Le succès de la BD Le Monde sans fin constitue tout à la fois une excellente et une très mauvaise nouvelle. Pour cause : cet ouvrage est à la fois excellent et très mauvais…
L’excellent se trouve en première partie, dans laquelle le dessinateur Christophe Blain illustre avec humour et talent les propos de Jean-Marc Jancovici, mettant en lumière notre dépendance au système énergétique. Les auteurs y rappellent notamment qu’il n’y a jamais eu de transition énergétique depuis le début de l’ère industrielle : au bois s’est ajouté le charbon, puis le pétrole, le gaz, l’hydroélectricité, avant que ne débarquent le nucléaire et les énergies renouvelables.
Résultat : en multipliant les sources, nous avons démultiplié notre consommation d’énergie. Nous serions ainsi devenus des sortes d’Iron Man qui s’ignorent, avec à notre service des super pouvoirs offerts par les machines que nous avons à notre service. Ou encore des nababs entourés de centaines d’esclaves invisibles : un tracteur offre la force de travail de 600 humains, un avion équivaut à la puissance d’un million de personnes.
Pour limiter le dérèglement climatique, nous devons diminuer drastiquement notre consommation d’énergies fossiles, alors que toutes nos activités ou presque en dépendent. Et il ne s’agit pas seulement des voyages en avion : l’hôpital représenterait aussi, à lui seul, 5 % de l’empreinte carbone française.
L’ouvrage n’aborde pas les questions de partage des richesses, de services publics ou de la publicité indispensable au modèle consumériste. Selon la vision très discutable qu’il véhicule, notre niveau de vie ne dépendrait que d’un unique paramètre : notre consommation d’énergie. Si elle baisse, adieu la santé, les loisirs, les retraites, bonjour les grandes migrations, les guerres, les famines…
Ils mettent en péril l’emploi paysan et l’agriculture biologique. La France a perdu plus de 100 000 fermes en dix ans et 80 000 emplois agricoles, d’après le dernier recensement agricole datant de 2020.
En France, chaque année, de plus en plus de sociétés financiarisées font main basse sur des milliers d’hectares de cultures agricoles. Un accaparement qui progresse et qui inquiète les associations environnementales Terre de liens et Les Amis de la Terre. Car, qui dit agrandissement des terres, dit généralement destruction de l’emploi paysan et ralentissement des pratiques agroécologiques. Celles-ci détaillent le phénomène dans deux rapports publiés ce mardi 28 février, en marge du Salon de l’agriculture.
L’étude de Terre de liens dévoile des chiffres inédits sur l’état de la propriété des terres agricoles françaises, les derniers rapports sur le sujet remontant à 1982 et 1992. Alors qu’à l’époque, l’accaparement des terres était quasiment inexistant, le phénomène de concentration est aujourd’hui en pleine expansion. Pour l’analyser, l’association a agrégé les rares données disponibles. Deux conclusions s’en dégagent. La première est que quatre millions de petits propriétaires privés, dont la majorité ne sont pas des agriculteurs et ne connaissent pas le métier, se partagent 85 % des surfaces agricoles françaises. Le terrain qu’ils possèdent tourne en général autour des cinq hectares seulement.
La plupart de ces changements sont graduels et difficiles à détecter dans le cadre de votre expérience quotidienne. Il est donc utile qu’une personne importante se tienne devant vous pendant une heure, comme l’a fait Poutine aujourd’hui devant l’Assemblée fédérale de Russie, et vous explique exactement ce qui s’est passé et ce qui va se passer.
