01:49 Victoire économique de la Russie
03:15 Succès hypersonique américain
04:25 Frénésie polonaise et destruction de la Russie
09:30 La Russie face à la duplicité occidentale
11:51 Nouvelles de Kiev : chasse à l'homme et corruption
16:30 Nordstream, les aveux de Victoria Nuland
18:00 Carte des opérations militaires
Cependant, cela a entraîné une hausse des factures d'énergie pour les ménages et les entreprises.
L’entreprise géante du pétrole et du gaz, Shell, a annoncé des bénéfices annuels record suite à l’augmentation des prix de l’énergie l’année dernière à la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Les bénéfices ajustés s’élèvent à 39,9 milliards de dollars (31,6 milliards d’euros), les plus élevés de l’histoire de la société, qui existe depuis 115 ans.
Les sociétés d’énergie ont enregistré des bénéfices records alors que les prix du pétrole et du gaz ont bondi suite à l’invasion de l’Ukraine. Cela a mis la pression sur les entreprises pour qu’elles paient une taxe exceptionnelle alors que les ménages font face à des factures en hausse.
Le rapport, intitulé « Ministry of Truth: The Secretive Government Units Spying On Your Speech » (Ministère de la vérité : les unités gouvernementales secrètes espionnant vos propos) – une plongée approfondie de plus de 100 pages dans le sujet, a notamment analysé comment le gouvernement britannique a utilisé l’armée du pays pour savoir « à quel point les gens avaient peur » pendant le Covid.
Pour le groupe de défense de la vie privée et des droits civiques Big Brother Watch – qui affirme que le rapport est basé sur des réponses à la loi sur la liberté d’information et des témoignages de dénonciateurs – il s’agissait de créer une façade pour traiter les « fake news », alors qu’en réalité, il s’agissait de mener « une surveillance à grande échelle du public britannique sur les médias sociaux ».
En janvier 2022, le ministre de l’Éducation polonais, Przemysław Czarnek, donnait son nom à un projet de loi visant à interdire aux organisations LGBT de pouvoir venir dans les écoles polonaises pour y faire de la propagande. Cela déclenchait une vague d’indignation dans les médias de masse occidentaux comme Le Monde, qui résumait ainsi à charge les idées et le programme du ministre : « Le ministre de l’éducation et de l’enseignement supérieur, Przemysław Czarnek, est réputé pour sa proximité avec les milieux catholiques fondamentalistes et sa promotion des thèses des plus rétrogrades. En juin 2020, en pleine croisade du gouvernement contre les milieux LGBT, il déclarait qu’il fallait « défendre la famille contre ce genre de dépravations et arrêter d’écouter ces idioties à propos de quelconques droits de l’homme ou d’une quelconque égalité », parlant de « l’idéologie LGBT » comme « émanant du néomarxisme et du national-socialisme hitlérien ». »
Ce n’est un secret pour personne que l’utilisation des médias sociaux peut modifier l’anatomie du cerveau des adultes, mais une nouvelle étude suggère qu’elle pourrait également avoir un impact profond sur le cerveau en développement des adolescents.
Des chercheurs de l’université de Caroline du Nord ont découvert, dans l’une des premières études de ce type, que la consultation habituelle des flux sociaux peut modifier la façon dont les jeunes adolescents traitent les récompenses et les punitions sociales – des changements suffisamment concrets pour être perçus comme des voies neurales distinctes et divergentes dans les scanners cérébraux.
Publiée dans le Journal of the American Medical Association Pediatrics, l’étude a révélé des changements significatifs au niveau de l’amygdale, une partie de la matière grise du cerveau associée à la mémoire et aux émotions, dans le cerveau des 169 adolescents participant à l’étude dans un collège rural de Caroline du Nord.
Ces modifications cérébrales semblaient être associées à la sensibilité aux conditions sociales, les sujets qui consultaient les médias sociaux plus de 15 fois par jour devenant de plus en plus réactifs aux récompenses et aux punitions sociales au fil du temps, alors que leurs homologues ont connu la tendance inverse.
