des écrans et respectez-les. Évitez également de laisser les écrans dans la chambre de votre enfant.
. Proposez des activités en famille qui ne nécessitent pas d’écrans, comme des jeux de société, des promenades, des sorties au parc, etc.
. Proposez à votre enfant des activités créatives comme le dessin, la peinture, la musique, etc.
. Favorisez les interactions sociales : encouragez votre enfant à interagir avec d’autres enfants et à participer à des activités de groupe.
. Soyez un modèle : montrez l’exemple à votre enfant en limitant votre propre utilisation des écrans et en étant présent et attentif lorsque vous êtes avec lui.
. Éduquez votre enfant : expliquez-lui les effets néfastes des écrans sur le cerveau et les relations sociales, et aidez-le à comprendre pourquoi il est important de limiter leur utilisation.
. Utilisez des outils de contrôle parental : utilisez des outils de contrôle parental pour limiter l’accès de votre enfant aux contenus inappropriés et pour surveiller son utilisation des écrans.
. Encouragez la lecture : proposez à votre enfant des livres adaptés à son âge et encouragez-le à lire régulièrement.
. Imposez à votre enfant des pauses régulières lorsqu’il utilise des écrans et à bouger pour se dégourdir les jambes.
. Consultez un professionnel : si vous avez des inquiétudes concernant l’utilisation des écrans par votre enfant, n’hésitez pas à consulter un professionnel de la santé mentale ou un orthophoniste pour obtenir de l’aide.
Yoann
JFK Jr. a été assassiné parce qu’il était le fils de JFK, et qu’il avait des ambitions politiques motivées par une intense piété filiale.
Il devait mourir pour la même raison que son oncle Robert Francis Kennedy (RFK) devait mourir en 1968 : aucun Kennedy ne devait plus jamais s’approcher de la Maison-Blanche – à moins de s’appeler aussi Schlossberg, selon l’avis du rabbin Jeffrey Salkin. Et JFK Jr. aurait pu accéder à la Maison-Blanche en huit ans (il aurait eu 48 ans en novembre 2008 ; son père était devenu président à 43 ans). Je vais expliquer cela aussi.
« La famille Kennedy est un clan, une tribu, une souveraineté et une dynastie », a écrit Arthur Krock, qui les a bien connus [1]. Aucun des Kennedy ne peut être compris comme un simple individu. Ainsi, dans un sens plus profond, la raison pour laquelle JFK Jr. devait mourir est qu’il était le petit-fils du patriarche fondateur, Joe Kennedy. Ce point a été souligné sans ambiguïté par John Podhoretz dans un éditorial pour le New York Post, publié le jour même où le corps de JFK Jr. a été retrouvé au fond de l’océan, avec ceux de sa femme et de sa belle-sœur. Dans cette fiction des plus dégoûtantes, Podhoretz imagine que le Diable s’adresse à Joe en enfer : « Chaque fois que tu crois que ta famille est à nouveau sur le chemin de la gloire, je dois faire quelque chose, comme je l’ai fait ce week-end, avec ton petit-fils John. » Selon Podhoretz, JFK Jr. est mort en représailles pour ce que son grand-père a fait aux juifs, « lorsqu’il était ambassadeur des États-Unis en Angleterre, disant toutes ces gentillesses sur Hitler, et faisant son possible pour empêcher l’émigration juive de l’Allemagne nazie ». « Des milliers de juifs sont morts à cause de toi », selon le Diable parlant par Podhoretz.
Notez que, logiquement, c’est le dieu des juifs Yahvé, et non le Diable, qui devrait vouloir punir Joe en tuant son petit-fils. À moins bien sûr que Yahvé soit le Diable. Podhoretz n’a pas pris le temps de réfléchir à cette question ; il ne pouvait pas attendre un jour de plus pour exprimer sa joie, alors que l’Amérique pleurait le prince de Camelot.
John Podhoretz est le fils de Norman Podhoretz, l’homme qui en 2004 voulait déclencher la quatrième guerre mondiale. Les Podhoretz aiment les guerres mondiales parce que les guerres mondiales sont toujours bonnes pour Israël. C’est pour cela qu’ils ont une haine éternelle envers Joe Kennedy, l’homme qui a presque réussi à éviter la Seconde Guerre mondiale. Comme je l’explique dans le chapitre que je lui consacre dans Qui a maudit les Kennedy ?, Joe Kennedy n’était pas un ami de Hitler, mais un ami de la paix, tout comme Neville Chamberlain. « Je suis pour la paix, je prie, j’espère et je travaille pour la paix », déclara-t-il à son premier retour de Londres en décembre 1938 [2].