C’est également très divertissant : Poutine est quelqu’un de naturellement irrépressible qui refuse de se retenir. Son russe a également une gamme dynamique énorme : à un moment, il ressemble à un gamin des rues de Leningrad, et à un autre moment, il a l’air d’un avocat et d’un technocrate accompli, d’un érudit littéraire ou même d’un étudiant en théologie. Eh bien, il est tout cela à la fois. Qu’on l’aime ou qu’on le déteste (rares sont ceux qui parviennent à rester neutres à son égard), il est difficile de l’ignorer. D’autant plus que, comme à l’accoutumée, son discours annuel devant l’Assemblée fédérale ne manquait pas de ce que les linguistes appellent des performantifs – des déclarations qui n’expriment pas une opinion ou ne transmettent pas d’informations mais transforment la réalité de manière spécifique. Et il est important de les connaître, surtout si vous résidez dans l’un des pays dont les dirigeants ont (très bêtement) décidé d’être les ennemis de la Russie, car, en fin de compte, c’est votre cul qui est en jeu. Vous pouvez être en admiration devant l’impressionnant dirigeant qui s’appelle Vladimir Poutine (rien ne vous en empêche) mais, plus précisément, je pense qu’il est de mon devoir humanitaire de vous avertir de ce qui risque de se passer avant que quelqu’un ne crie « En approche ! ». De cette façon, vous pourrez formuler un meilleur plan que de vous couvrir d’un drap blanc et de ramper lentement vers le cimetière (afin de ne pas provoquer une ruée dans laquelle quelqu’un pourrait être piétiné).
Commençons par le plus important : Poutine a annoncé que la Russie suspendait sa participation au traité START-3. C’est le « Traité entre les États-Unis d’Amérique et l’Union des républiques socialistes soviétiques sur la réduction et la limitation des armements stratégiques offensifs, n° 3 ». Ce traité remonte à l’ère soviétique, mais le 3 février 2021, les États-Unis et la Russie ont convenu de le prolonger jusqu’au 5 février 2026. M. Poutine a précisé les conditions dans lesquelles la Russie envisagerait de revenir au traité : celui-ci doit tenir compte des capacités offensives stratégiques de tous les pays de l’OTAN, et pas seulement des États-Unis. La Grande-Bretagne et la France disposent également d’armes nucléaires, bien qu’aucune ne soit trop récente, et Washington a tendance à envoyer ses armes nucléaires où bon lui semble, y compris dans d’autres pays de l’OTAN, comme l’Allemagne et la Turquie, ce qui pose problème. Poutine a ridiculisé les appels de l’OTAN à la Russie pour qu’elle permette à ses experts d’inspecter les sites militaires russes ; après que des drones aient récemment effectué une frappe sur les aéroports russes qui accueillent son aviation stratégique, endommageant quelques avions (en utilisant les Ukrainiens comme des proxies sans cervelle), une telle demande est plus que ridicule. Peut-être la Russie devrait-elle être autorisée, par courtoisie, à faire exploser un certain nombre de bombardiers stratégiques américains, juste pour égaliser le score avant d’entamer les négociations ? Non ? Oh, eh bien… Poutine a également souligné que les armes stratégiques américaines ont largement dépassé leur date de péremption (il a été un peu plus poli et circonspect, mais c’était l’essentiel, et ceux qui sont au courant savent aussi qu’il était factuel). Au sens figuré, en ce qui concerne les armes nucléaires, l’armurerie de Washington est dans un triste état ; les boîtes de conserve sont bombées et celles qui ont éclaté sentent vraiment mauvais et laissent échapper des substances viles.
Un pilote a perdu la vie en plein vol et son partenaire a cru qu’il lui faisait une blague.
Un instructeur de vol est décédé des suites d’une crise cardiaque lors d’un vol. Son copilote pensait que son partenaire lui faisait une blague en faisant semblant de dormir. Les événements se sont produits le 29 juin 2022, mais cette histoire a récemment été rapportée par la UK Air Accidents Branch (cellule d’enquête sur les accidents d’avions civils au Royaume-Uni).
Le pilote avait les artères bouchées.
Selon le rapport, le copilote de l’avion a passé quelques minutes à côté du cadavre de son collègue qui avait posé sa tête sur son épaule. Au bout d’un certain temps et après s’être rendu compte que ses tentatives de réanimation étaient vaines, l’homme a effectué un atterrissage d’urgence. Il a appelé les services médicaux et les pompiers, mais rien n’a pu être fait pour ranimer le pilote.
Des chercheurs chinois envisagent de lancer leur propre flotte de satellites. L’objectif : contrer le projet Starlink d’Elon Musk. La méga constellation proposée n’a pas de date de lancement fixée. Néanmoins, elle devrait être composée de 12 992 satellites équipés de technologies permettant de surveiller Starlink, entre autres. L’initiative intervient dans un contexte où l’UE est lancée sur un projet similaire dans le même but : mettre à mal l’offre US via Starlink.