« Si l’abeille venait à disparaître de la surface du globe, l’homme n’aurait plus que 5 années à vivre ». Cette citation d’Albert Einstein prend tout son sens dans le contexte environnemental actuel. Elle alerte également sur l’importance de ces insectes insignifiants pour bon nombre d’entre-nous, mais finalement vitaux à la survie des espèces humaine et non-humaine, ainsi que de leurs écosystèmes. Comment de si petits êtres vivants peuvent avoir une telle ampleur face à la crise climatique que l’on traverse ?
Les abeilles sont nos alliées
Les pollinisateurs contribuent directement à la sécurité alimentaire, nous rappelle l’ONU via son programme pour l’environnement. Si cette catégorie comprend des animaux comme les singes, les oiseaux ou encore les rongeurs, on la connaît surtout pour les insectes.
D’après les experts apicoles de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture : 75 % de la production alimentaire mondiale dépend des insectes pollinisateurs. Bien que le vent favorise la pollinisation, on compte entre 60 % et 90 % de plantes sauvages nécessitant l’aide d’insectes pollinisateurs, tels que les abeilles, afin de se reproduire. Et pour parler le langage économique de nos modèles actuels, d’après l’ONG Greenpeace, la pollinisation représente 265 milliards de dollars de service rendu dans le monde.
De fait, la production mondiale de miel par an s’élève à environ 1,6 million de tonnes, avec près de 81 millions de ruches actives autour du globe (rapport de mai 2019 de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES)).
Si ces chiffres impressionnent par leur envergure, ils s’expliquent en partie par un phénomène historique d’insertion des abeilles. Ce dernier, contrairement à ce que l’on pense, ne date pas d’hier, car au Moyen-Âge, déjà, l’humain exploitait les ruches en ville. Ces dernières décennies, notamment en raison du réchauffement climatique, de nombreux scientifiques sonnent l’alerte sur l’urgence de conserver la biodiversité. C’est donc dans une démarche écologique que le phénomène d’insertion des abeilles a repris et s’accroît.
Un vidéo publiée par l’Organisation d’informations « Projet Veritas » montre un cadre supérieur de Pfizer, Jordan Tristan Walker, se vantant devant la caméra de la façon dont son entreprise mène une sorte de science à la « Frankenstein » manipulant des virus pour le profit, mettant potentiellement en danger le monde entier en violation avec la loi fédérale.
Les déclarations faites par M. Walker sont graves et doivent être prises au sérieux. Si elles sont avérées, cela signifie que Pfizer aurait potentiellement violé la loi en manipulant des virus, mettant ainsi en danger la santé publique. Il est important de rappeler que toute manipulation de virus est illégale et met en danger le monde entier.
Il est également important de noter que cette histoire n’a pas été couverte par les grands médias, comme MSNBC et CNN, qui peut être par coïncidence, reçoive d’énormes sommes d’argent de Pfizer pour la publicité. Il en va de même du côté des médias français qui cherchent actuellement à discréditer l’organisation « projet Véritas » plutôt que de vérifier la véracité de l’information. Cela soulève des questions sur la capacité des médias à couvrir des histoires qui mettent en cause des entreprises puissantes et leur capacité à rester indépendants.
Le géant technologique Microsoft a déjà licencié un nombre incroyable de 10 000 travailleurs, après avoir investi massivement dans un nouvel outil d’IA, ChatGPT. Ce « chatbot » peut produire des textes de qualité humaine, comme rédiger des essais et de la poésie, et a déjà passé avec succès plusieurs tests de niveau professionnel, notamment des examens de droit et des modules de MBA.
Bien que le robot ne soit pas encore aussi performant que les professionnels les plus avancés, on prévoit qu’il réduira bientôt l’écart – puis le dépassera, rendant effectivement la main-d’œuvre humaine excédentaire dans de nombreux secteurs lucratifs.
