La moutarde est faite à partir de graines qui contiennent de l’isothiocyanate d’allyle (AITC). Il a été scientifiquement démontré que ce dernier « inhibe fortement le développement du cancer de la vessie», selon une étude publiée en 2010 dans la revue scientifique Cercinogenesis.
Mais ce qui est encore plus étonnant, c’est que l’AITC présent dans les graines de moutarde bloque les composés cancérigènes des composants présents notamment dans les viandes transformées – d’où l’importance de rajouter de la moutarde dans son hot dog !
Mais les graines ne sont pas le seul composant anti-cancérigène de la moutarde. En effet, si on analyse l’étiquette de composition d’un pot de moutarde (exemple ici de la Moutarde French’s, composée de : vinaigre distillé, eau, graines de moutarde, sel, curcuma, paprika, arômes naturels et poudre d’ail), on se rend compte qu’au moins 5 des ingrédients contenus dans la moutarde aurait des propriétés anti-cancérigènes ! Le vinaigre, la moutarde, le curcuma, le paprika et l’ail.
De même, la haute teneur en oxydants et en sélénium contenu dans la moutarde protège contre le cancer colorectal, le cancer de la prostate, le cancer du poumon, de même que certaines maladies cardiovasculaires.
Le meilleur moyen d’y parvenir c’est de passer par un câble Ethernet. Mais quand il s’agit de communiquer depuis la Terre avec un robot qui doit se poser sur Mars, ce n’est plus du tout la même histoire. Jusqu’à preuve du contraire, le wifi n’est pas accessible dans l’espace et encore moins sur Mars. Mais peut-être qu’une étude randomisée en double aveugle et trois paraplégiques affirment que le wifi est disponible sans aucun effet secondaire depuis le milieu du 18e siècle. Il est vrai que je ne suis pas au courant de toutes les avancées technologiques qui nous sont révélées au compte-gouttes depuis 3 ans maintenant grâce aux bonimenteurs de la presstituée.
Toujours est-il que ça ne règle pas le problème de la communication sans fil de la Terre vers Mars. À intervalles réguliers nous recevons des images prises depuis le sol martien par des robots explorateurs qui ont parcouru des millions de kilomètres en évitant sagement la ceinture d’astéroïdes peuplée de gros cailloux qui pourraient les détruire sur-le-champ. Mais il faut croire que les robots envoyés en mission sont entraînés à l’esquive de calcaire cosmique projeté avec une puissance phénoménale. C’est un savoir-faire. Inutile sur Terre, mais pour le voyage spatial c’est une des conditions sinequanone si on veut arriver entier sur la planète rouge.
Il est tout à fait invraisemblable qu’un robot puisse traverser la ceinture d’astéroïdes sans encombre. Évidemment j’entends déjà dire que l’espace est grand, la ceinture d’astéroïdes n’est pas homogène, des espaces gigantesques existent entre les pierres. Car ce sont des pierres chers amis, sachez-le. Et comme chacun sait pierre qui roule n’amasse pas mousse. Ça n’a absolument rien à voir avec le sujet, mais l’expression existe, utilisons-là. Ainsi, les robots évitent sans encombre cette zone de turbulence. Mais comment communiquent-ils durant leur périple à travers l’espace avec les ingénieurs sur Terre ?
Alors que la Grande Révélation bat son plein, avec la suspension des armes biologiques à ARNm qui semble imminente (et toutes les retombées explosives qui s’ensuivront), on pourrait être pardonné d’avoir négligé l’autre programmation sociale, relativement subtile, qui se fraie de plus en plus un chemin à travers l’opération psychologique de niveau militaire que sont les médias grand public.