Pour avoir tenté d’empêcher les juifs d’entraîner l’Amérique dans la guerre, Joe Kennedy était considéré comme un antisémite de dimension holocaustique. Il est d’ailleurs étonnant que ses fils aient pu réussir si bien dans la politique américaine, malgré la réputation de leur père comme partisan de l’apaisement avec Hitler. Joe a dû déployer des trésors d’ingénuité pour laver sa descendance de la tâche antisémite.
Du point de vue d’Israël, JFK était définitivement un partisan de l’apaisement, comme son père. Israël avait eu besoin de la Seconde Guerre mondiale, et Israël avait maintenant besoin de la Troisième Guerre mondiale (c’est ainsi que Norman Podhoretz appelle la guerre froide). « Qu’est-ce qu’ils ont, tous ces Kennedy ? Pourquoi veulent-ils toujours empêcher ou mettre fin aux guerres dont Israël a besoin ? Que Yahvé les maudisse ! »
La malédiction des Kennedy est un concept kabbalistique qui a été présenté au public dans des livres tels que Les Péchés du père (Ronald Kessler) et La Malédiction des Kennedy (Edward Klein). Le titre du premier livre, écrit en 1997, fait référence à Exode 20:5 : « Moi, Yahvé, ton dieu, je suis un dieu jaloux qui punis la faute des pères sur les enfants, les petits-enfants et les arrière-petits-enfants de ceux qui me haïssent. » Le second livre, publié en 2004, évoque en introduction l’histoire « racontée dans les cercles juifs mystiques » selon laquelle, en « représailles » pour une remarque que Joe aurait faite à « un pauvre rabbin Loubavitch, et six de ses étudiants de yeshiva qui fuyaient les nazis » à la veille de la Seconde Guerre mondiale, « le rabbin a jeté une malédiction sur Kennedy, le condamnant, lui et toute sa progéniture mâle, à des destins tragiques » [8]. On voit bien le rapport entre cette « malédiction des Kennedy » et le texte de John Podhoretz : mettez la malédiction sur le compte du diable, mais sachez qu’il s’agit du pouvoir (surnaturel) des juifs.
Il est implicite dans l’histoire de Klein que la malédiction est d’abord entrée en action par la mort de Joe Kennedy Jr., l’aîné de la fratrie, tué au combat le 12 août 1944, aux commandes d’un bombardier dans une mission à haut risque. Le destin présidentiel est alors passé au deuxième fils.
La malédiction des Kennedy frappa à nouveau le 22 novembre 1963. J’ai évoqué dans mon livre cet homme de 39 ans nommé Louie Steven Witt qui était venu reprocher silencieusement au président Kennedy le soutien de son père à la politique d’apaisement de Chamberlain, en se tenant avec un parapluie noir à l’endroit et au moment précis de son exécution. Cette coïncidence entre le geste symbolique de Witt et l’assassinat n’était qu’une… malheureuse coïncidence, assura Witt au House Select Committee on Assassinations en 1978, et on ne lui posa pas d’autre question.
Je n’avais pas prêté attention au fait que Witt n’était pas le seul à faire sa « mauvaise blague ». Sur le film Zapruder et sur d’autres photos, on peut voir, devant lui à droite, un homme saluant JFK. Cet homme n’a jamais été identifié, et c’est étrange, car il était visiblement avec Witt. Quelques minutes après avoir vu la tête de JFK exploser sous leurs yeux, ils étaient assis l’un à côté de l’autre au même endroit. Cela suggère que leurs actions étaient un acte symbolique coordonné et que le salut du compère de Witt était censé être un salut nazi. Le parapluie noir en lui-même n’était peut-être pas un message assez clair, et donc le salut nazi rendait le message beaucoup plus clair.
Louie Steven Witt et ses collègues étaient-ils des agents sionistes conscients de la portée de leur geste ? Je ne pense pas. Le fait qu’ils se soient assis ensemble après coup suggère qu’ils étaient stupéfaits et se demandaient ce qu’ils avaient bien fait. Je suppose qu’ils avaient été envoyés pour transmettre un message symbolique, sans savoir que cela pimenterait l’assassinat. Qui serait assez fou pour se mettre dans cette situation en connaissance de cause et se placer, de surcroît, si prêt de la ligne de mire du tireur du Grassy Knoll ? Peut-être avaient-ils été convaincus de le faire pour de l’argent, ou dans le cadre d’un pari, ou comme service rendu au patron juif de Witt à la Rio Grande National Life Insurance Co où Witt travaillait.