D’ores et déjà, les rédacteurs professionnels (ceux qui composent le texte pour le monde des affaires et du commerce) sont confrontés à une panique générale dans la mesure où l’IA est capable de produire des textes originaux et frais qui sont pratiquement impossibles à distinguer de ceux produits par un humain – et ce, à un coût nul. Dans un article du Guardian, Henry Williams, rédacteur publicitaire de premier plan, déclare sans détour : « Je suis rédacteur publicitaire. Je suis presque sûr que l’intelligence artificielle va me prendre mon travail ».
Williams observe qu’un article qui lui prendrait des heures de recherche, de rédaction et de reformulation, et d’édition, peut être produit par l’IA « en 30 secondes environ » – et que ce qu’il facturerait environ 500 £, l’IA le fait gratuitement. Il est donc inévitable qu’au cours de la prochaine décennie, l’IA aura complètement submergé ce secteur. Comme le dit Williams :
« Tout attachement sentimental au contenu créé par l’homme sera certainement rapidement annulé, je le soupçonne, par l’argument économique. Après tout, l’IA est une main-d’œuvre super rapide qui ne mange pas, ne dort pas, ne se plaint pas et ne prend pas de vacances ».
Rien de tout cela, bien sûr, n’est une nouvelle révolutionnaire pour quiconque a analysé les facteurs à l’origine de la pandémie mise en scène ces trois dernières années – en bref, l’illusion d’une « pandémie mortelle » a été fabriquée par des producteurs de théâtre de classe mondiale afin d’inciter les gens à prendre une injection dangereuse qui raccourcirait considérablement leur vie. La raison en est que les ingénieurs sociaux souhaitent se débarrasser de la plupart des êtres humains, puisque, avec les progrès de l’IA, leur travail n’est plus nécessaire.
C’est aussi simple et aussi monstrueusement maléfique que cela, et si les gens sont capables de considérer la situation objectivement, et de se demander pourquoi une classe dirigeante ayant une longue histoire de psychopathie, de guerre et de meurtre sans merci, serait incitée à garder des milliards de personnes dont elle n’a plus « besoin », la vérité crue – et pourtant très simple – devient évidente.
Ce projet mondial vise à transformer complètement tous les aspects de l’existence humaine : alimentation, sexualité, famille, travail, finances, santé, éducation, tout ! Il est censé mettre fin à la pauvreté, à la faim, aux inégalités, aux maladies et à bien d’autres maux. Un ancien directeur exécutif qui a travaillé à l’ONU pendant deux décennies raconte une histoire différente. Il explique que l’ONU est contrôlée par des criminels qui l’utilisent pour s’enrichir et asservir l’humanité.
Tout est balancé dans cette vidéo sur le fonctionnement de l’ONU, l’OTAN, l’OMS, les ONG au service exclusif des oligarques via le WEF (entre autres).
Cette vidéo est une confirmation pour les gens éveillés même si on y apprend des choses.
En la regardant, vous aurez la conviction qu’il est plus que temps de dire NON à tout ce système d’esclavage et de destruction en grande partie dirigé par les USA.
Une vidéo qui vous permettra une montée en conscience et en vibration. Un avenir d’humanité nous attend si nous sommes de plus en plus nombreux à combattre ces criminels, à dire NON.
Pour ma part, et ayant une assurance-vie, j’ai contacté mon assureur et lui ai demandé si j’étais couvert; sa réponse a été simple et claire, à savoir que c’était une injection en phase d’essai, qu’en acceptant je me mettais en situation de participant volontaire à une expérimentation médicale et que cela n’était pas expressément mentionné dans mon contrat!
Ceci étant il s’agissait pour moi d’une démarche et d’une décision individuelles que je n’ai porté à la connaissance que de ceux qui me demandaient si j’étais injecté et qui, devant ma réponse négative, me demandaient pourquoi; au même titre que je n’ai demandé à personne, ni dans ma famille ni parmi mes amis, s’ils étaient vaccinés ni s’ils avaient fait vacciner leurs gosses ou leurs parents … tentant de ne pas confondre le médical avec quelque chose qui ressemblait un peu trop à une pression sociale, d’ailleurs les dirigeants, les „médecins” et les journaleux ne se sont pas trompés, parlant de distanciation sociale et non de distanciation médicale !!!