Sur ma carte de bingo de l’apocalypse, je compte depuis longtemps la « prohibition » – mais pas seulement pour l’alcool, pour « l’amour » également. Cela vous semble être un peu trop de conspirationnisme ? Eh bien, décomposons les éléments constitutifs de mon titre définitivement-pas-pute à clics-parce-que-je-suis-sournoisement-shadow-bannie…
Tout d’abord, mes prédictions concernant l’interdiction de l’alcool :
J’en ai déjà parlé auparavant, et d’autres ont objecté, ce qui est compréhensible, « mais pourquoi les seigneurs obsédés par la dépopulation voudraient-ils interdire l’alcool alors que l’abus d’alcool contribue à tuer tant de gens ? ». Je réponds que c’est à cause du « paradoxe de l’alcool », un phénomène qui fait que les gros buveurs vivent plus longtemps que les abstinents (oui, vous avez bien lu). L’abus d’alcool ou de toute autre substance est indiscutablement mauvais, et il y a évidemment des buveurs à problèmes qui doivent s’arrêter, mais il n’en reste pas moins que la consommation régulière d’alcool est liée à une longévité accrue. Cela semble s’expliquer par le fait que la consommation d’alcool est très souvent liée à une socialisation accrue – elle a souvent lieu dans des pubs, des fêtes, des pique-niques, etc. – et parce que les effets protecteurs de la connectivité sociale sur la santé sont si puissants qu’ils contribuent à neutraliser bon nombre des dangers pour la santé associés à la consommation d’alcool – faisant de la consommation d’alcool et de la socialisation une activité statistiquement plus saine que l’abstinence seule.
Ainsi, puisque les seigneurs veulent que nous soyons aussi solitaires et isolés que possible (notamment parce que la solitude et l’isolement sont fortement prédictifs d’une mort prématurée), l’un des principaux facilitateurs d’une socialisation régulière et soutenue en Grande-Bretagne – l’alcool – doit disparaître.
La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, a déclaré ouvertement que les États-Unis et l'OTAN "mènent une guerre contre la Russie", suscitant de vives réactions.
La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, n’hésite pas à mettre les pieds dans le plat lors de son discours d’ouverture mardi à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe à Strasbourg, en France, concernant le conflit qui oppose la Russie et l’Ukraine. « Nous menons une guerre contre la Russie et non les uns contre les autres.« , a-t-elle déclaré.
Incompétence, folie pure, déclaration de guerre ? Ces déclarations interviennent dans un contexte où l’Allemagne et les États-Unis fournissent des armements lourds à l’Ukraine, ce qui pourrait être considéré comme une provocation pour la Russie et entraîner une escalade de la situation. Quand la plus haute diplomate allemande, Annalena Baerbock, déclare que l’Union européenne « mène une guerre contre la Russie », il est probable que le Kremlin prenne cela très au sérieux et réagisse en mettant en alerte son pays et son armée.
00:30 Legrand quitte la Russie
03:30 Wagner = Washington
04:40 Mobilisation forcée en Ukraine
07:45 Corruption généralisée en Ukraine
11:22 Nouvelles armes et rideau de fer
14:19 SOS déroute ukrainienne
19:42 Armée russe vs OTAN
23:39 Des armes magiques pour Zelenski
28:02 Cartes des opérations militaires
« Google a utilisé des méthodes anticoncurrentielles et illégales pour éliminer, ou réduire drastiquement, toute menace à sa domination sur les technologies utilisées pour la publicité numérique », a fait savoir l’autorité, mardi 24 janvier, dans un document judiciaire transmis à la presse. Le ministère et huit Etats américains, dont la Californie et New York, demandent à la justice de condamner le groupe californien pour infraction au droit de la concurrence, de faire payer à l’entreprise des dommages, et enfin, d’ordonner la cession de ses activités liées à la vente d’espaces publicitaires en ligne.
Il s’agit de la deuxième plainte lancée par le ministère contre le groupe californien depuis l’investiture du président, Joe Biden, il y a deux ans. La première, qui porte sur la domination de son moteur de recherche, doit déboucher sur un procès cette année.
Google a déjà été condamné dans le passé à des amendes pour infraction au droit de la concurrence, notamment par l’Union européenne. Aux Etats-Unis, l’entreprise affronte déjà des poursuites lancées fin 2020 par une coalition d’Etats, emmenée par le Texas. Eux accusent Google d’avoir cherché à évincer toute concurrence en manipulant les ventes aux enchères publicitaires ».
Je rappelle que la Spike se réplique dans toutes les cellules du corps, et détruit les défenses immunitaires face aux invasions épidémiques.
Je rappelle que la nattokinase est une enzyme naturellement présente dans le natto, un fromage traditionnel japonais consommé depuis plus de 1000 ans. Ce natto est produit par la fermentation de graines de soja sous l’action d’une souche particulière de bactérie, le Bacillus subtilis var. natto.