Les vaccins anti Covid peuvent déclencher des tumeurs à croissance rapide et des maladies auto-immunes – telle est la mise en garde d’une pathologiste spécialisée depuis 25 ans dans le diagnostic du cancer du sein, le Dr Ute Krüger. Tout au long de sa carrière, elle a toujours rencontré une marge de fluctuation normale en ce qui concerne la taille et le degré des tumeurs. Cette marge a toutefois été brutalement interrompue par l’introduction sur le marché des vaccins Covid (2021), réputés sûrs. Les cas de tumeurs cancéreuses à croissance rapide et de types multiples se sont accumulés…
Parce que son récit ne colle pas aux narratifs atlantistes, seuls autorisés et encouragés dans l’espace médiatique otanien, cette journaliste a rapidement fait l’objet d’une ostracisation et d’une campagne de dénigrement clairement orchestrée par les cercles et les médias français et otaniens sous influence néoconservatrice et mondialiste. Elle a perdu une partie de ses emplois et de ses revenus. C’est la méthode employée par la mafia atlantiste pour dissuader et faire taire
En témoigne la censure par YouTube du reportage après un trop fort succès initial. You tube apparaît donc de plus en plus comme un outil contrôlé par les néocons …
La dette américaine est irremboursable, sauf si une hyperinflation se met en place. Avec cette dernière, la valeur de la dette peut être divisée tout simplement par deux, et c'est EXACTEMENT ce que veulent les États-Unis, détourner l'attention de leur dette.
Et si vous regardez bien cette carte, on voit clairement quels sont les pays qui soutiennent la guerre contre la Russie (dont l'endettement n'est que de 30% vs 130% des US).
Idriss Aberkane : « Julian Assange l’a affirmé clairement: la guerre d’Afghanistan est le plus grand braquage d’argent public de toute l’histoire de l’Humanité, en sus de toutes les victimes innocents qu’elle a faite également, y compris dans les rangs de l’armée française. Edward Snowden l’a également confirmé: avoir dépensé vingt années de guerre et deux mille milliards de dollars juste pour remplacer les talibans par les talibans, sans parler de l’explosion du commerce de l’héroïne durant cette période, c’est un crime d’une ampleur absolument indescriptible, et n’eût été l’attention mondiale sur le Covid-19, il aurait mené à des décennies d’enquête et de condamnation. Au lieu de cela, circulez, il n’y a rien à voir… Eh bien pas si vite, nous publions cette vidéo pour rappeler quelle escroquerie mâtinée d’abomination aura été cette guerre en Asie centrale. »
En calculant les coûts annuels moyens (en prix de 2022) des guerres précédentes dans lesquelles les États-Unis ont été impliqués, on peut voir la véritable ampleur des dépenses d’aide à l’Ukraine du pays.
Comme le montre Martin Armstrong de Statista dans l’infographie ci-dessous, les paiements à l’Ukraine ont déjà dépassé les dépenses militaires annuelles des États-Unis dans la guerre en Afghanistan de 2001 à 2010. Les coûts militaires américains dans la guerre du Vietnam, la guerre d’Irak et la guerre de Corée étaient nettement plus élevés – selon les calculs de l’Institut Kiel pour l’économie mondiale dans le cadre de son Ukraine Support Tracker.
L'un de leurs systèmes les plus connus est Face++, qui est utilisé par la police pour retrouver des criminels. Cependant, cette technologie peut également être utilisée de manière beaucoup plus intrusive, à des fins de surveillance de masse, de violation de la vie privée et de discrimination. De plus, les systèmes de reconnaissance faciale ne sont pas infaillibles et peuvent parfois donner des résultats erronés, ce qui peut entraîner des conséquences graves pour les individus concernés.
Le projet Skynet est un système de surveillance et de sécurité national de la Chine qui utilise des technologies avancées telles que la reconnaissance faciale, l’analyse des comportements et des données de masse pour surveiller la population du pays. Le système comprend un vaste réseau de caméras de sécurité, des bases de données de surveillance, des centres de surveillance et de contrôle et des logiciels d’analyse avancés. Sous couvert d’être utilisé pour lutter contre le crime, il a été critiqué pour ses violations de la vie privée et pour le potentiel de surveillance et de contrôle de masse qu’il représente.