Je pense en tout cas que, s’il restait le moindre doute sur le fait qu’Israël était l’instigateur principal de l’assassinat de John Kennedy, Umbrella Man et Nazi-Salute Man en sont la signature ultime. Mais pour voir cela, il faut une certaine perspicacité spirituelle.
Les Podhoretz, fondateurs du mouvement néoconservateur, incarnent l’âme maléfique des États-Unis. Les Kennedy incarnaient le meilleur de l’Amérique : des valeurs familiales ancrées dans le christianisme, et le culte du service rendu au pays jusqu’au sacrifice. La famille Kennedy symbolisait l’Amérique que les Américains et le monde aimaient. Aucune autre famille américaine n’avait une telle aura dynastique.
C’est pourquoi John F. Kennedy, Jr. était le « prince héritier charismatique de la famille royale américaine », comme l’écrivait le New York Daily News au lendemain de sa mort. Il était le prince Hamlet hanté par le fantôme de son père assassiné, destiné à le venger et à sauver le royaume des usurpateurs. La tragédie de Kennedy est l’histoire la plus shakespearienne, la plus mythique, la plus paradigmatique, la plus emblématique de toute l’histoire américaine. Et l’Amérique n’a pas un seul monument digne en leur honneur. Tant de musées de l’Holocauste pour honorer les morts juifs, et pas une seule chapelle pour prier pour les Kennedy.
En fait, seul Israël a construit un mémorial Kennedy relativement important. Il a été explicitement conçu pour ressembler à « la souche d’un arbre abattu », et c’est effectivement le cas. Vous voyez l’idée ? Il symbolise le projet d’Israël pour la dynastie Kennedy. Vous pouvez faire confiance aux juifs pour choisir les symboles avec précision. Et n’imaginez pas qu’on puisse voir une statue ou même une seule photo de Kennedy à l’intérieur du monument ; il est creux comme une souche morte. C’est un mémorial pour effacer la mémoire de Kennedy, ce qui me rappelle le commandement paradoxal de « ne pas oublier d’effacer la mémoire d’Amalek » (Deutéronome 25:19 et Exode 17:14).
La haine des sionistes envers les Kennedy est ancienne et éternelle. Lors de sa rencontre avec le nouveau président le 30 mai 1961 à New York, Ben Gourion ne pouvait s’empêcher de voir en lui le fils d’un pacificateur hitlérien. Abraham Feinberg (qui organisait la rencontre) se souvient que « Ben Gourion pouvait être vicieux et qu’il avait une telle haine envers "le vieux" [Joe Kennedy] » [9]. Ben Gourion ne se faisait aucune illusion sur le fait que John était vraiment le fils de son père. N’avait-il pas, dans son livre Profiles in Courage, lauréat du prix Pulitzer en 1956, donné raison au sénateur Robert Taft pour avoir dénoncé les procès de Nuremberg comme une parodie de justice, et la pendaison de responsables allemands comme « une tache sur l’histoire américaine que nous regretterons longtemps » ? Il n’échappa certainement pas aux sionistes que, le 11 mai 1962, le président Kennedy invita à la Maison-Blanche Charles Lindbergh, celui qui en 1940 avait accusé publiquement les juifs de pousser l’Amérique à la guerre, et vivait depuis la fin de la guerre en reclus pestiféré.
De plus, JFK voulait empêcher Israël de se doter de la dissuasion nucléaire indispensable pour empêcher les Arabes de commettre un nouvel Holocauste. C’est ce que Ben Gourion voulait dire en décrivant Nasser comme un nouveau Hitler et les Arabes comme les nouveaux nazis, dans l’une de ses dernières lettres à Kennedy, le 12 mai 1963, en réponse à la demande de Kennedy d’inspecter immédiatement Dimona : « Les connaissant, je suis convaincu qu’ils sont capables de suivre l’exemple nazi… Monsieur le Président, mon peuple a le droit d’exister… et cette existence est en danger. » Il termina sa lettre par une remarque cryptique sur le roi Hussein de Jordanie : « Il y a toujours le risque qu’une balle mette fin à sa vie et à son régime. » [10]
Ben Gourion avait de bonnes raisons de craindre, non seulement une présidence de John Kennedy jusqu’en 1968, mais la dynastie Kennedy, car on imagine aisément que Robert Kennedy prenne sa succession pour huit ans et, pourquoi pas, Ted Kennedy ensuite. Il fallait non seulement éliminer John Kennedy, mais détruire la dynastie Kennedy. Pour cela, il fallait également tuer le fils unique du président Kennedy. Tuer son avenir politique n’était pas suffisant, et probablement pas possible.