Ce qui est frappant lorsque l’on regarde l’histoire et les enchaînements qui ont mené à la boucherie de 14/18, c’est que finalement personne ne voulait véritablement la guerre. Mais la guerre eut lieu.
Aujourd’hui, aucun peuple d’Europe ne veut la guerre, et si l’on met de côté le vacarme de la propagande, rares sont les citoyens européens qui vont déclarer spontanément qu’ils ont très envie d’aller mourir pour l’Ukraine, de Kiev… à Tchernobyl.
En réalité personne ne veut la guerre parmi les peuples ce qui est très différent chez les dirigeants qui, eux, font tout objectivement pour alimenter l’escalade.
La Fédération des Scientifiques Américains (FAS) confirme en janvier l’information donnée par Grandangolo en décembre 2022 sur la base d’un document de l’US Air Force : l’avion C-17A Globemaster a été autorisé à transporter en Italie et d’autres pays européens la bombe nucléaire USA B61-12. Des fonctionnaires de l’Administration Biden ayant annoncé que l’envoi des B61-12 aurait été anticipé en décembre, nous estimons que les nouvelles bombes nucléaires USA sont déjà en train d’arriver en Europe pour être déployées contre la Russie.
Les USA et l’Otan sont en train de déverser en Ukraine d’énormes quantités de munitions pour l’artillerie lourde fournie aux forces armées de Kiev. Les États-Unis —selon les données officielles— ont jusqu’à présent envoyé en Ukraine plus d’un million de munitions pour obusiers de 115 mm, plus des dizaines de milliers de missiles. Environ 300 000 projectiles proviennent de dépôts militaires US en Israël. L’envoi d’armes est géré par un réseau international dans lequel Camp Derby joue un rôle central. C’est le plus grand arsenal des USA hors de la mère-patrie, relié au port de Livourne et à l’aéroport militaire de Pise. Le Royaume-Uni, la France, la Pologne et la Finlande sont en train de fournir des chars d’assaut à Kiev, et la Pologne acquiert aux USA des chars Abrams dont une partie peut être destinée à l’Ukraine.
Un tribunal allemand cherche à vacciner de force la compositrice juive Inna Zhvenetskaya, survivante de l’holocauste. L’ordonnance, émise le mois dernier, autorise le personnel médical à l’enlever de force de son domicile, en faisant appel à la police si nécessaire, afin de lui administrer deux doses du vaccin COVID19 et de la faire ensuite interner dans l’aile fermée d’une institution psychiatrique.
Un tribunal de la ville allemande de Stuttgart a ordonné la séquestration et la vaccination de force d’une compositrice juive d’origine ukrainienne, survivante de l’Holocauste. Cette incompréhensible décision a heureusement été annulée par une cour d’appel, mais la vieille dame ne se sent plus en sécurité chez elle et a fini par quitter son domicile pour être hébergée par des connaissances, dans un endroit tenu secret. L’idée d’être enfermée et de ne plus pouvoir jouer de la musique la désespère, car c’est ‘ce qui la garde en vie’.
Le média autrichien, qui fut le premier à contacter la vieille dame et qui s’est déplacé pour effectuer un entretien, affirme que, bien qu’elle s’exprime avec une certaine lenteur (en allemand, sa langue principale étant le russe), elle ne souffre pas de problème mental visible et semble avoir un discours tout à fait cohérent. Elle ne semble pas non plus présenter de danger pour elle-même, ni pour autrui.
Comment justifier aujourd’hui l’imposition d’une vaccination forcée, compte tenu de la fin officielle de la pandémie? Il s’agit clairement d’une décision qui ne peut avoir de motif valable, ni sur le plan médical, ni sur le plan juridique. Tout cela sent l’arbitraire et le déni de justice. Le fait que l’ordonnance autorise spécifiquement l’usage de la violence et d’une intervention policière est tout simplement effarant.
