Mais pour les chercheurs dissidents qui ont identifié Israël comme le principal responsable, la thèse inside job est une partie intégrante de l'opération sioniste, un peu comme un faux drapeau secondaire cousu en doublure sous le faux drapeau d'Al-Qaïda.
Un authentique mouvement pour la vérité aurait désigné Israël comme le principal suspect dès le départ. En effet, dès le premier jour, il était évident qu'Israël était le principal bénéficiaire. Le jour même des attentats à 13 heures, heure de New York, George Friedman (« né à Budapest, en Hongrie, de parents juifs qui ont survécu à l'Holocauste », nous informe Wikipédia) se réjouissait sur son site géopolitique Stratfor.
C'est assez simple : le 11-Septembre peut être compris comme un cas de « triangulation », dans lequel deux parties sont amenées à entrer en conflit l'une avec l'autre par la main invisible d'un tiers. En l'occurrence, le 11 Septembre a permis à Israël de déclencher le « choc de civilisation » souhaité entre l'Occident et le monde musulman. La triangulation est la tactique préférée du Mossad, décrite par la U.S. Army School for Advanced Military Studies, à la veille des événements du 11 septembre 2001, comme ayant « la capacité de cibler les forces américaines en faisant ressembler cela à un acte palestinien/arabe » [1]. La triangulation, comme l'explique bien Lucien Cerise, est également utilisée pour créer des conflits au sein d'une nation (des chocs de civilisation internes, pour ainsi dire). Dans la plupart des cas, la main d'Israël n'est invisible que dans le cadre de la cécité volontaire des autorités et du peuple.
Si, au lieu de comparer le 11 Septembre à l'opération Northwoods qui n'a jamais eu lieu, le film complotiste le plus regardé après le 11 Septembre (Loose Change) avait rappelé aux Américains l'attaque contre le USS Liberty, le mouvement de protestation aurait évolué dans une direction totalement différente de celle qu'il a prise sous la houlette d'Alex Jones. Personne ne songerait à qualifier l'attaque du USS Liberty d'inside job ou de « blessure auto-infligée », même si Johnson autorisa secrètement l'opération.
Il aurait suffi de compléter l'arrière-plan avec d'autres opérations sous fausse bannière israéliennes bien documentées (le bombardement de l'Hôtel King David en 1946, l'affaire Lavon en 1954, Israël commettant des attentats contre ses propres ambassades en Argentine en 1992 et à Londres en 1994, etc.) pour transformer un tel mouvement en tsunami. La théorie de l'« opération interne » (inside job), en revanche, ne peut jamais atteindre une masse critique, pour une raison simple : l'idée que le gouvernement américain, de sa propre initiative, trompe et terrorise ses propres citoyens en tuant des milliers d'entre eux pour justifier des guerres au Moyen-Orient qui ne sont même pas dans l'intérêt de la nation, cela est tout simplement trop difficile à croire pour la grande majorité des Américains - plus difficile à croire que le récit officiel avec ses impossibilités matérielles. En comparaison, l'idée qu'Israël attaque l'Amérique sous la fausse identité de terroristes islamiques pour gagner le soutien de l'Amérique contre ses ennemis arabes, est immédiatement compréhensible par toute personne de bon sens. Ce n'est qu'avec le pouvoir hypnotique des grands médias contrôlés par des sayanim et avec la complicité d'une « opposition contrôlée » bien organisée, qu'une idée aussi naturelle a été supprimée de l'esprit des Américains moyens.
Néanmoins, la croyance selon laquelle « le 11-Septembre était une opération israélienne » gagne du terrain partout dans le monde. Le film réalisé par ERTV, Le 11 Septembre et le Grand Jeu israélien, devrait y contribuer.
En septembre 2021, le comité de coordination et de maintenance de la ICD-10 s’est réuni pour discuter des nouveaux codes ICD-10 que le National Center for Health Statistics (NCHS) des CDC voulait créer pour marquer les personnes comme « partiellement vaccinées contre le COVID-19 », « non vaccinées contre le COVID-19 » et « autre statut de sous-immunisation ».
Les codes ICD-10 , stockés dans le dossier médical d’un patient, sont utilisés par les médecins pour catégoriser les patients et les prestataires d’assurance pour la facturation.
Les codes ICD-10-CM ont été introduits par les CDC pour suivre les patients non vaccinés, partiellement vaccinés et ceux qui entrent dans la catégorie « autre statut de sous-immunisation ». Le comité de la CIM-10 a déclaré que les personnes ayant eu des réactions indésirables à un vaccin dans le passé seraient classées comme non vaccinées ou partiellement vaccinées, même si elles ne peuvent pas recevoir d’autres vaccins ou rappels. Les nouveaux codes ont été mis en œuvre en avril 2022.
La récente déclassification de documents autour de l’assassinat de JFK ayant relancé spéculations et questionnements, notre invité sera présent pour nous expliquer les véritables raisons autour de l’assassinat de JFK, ainsi que son frère.
« C'est une histoire vraiment fascinante, puis à la fois sombre et angoissante. Mais en même temps assez lumineuse parce que les Kennedy, lorsqu'on dépasse un peu cette vision qu'on nous a imposée de personnages assez sinistres, cyniques et sexuellement décadents etc, lorsqu'on s'aperçoit que tout ça c'est du vent, on a quelque chose d'assez, moi je n'hésite pas à le dire, d'assez christique. Si le Christ c'est la figure de celui qui est assassiné par le sanhédrin en quelque sorte on est bien dans le profil christique et puis avec une dimension catholique dynastique.»