J’ai écrit un très long article sur JFK Jr. en janvier 2019, intitulé « Le destin présidentiel brisé de John Kennedy Junior », que je vais maintenant résumer.
Les preuves de l’assassinat
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Il est intéressant de regarder de plus près les raisons pour lesquelles l’ancien président a fait ce choix. Un célèbre libertarien américain, Wayne Roote, a son idée sur la question.
Le choix d’un vice-président est toujours complexe pour un candidat à la présidence des Etats-Unis. Et Donald Trump a fait une mauvaise expérience, puisqu’il a été trahi, en fin de premier mandat, par Mike Pence, un homme politique catholique, très opposé à l’avortement mais qui a refusé d’aider Trump à démasquer la fraude du camp Biden lors de l’élection présidentielle de 2024.
Certains s’étonnent, pour cette raison, que l’ancien président ait chois, cette fois, un homme qui le critiquait durement il y a quelques années. Mais écoutons ce qu’a à en dire Wayne Root, célèbre libertarien américain...
Je vous présente Laurence Tubiana. Elle a été choisie par le NFP (hors LFI) pour devenir 1° ministre. Laurence Tubiana porte le pin’s de Bill Gates « global goals» et participe au forum de Davos.
«Il faut que tout change pour que rien ne change »
L’étude, publiée dans Science Direct, confirme ce que les « climatologues » auraient dû dire au public depuis longtemps.
Selon la nouvelle étude, l’effet de réchauffement du dioxyde de carbone dans l’atmosphère est naturellement limité.
En fait, cette limite a déjà été atteinte il y a plusieurs décennies.
L’étude montre que les émissions de dioxyde de carbone n’ont aucun impact sur les températures globales de la Terre.
Même si l’on extrayait tout le charbon et tout le pétrole du monde pour les brûler dans un gigantesque bûcher, les émissions de CO2 ne réchaufferaient pas la planète.
Les conclusions de cette étude vont directement à l’encontre du discours mondialiste sur la « crise climatique » véhiculé par la communauté « scientifique » financée par les Nations unies.
Même la National Aeronautics and Space Administration (NASA), financée par les contribuables, continue de promouvoir ces « affirmations sur le réchauffement climatique ».
Les trois scientifiques polonais de l’université militaire de technologie de Varsovie qui ont rédigé cette dernière étude ont suivi les traces d’autres scientifiques qui ont tiré des conclusions similaires dans leurs propres recherches, publiées ces dernières années.
Comme une éponge, elle ne peut en contenir qu’une quantité limitée, ce qui signifie que le dioxyde de carbone ne peut plus augmenter les températures car le point de saturation a été atteint il y a longtemps.
Les grands médias ont toutefois refusé de faire état de ces études.
Toutes ces études suivent le même concept sous-jacent.
La dernière étude utilise le concept hypothétique d’un feu à l’intérieur d’une serre qui émet constamment de la chaleur.
La serre devient de plus en plus chaude, mais à un moment donné, la chaleur commence à se dissiper et la température à l’intérieur se stabilise.
Les parois et le plafond en verre ne peuvent contenir qu’une quantité limitée de chaleur avant de commencer à l’émettre vers l’extérieur.
Le cas du CO2 dans l’atmosphère est très similaire.
Il peut agir comme un gaz à effet de serre, mais l’ensemble du CO2 ne peut contenir qu’une quantité limitée de chaleur, tout comme la serre hypothétique.
La CO2 Coalition explique :
« L’effet de réchauffement de chaque molécule de CO2 diminue à mesure que la concentration globale de CO2 augmente.
Une fois la limite globale atteinte, l’ajout de CO2 n’a plus d’impact.
Il est intéressant de noter que la limite de l’effet de serre a peut-être été atteinte avant même la construction de la première usine au charbon.
Les scientifiques polonais affirment, sur la base de leurs résultats, qu’il y a « actuellement un dépassement multiple de la masse de saturation pour le dioxyde de carbone dans l’atmosphère terrestre ».
Selon l’étude, nous avons déjà atteint le point, il y a longtemps, où le CO2 a perdu son efficacité pour réchauffer la planète.
Des scientifiques de l’université McGill ont fait le même constat l’année dernière :
La transmission dans la bande centrale du CO2 reste inchangée en cas d’augmentation du CO2, car l’absorption est déjà saturée.