Nota: ce qui suit a été pour partie publié sur Réseau International en août 2021, puis actualisé en novembre 2021.Je viens à nouveau de l’actualiser (essentiellement en référence aux dates, pas au contenu) du fait que nous en sommes arrivés à entendre des prises de position intéressantes, à savoir que les non-injectés auraient dû informer les injectés !!!
Ces dernières semaines, j’ai constaté qu’un sophisme narratif intéressant était vendu au grand public en ce qui concerne les desseins des globalistes. Les grands médias et d’autres acteurs suggèrent ouvertement qu’il est normal de s’opposer à certains aspects de groupes tels que le Forum économique global. Ils vous donnent la permission d’être inquiet, mais n’osez pas parler de conspiration.
Cette propagande s’écarte des dénégations abjectes que nous sommes habitués à entendre dans le mouvement de la liberté depuis une dizaine d’années. Nous avons tous été confrontés à la dissonance cognitive habituelle – les affirmations selon lesquelles les groupes globalistes « ne font que s’asseoir et parler de questions économiques ennuyeuses » et que rien de ce qu’ils font n’a d’incidence sur la politique globale ou sur votre vie quotidienne. Dans certains cas, on nous a même dit que ces groupes d’élites « n’existent pas ».
Aujourd’hui, les médias admettent que, oui, les globalistes ont peut-être plus qu’une petite influence sur les gouvernements, les politiques sociales et les résultats économiques. Mais ce que le courant dominant n’aime pas, c’est l’affirmation que les globalistes ont des intentions néfastes ou autoritaires. Ce ne sont que des propos insensés de type « chapeau d’alu », non ?
La raison de ce changement de discours est évidente. Un trop grand nombre de personnes ont été témoins du véritable programme globaliste en action pendant les blocages de la pandémie et elles voient maintenant la conspiration pour ce qu’elle est. Les globalistes, à leur tour, semblent avoir été choqués de découvrir que plusieurs millions de personnes s’opposaient aux obligations et que les refus de se conformer étaient clairement bien plus nombreux qu’ils ne le pensaient. Ils essaient toujours de faire passer leur marque de peur Covid, mais le chat est sorti du sac maintenant.
Ils n’ont pas réussi à obtenir ce qu’ils voulaient à l’Ouest, à savoir une tyrannie médicale perpétuelle de type chinois avec des passeports vaccinaux comme norme. La stratégie des globalistes a donc changé et ils cherchent à s’adapter. Ils admettent un certain niveau d’influence, mais ils font comme s’ils étaient bienveillants ou indifférents.
La réponse à ce mensonge est relativement simple. Je pourrais souligner comment Klaus Schwab du WEF a savouré le frisson de l’apparition initiale de la pandémie et a déclaré que la Covid-19 était l’« opportunité » parfaite pour initier ce que le WEF appelle « Grand Reset ».
99% des données numériques passent par le câble sous-marin
Ou plutôt les câbles sous-marins, le site spécialisé TeleGeography en dénombre 486, contre moins de la moitié en 2009. Les premiers câbles ont été posés au XIXème siècle entre l’Europe et le continent américain à la suite du développement du télégraphe. Depuis 1988 les câbles classiques en cuivre sont remplacés par de la fibre optique. Les enjeux géopolitiques sont évidents, sans câble plus de communication possible, et la Chine et les Etats-Unis s’affrontent ouvertement via leurs opérateurs.
Traditionnellement les grands opérateurs téléphoniques étaient les opérateurs des câbles sous-marins. Liés à la téléphonie, ils les fabriquaient, les posaient, les entretenaient, les surveillaient et souvent les exploitaient. Ces opérateurs tels Alcatel Submarine Networks, Louis Dreyfus Travocean, Orange Marine, Telefonica, sont devenus minoritaires ou réduits au rang d’associés. Depuis une quinzaine d’années les entreprises de la silicone vallée y ont investi massivement, répondant à leurs besoins croissants de transferts de données, à l’atteinte de nouveaux marchés dans les pays du tiers-monde et permettant également un contrôle de l’information. Ils posent ouvertement un défi à la souveraineté numérique des Etats.