« Qu’est-ce qui a pu motiver un tribunal allemand à prendre une décision aussi draconienne, et qui fait inévitablement penser au passé abominable de cette nation? S’agit-il à nouveau d’une situation où le pouvoir judiciaire travaille main dans la main avec le gouvernement pour se débarrasser des personnes âgées, considérées comme des ‘bouches inutiles à nourrir’? Que se passe-t-il en ce moment? Pour moi, ainsi que pour d’autres survivants, c’est tout simplement inconcevable. Et pourtant si, voilà un cas bien réel. Cette dame de 86 ans a du fuir son domicile et se réfugier chez des amis. Mais pour combien de temps? J’espère qu’elle va pouvoir quitter le pays et terminer ses jours dans la tranquillité et la sécurité. Car moi, je ne ferai pas confiance aux allemands. Ils peuvent très bien renouveler cette ordonnance et la mettre à exécution. Tout ceci est glaçant. N’ont-ils vraiment rien appris de leur histoire ? »
« Never Again Is Now Global », une série documentaire en cinq parties mettant en lumière les parallèles entre l'Allemagne nazie et les politiques mondiales en matière de pandémie, sera diffusée en exclusivité sur la CHD.TV à partir du lundi 30 janvier à 19 heures (heure normale de l'Est).
L’Alliance for Human Research Protection [Alliance pour la protection de la recherche humaine], fondée par Vera Sharav, survivante de l’Holocauste et militante des droits de l’homme, a produit le film et Mme Sharav l’a réalisé.
Chaque épisode d’une heure se concentre sur des témoignages récents de survivants de l’Holocauste et de leurs descendants qui discutent des comparaisons entre les premières étapes répressives sous le régime nazi qui ont culminé avec l’Holocauste et les politiques mondiales de la COVID-19.
Les personnes présentées dans le documentaire expliquent comment les interventions des nazis – notamment la suspension des libertés, l’imposition de fermetures, les procédures médicales forcées et les passeports d’identité – sont similaires aux contraintes dictatoriales modernes imposées aux citoyens du monde entier.
Contrairement aux documentaires habituels sur l’Holocauste qui évitent d’identifier les sponsors financiers et les entreprises derrière les nazis, « Never Again Is Now Global » expose les intérêts financiers qui ont conduit l’Holocauste.
Les survivants expliquent comment des entreprises modernes, dont General Motors, Ford Motor Company, IBM et des conglomérats comme IG Farben, ont secrètement profité des camps de travail esclaves et du génocide industriel pendant le régime nazi.
« Jusqu’à présent, quiconque a tenté d’attirer l’attention sur les schémas actuels de pandémie ou d’établir des comparaisons, même modestes, entre ces schémas et l’ère nazie, s’est attiré un barrage de critiques virulentes et soutenues de la part des gardiens de l’Holocauste et des médias d’entreprise financièrement compromis », a déclaré Mme Sharav. « Nous avons fait ce film pour changer cela. »
Il n’y a aucune autre interprétation possible de la poursuite des inutiles « sanctions » contre Moscou et des vains combats meurtriers en Ukraine.
Cela fait presque un an que l’armée russe est entrée en Ukraine pour appliquer la résolution 2202 du Conseil de sécurité. L’Otan, rejetant ce motif, considère au contraire que la Russie a envahi l’Ukraine pour l’annexer. Dans quatre oblasts, les référendums d’adhésion à la Fédération de Russie semblent confirmer l’interprétation de l’Otan, sauf que l’Histoire de la Novorossia confirme l’explication de la Russie. Les deux narrations se poursuivent en parallèle, sans jamais se recouper.
Pour ma part, ayant édité un bulletin quotidien durant la guerre du Kosovo [1], je me souviens que la narration de l’Otan à l’époque était contestée par toutes les agences de presse des Balkans, sans que j’aie le moyen de savoir qui avait raison. Deux jours après la fin du conflit, des journalistes des pays membres de l’Alliance atlantique purent se rendre sur place et constater qu’ils avaient été bernés. Les agences de presse régionales avaient raison. L’Otan n’avait cessé de mentir. Par la suite, alors que j’étais membre du gouvernement libyen, l’Otan, qui avait un mandat du Conseil de Sécurité pour protéger la population, l’a détourné pour renverser la Jamahiriya arabe libyenne, tuant 120 000 des personnes qu’elle devait protéger. Ces expériences nous montrent que l’Occident ment sans honte pour couvrir ses actes.