Par « déjà saturée », ils entendaient que l’absorption est saturée depuis des siècles – depuis « l’ère préindustrielle », en fait.
Le niveau de CO2 dans l’atmosphère est aujourd’hui légèrement supérieur à 400 ppm.
Selon le professeur Dieter Schildknecht de l’université de Bielefeld, en Allemagne, le niveau de saturation du dioxyde de carbone n’est que de 300 ppm, un niveau qui a probablement été atteint vers 1950, comme l’illustre le graphique ci-dessous.
Sur la base de recherches antérieures, Schildknecht écrit qu’au-delà de ce niveau, les émissions causées par l’activité humaine n’ont pas d’effet significatif sur les propriétés d’effet de serre du dioxyde de carbone.
[...]
00:00 – Ukraine pourquoi la Russie a gagné
Géopolitique profonde
Octobre 1795 : décret des deux tiers
La dette
07:50 – Économie
MBS vs les voleurs européens
Ariane VI & RD 191-M
KAMAZ : robotisation
12:10 – Politico-diplomatique
Orban : nationaliste pour la paix
Visite de Narendra Modi à Moscou
Sommet de l’OTAN
Géorgie : le chemin vers la liberté
19:05 – Empire du mensonge
Kiev : bombardement de l’hôpital pour enfants
ISIDA et le trafic d’esclaves
Pertes russes sur la BBC
25:10 – Terrorisme
Sauvagerie kiévienne vs christianisme russe
27:40 – Armement
Drones US en mer Noire
Chine : fournisseur de l’US Army
Thierry Breton : bureaucrate incompétent
30:52 – Considération militaire général
Azov : guerre totale !
32:22 – Carte des opérations militaires
La question de la sécurité autour de Donald Trump agite l’Amérique après la tentative d’assassinat qui a visé le candidat républicain à la présidentielle ce samedi 13 juillet, lors d’un meeting à Butler, en Pennsylvanie. « Clairement, nous allons avoir beaucoup de questions à poser sur ce qu’il s’est passé », a réagi Steve Scalise, chef de la majorité républicaine à la Chambre des représentants.
Donald Trump a été touché à l’oreille. Exfiltré par les agents du Service secret, l’ancien président a été examiné par des médecins et se porte bien. Mais un militant présent dans le public, également touché, est décédé. Le FBI dit avoir identifié le tireur comme étant « Thomas Matthew Crooks, 20 ans, de Bethel Park, Pennsylvanie ». Il a été abattu après avoir tiré.
[…]
Plusieurs témoins ont affirmé avoir aperçu le tireur avant qu’il n’ouvre le feu et avoir tenté d’alerter la police de la ville, qui a rapporté avoir « répondu à un certain nombre de rapports d’activité suspecte », sans donner plus de précisions. Un témoin interrogé par la BBC assure avoir vu « un homme ramper sur le toit » et l’avoir montré « pendant plusieurs minutes » aux forces de l’ordre. « On pouvait clairement le voir avec son arme », a-t-il ajouté, expliquant que la police semblait ne pas comprendre ce qu’il se passait. Selon lui, l’inclinaison du toit faisait que les agents du Service secret ne pouvaient probablement pas le voir de là où ils se trouvaient.
[…]
Quarante-six mille entreprises israéliennes ont été contraintes de fermer en raison de la guerre en cours et de ses effets dévastateurs sur l’économie, a rapporté le journal hébreu Maariv le 10 juillet, qualifiant Israël de «pays en faillite».
«Ce chiffre très élevé englobe de nombreux secteurs. Environ 77% des entreprises qui ont fermé depuis le début de la guerre, soit environ 35 000 entreprises, sont des petites entreprises comptant jusqu’à cinq employés, les plus vulnérables sur le plan économique», a déclaré Yoel Amir, PDG de la société israélienne de services d’information et de gestion des risques de crédit, CofaceBdi, au média Maariv.
Le rapport ajoute que : «les industries les plus vulnérables sont celles de la construction et, par conséquent, tout l’écosystème qui fonctionne autour d’elles : la céramique, la climatisation, l’aluminium, les matériaux de construction, etc.».
Le secteur du commerce a également été sévèrement touché. Il s’agit du secteur des services et des industries de la mode, du mobilier, des articles ménagers, des loisirs, des transports et du tourisme.
Israël se trouve dans une situation où «le tourisme étranger a pratiquement disparu», indique le rapport, ajoutant que «les préjudices subis par les entreprises s’étendent à tout le pays, et presque aucun secteur n’a été épargné».
Cela inclut le secteur agricole, principalement basé dans le sud et le nord – tous deux considérés comme des zones de combat actives en raison de la menace représentée par la résistance palestinienne et le Hezbollah libanais – dont le front de soutien contre Israël a contribué de manière significative à l’effondrement de l’économie.
Le directeur général de CofaceBdi estime que 60 000 entreprises israéliennes devraient fermer boutique d’ici à la fin de 2024.
Les attaques du Hezbollah ont gravement affecté les entreprises locales et l’éducation dans le nord. Des dizaines de milliers de colons ont été contraints d’évacuer. «Notre objectif d’assécher l’économie de l’ennemi a été atteint», a déclaré Hassan Nasrallah, chef du Hezbollah, le 10 juillet.
Les opérations militaires en mer conduites par l’armée yéménite ont également contribué à l’effondrement de l’économie du pays. Les recettes des principaux ports, comme celui d’Eilat, dans le sud du pays, ont chuté de manière spectaculaire.
Au cours des derniers mois de 2023, le PIB israélien a chuté de près de 20%.
La menace d’une intensification des hostilités avec le Hezbollah a également fait craindre à Israël qu’une guerre à grande échelle avec la résistance libanaise ne pousse l’économie israélienne à plonger encore davantage. Le Hezbollah a démontré, par le biais de récents avertissements vidéo, qu’il était capable d’attaquer des infrastructures énergétiques telles que des raffineries de pétrole et des réservoirs de gaz.
La question numéro un qui circule constamment sur les réseaux sociaux et qui exaspère des millions de personnes est : « Qui sont-ils ? »
Non pas « qui sont-ils », mais « qui sont-ils », comme si « ils » était une force unique fonctionnant comme un seul.
Alors que « ils » fonctionnent souvent comme une force unique, de nombreux individus et acteurs sont impliqués.
Les gens veulent savoir qui se cache derrière l’argent, le pouvoir, le contrôle, les récits et la destruction du monde – les guerres incessantes, l’inflation artificielle, les attaques contre le système alimentaire et l’agriculture, les grandes sociétés pharmaceutiques et la folie médicale, la surveillance constante, l’IA et le transhumanisme, l’ensemble du système financier, etc.
Cela ne se limite pas à un ou même à dix pays – c’est un programme mondial qui remonte à des siècles et même les chercheurs, historiens et enquêteurs les plus brillants ne peuvent pas nommer toutes les personnes impliquées au sommet de cette hiérarchie.
Cependant, il y en a des milliers qui peuvent être nommés, et presque tout le monde a reconnu le fait qu’il s’agit d’un très petit pourcentage qui tente de diriger le monde sous son « Nouvel Ordre Mondial ».
Il existe plusieurs termes utilisés pour désigner ces mauvais acteurs, tels que « État profond », « cabale mondiale », « Illuminati » et « gouvernement de l’ombre ».
Les individus qui orchestraient cette tentative de prise de contrôle mondiale opèrent en secret au sein du gouvernement pour modifier les politiques publiques et les lois tout en façonnant la culture et les récits. Plus récemment, beaucoup de ces mauvais acteurs n’opèrent plus en secret – ils ont plutôt adopté un style plus direct.
Ils sont tous impliqués, essayant désespérément d’éliminer les masses grâce à leur manuel de jeu, et bien qu’ils semblent avoir un plan A, B et C pour chaque programme, les gens ripostent et voient clair dans leurs tactiques de manipulation.
Il est vrai que cela crée un champ de dissonance cognitive assez large, mais chaque mois qui passe, de plus en plus de gens prennent conscience du jeu qui se joue sur l’humanité et refusent de le tolérer.
C’est la grande arnaque et ils ne peuvent y arriver que si vous y croyez, si vous tombez dans le panneau, si vous acceptez qu’ils ont du pouvoir sur vous et que vous vous laissez devenir l’esclave obéissant qu’ils veulent que vous deveniez.
C’est la plus grande dose de vérité. Ils ont besoin que tout le monde croie qu’ils sont l’autorité, qu’ils ont vos intérêts à cœur et que ce qu’ils vous disent est vrai.
Ils veulent que vous vous sentiez impuissant et dépendant d’eux.
C’est leur plus grand obstacle et c’est celui auquel vous ne devriez jamais céder.
Plus on remonte loin dans le temps, plus il est difficile de les suivre. Pourquoi ?
Parce que les lignées riches ont tendance à se mélanger, changeant souvent de nom et d’orthographe, d’origine et de liens familiaux.
Pour couronner le tout, des centaines de campagnes psychologiques sont menées simultanément, provenant de plusieurs pays et sources, pour semer encore plus la confusion.
Une chose est sûre : ces gens planifient cette prise de pouvoir ultime depuis très longtemps, ont tous leurs sbires et leurs outils utiles pour se coordonner, ont lavé le cerveau de millions de personnes avec leurs plans, sont astucieux et calculateurs avec leurs méthodes et bien plus intelligents que la plupart ne voudraient l’admettre.
Les gens veulent des noms, alors commençons par là.
C’est une grande partie de la hiérarchie, qui laisse quelques inconnues cachées derrière la Banque des règlements internationaux (« BRI »).
Dans le rapport en trois parties de Corey Lynn sur « Le blanchiment avec immunité« , il explique en détail comment et quand la BRI est née et comment la BRI et 63 banques centrales ont conçu un plan pour détenir des immunités et des privilèges.
Peu de temps après, en 1945, l’ONU a été manifestée par certains des comploteurs de cette grande prise de contrôle, et les immunités et privilèges sont arrivés avec elle le lendemain.
C’était le début du cadre de contrôle et de la façon dont ils seraient en mesure de mener à bien leurs programmes tout en opérant entièrement en dehors de la loi.
Toutes les branches de l’ONU bénéficient de ces immunités et peuvent les étendre aux organisations qui travaillent avec elles.
Bien avant la création de l’ONU, l’Organisation des États américains (« OEA ») a été créée.
Eux aussi ont été les premiers à bénéficier d’immunités et de privilèges, aux côtés de l’ONU, car ils travaillent en collaboration les uns avec les autres.
Elles peuvent également étendre ces immunités aux organisations avec lesquelles elles travaillent.
Outre les banques, l’ONU et l’OEA, le Fonds mondial, Gavi et le Forum économique mondial ont également bénéficié de ces immunités, ainsi que de nombreuses autres organisations internationales clés.
Au total, 76 organisations internationales bénéficient de ces immunités et privilèges, sans compter la BRI et les banques centrales.
Alors que l’ONU et l’OEA ont conclu des traités avec de nombreux pays qui leur confèrent des niveaux de protection à toute épreuve, les autres organisations internationales détiennent des immunités, des privilèges et des accords de siège de manière indépendante avec chaque pays qui a choisi de le faire, et ils sont nombreux !
Les États-Unis ont préparé le terrain pour cela, en les distribuant à 76 organisations au cours de chaque présidence, à l’exception de celles de Trump et de Biden.
Lisez « Blanchir avec immunité » pour saisir toute l’étendue de ce que ces immunités et privilèges impliquent.
Pour commencer, toutes leurs archives sont inviolables, leurs biens et actifs sont à l’abri des perquisitions et saisies, ils sont exemptés de tout type d’impôt que paient les citoyens ordinaires, y compris les impôts fonciers, les dirigeants et employés sont exemptés de poursuites judiciaires, les employés et les membres de leur famille peuvent voyager dans le monde entier sans contrôle des douanes, les militaires et la police ne sont pas autorisés à entrer dans leur quartier général, et bien plus encore.
Une fois que les gens comprennent que CECI est le cadre de contrôle – la structure qui a été créée il y a près de 80 ans pour qu’ils puissent opérer en dehors de la loi et ne jamais être tenus responsables, il est facile de voir comment tous les autres éléments se mettent en place.
Qui sont-ILS ?
Voilà à elle seule la liste des 76 organisations, de la BRI et des 63 banques centrales au sommet de la pyramide, sachant que derrière cette pyramide se trouvent des acteurs riches et stratégiques dont nous ne connaîtrons peut-être jamais les noms.
Ceux qui dirigent ces organisations sont les noms clés délibérément placés en position de pouvoir pour mener à bien des programmes spécifiques.
Ces acteurs clés se déplacent au sein de ce groupe d’organisations et dirigent parfois des organisations affiliées afin de maintenir leur stratégie.
Certains de ces programmes proviennent directement des organisations pyramidales, tandis que d’autres sont sous-traités à leurs affiliés dans des ONG, des entreprises, des universités, des législateurs, des gouvernements, des agences de presse à trois lettres, des médias d’information et des sociétés de capital-investissement. Par exemple, les agents de la CIA accèdent souvent à des postes dans les médias d’information, les directeurs de la FDA passent souvent dans les grandes sociétés pharmaceutiques, les directeurs des CDC passent à la Fondation Rockefeller ou à la Fondation Bill & Melinda Gates, etc.
Ils maintiennent leurs acteurs clés à des postes dont ils ont besoin à des moments précis, puis les déplacent vers d’autres postes de direction lorsqu’ils ont besoin que certaines actions soient menées.
Jim Yong Kim en est un parfait exemple, depuis la cofondation de Partners in Health jusqu’à la fonction de conseiller auprès du directeur général de l’OMS et du directeur du département VIH/SIDA, puis à la réalisation des résultats requis à Harvard à divers postes, jusqu’à la présidence du Dartmouth College, puis à la présidence de la Banque mondiale – démissionnant par coïncidence début 2019, et maintenant associé chez Global Infrastructure Partners.
Kim a joué un rôle déterminant dans des actions néfastes en Haïti, dans le programme de lutte contre le sida, dans les vaccins, dans la recherche des contacts du covid, dans la pression exercée sur les pays pour qu’ils reçoivent un financement de la Banque mondiale et dans le programme climatique, et chaque poste était au bon moment.
Ce n’est pas une coïncidence si BlackRock acquiert Global Infrastructure Partners au 3e trimestre 2024.
Vous pouvez en savoir plus sur les relations et l’implication de Jim Yong Kim dans les rapports de Corey Lynn ICI , ICI et ICI.
Ils ont fait un travail incroyable pour tenter d’enterrer son enfance et sa famille.
Le PDG de BlackRock, Larry Fink, a également fait des pieds et des mains pour cacher ses liens familiaux et son enfance, avec un père qui semble être un fantôme.
Il est compréhensible de vouloir garder sa famille à l’abri des regards du public lorsqu’on occupe des postes importants, mais ces chats ont bien plus à offrir que ce que l’on voit.
Il existe d’innombrables petites entreprises qui ont eu la bonne volonté de fournir des produits et des services de qualité aux gens ou à la terre, mais à mesure qu’elles ont commencé à se développer et à attirer l’attention, ces organisations corrompues sont intervenues pour tenter de les récupérer et finalement de les acquérir.
Le rachat de Whole Foods par Amazon en est un bon exemple.
Ces organisations, y compris les soi-disant philanthropes milliardaires, sont derrière chaque grande industrie et la « réimaginent » pour essentiellement exclure tout le monde de la prospérité financière afin que tout le monde puisse devenir la proie de leur système d’esclavage planifié.
En fin de compte, le Congrès doit révoquer ces immunités et privilèges.
Tout législateur qui affirme que les États-Unis doivent retirer le financement de l’OMS (qui fait partie de l’ONU) ou de l’ONU elle-même n’est manifestement pas au courant de ce cadre de contrôle, car s’il l’était, il saurait que retirer le financement ne résoudra rien.
Comment « Ils » opèrent et listes de qui « Ils » sont !
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Selon Elon Musk, la Commission européenne aurait suggéré à X de censurer discrètement certains discours, sans en informer le public. En échange, X serait épargnée des amendes. X a refusé cet accord, contrairement à d’autres plateformes qui l’auraient accepté. Vous ne rêvez pas, l’UE demande de comploter contre ses propres citoyens !
Avec plus de 112 millions d’utilisateurs actifs mensuels en Europe, X occupe une place centrale dans le débat public et la diffusion de l’information en temps réel.
Cette accusation met gravement en cause l’intégrité et la transparence des institutions européennes. Elle soulève également des questions cruciales sur la liberté d’expression et la censure dans l’espace numérique. La censure non divulguée porte atteinte au débat public et aux fondements de nos démocraties. Des procédures légales sont actuellement en cours contre X pour non-respect des réglementations numériques, avec des sanctions potentielles à la clé.
Musk a ouvert un débat essentiel sur la transparence et la responsabilité des médias sociaux et des institutions régulatrices.Les accords de censure secrets révèlent une dérive inquiétante vers un contrôle total de l’information, manipulant l’opinion publique, influençant la politique et menaçant la liberté d’information et notre démocratie.
De l’UE du chantage à l’UE de la censure, il n’y a qu’un pas. Le Digital Services Act (DSA) était censé protéger les consommateurs européens, mais il semblerait qu’il soit en train de les sanctionner.
« La Commission européenne a proposé ???? un accord secret et illégal : si nous censurions discrètement les discours sans en parler à personne, ils ne nous imposeraient pas d’amende. Les autres plateformes ont accepté cet accord. ???? ne l’a pas fait. »