Nous sommes à la veille, très certainement, d’une nouvelle offensive russe d’envergure, et nous ne savons pas quelle forme cette dernière prendra.
Nous avons déclaré la guerre économique à la Russie et une guerre, est toujours, toujours économique ! Les guerres ont toutes des mobiles économiques au sens large, le sens large incluant par exemple les ressources naturelles nécessaires à pays.
Il ne faut pas s’imaginer un seul instant que la Russie de Poutine le vive bien ou le prenne de la même manière. Nous sommes bien en guerre contre la Russie et la Chine sait très bien qu’elle est la prochaine cible des Etats-Unis.
Des représentants de la mission d’observation de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) se trouvaient dans les environs à ce moment-là et ont consigné les bombardements au fur et à mesure qu’ils avaient lieu. L’OSCE a découvert que les bombardements se sont intensifiés de manière spectaculaire au fil de la semaine jusqu’à atteindre un pic le 19 février, date à laquelle 2026 tirs d’artillerie ont été enregistrés. N’oubliez pas que l’armée ukrainienne bombardait en fait des zones civiles le long de la ligne de contact, occupées par d’autres Ukrainiens.
Nous tenons à souligner que les représentants de l’OSCE ont agi dans le cadre de leurs fonctions professionnelles en recueillant des preuves de première main des bombardements dans la région. Ce que leurs données montrent, c’est que les forces ukrainiennes bombardaient et tuaient leur propre peuple. Tout cela a été documenté et n’a pas été contesté.
Donc, la question que nous devons tous nous poser est la suivante : Le bombardement et le massacre de son propre peuple constituent-ils un « acte de guerre » ?
Nous pensons que oui. Et si nous avons raison, alors nous devons logiquement supposer que la guerre a commencé avant l’invasion russe (qui a été lancée une semaine plus tard). Nous devons également supposer que la prétendue « agression non provoquée » de la Russie n’était pas du tout non provoquée mais était la réponse humanitaire appropriée au meurtre délibéré de civils. Pour affirmer que l’invasion russe n’a pas été « provoquée », il faudrait dire que le fait de tirer plus de 4000 obus d’artillerie sur des villes et des quartiers où vivent des femmes et des enfants n’est pas une provocation ? Qui défendra ce point de vue ?
Personne, parce que c’est absurde. Le meurtre de civils dans le Donbass était une provocation claire, une provocation qui visait à pousser la Russie à la guerre. Et – comme nous l’avons dit plus tôt – l’OSCE avait des observateurs sur le terrain qui ont fourni une documentation complète sur le bombardement tel qu’il s’est produit, ce qui est aussi proche que possible d’un témoignage oculaire à toute épreuve.
Il s’agit, bien entendu, d’une rupture majeure avec le « récit officiel » qui identifie la Russie comme l’auteur des hostilités. Mais, comme nous l’avons montré, ce n’est tout simplement pas le cas. Le récit officiel est faux. Malgré cela, vous ne serez peut-être pas surpris d’apprendre que la plupart des grands médias ont complètement omis de couvrir les activités d’enquête de l’OSCE dans l’est de l’Ukraine. La seule exception est Reuters qui a publié un compte-rendu délibérément opaque le 18 février intitulé « Des voix russes s’alarment de la forte augmentation des bombardements dans le Donbass ».
En voici un extrait ...
Catherine Teilhet, retraitée des services informatiques de la Ville de Paris
Les médias se faisant déjà quasi exclusivement les porte-parole de la pensée officielle, je ne l’exposerai donc pas dans ces pages afin de mieux me concentrer sur les analyses divergentes.
La fusion des groupes informatiques et financiers a donné naissance à la plus grande concentration de pouvoir de tous les temps. Mais qu’est-ce qui confère à ce puissant complexe une influence telle qu’il est même en mesure de diriger le destin du monde ?
Le dévoilement de la pieuvre
Ce monde est tombé dans les griffes d’une société secrète terroriste d’envergure mondiale. Telle une pieuvre, ses tentacules s’emparent de tes biens, de ta santé et du libre accès au savoir. Une enquête de Kla.TV, votre chaîne indépendante n°1 !
À peine la crise du Covid semble-t-elle surmontée que le monde est massivement ébranlé par la guerre en Ukraine et, par conséquent, par la crise énergétique et économique. Une récession mondiale ainsi que la pauvreté et la famine menacent désormais des millions de personnes. En dépit de cela, même des hommes politiques autrefois pacifistes continuent d’attiser la guerre. Cette évolution négative à l’échelle mondiale est-elle le fruit du hasard, d’une erreur humaine ou y a-t-il quelque chose de plus derrière tout cela ? Si c’est le cas, il devrait y avoir une puissance capable de contrôler et de maîtriser de telles évolutions à l’échelle mondiale. Mais un tel pouvoir existe-t-il vraiment ?
La réunion annuelle du Forum économique mondial s’est tenue à Davos du 16 au 20 janvier 2023. Des observateurs internationaux se sont assis avec Sputnik pour formuler en quelques mots le message principal du rassemblement.
Le Forum économique mondial (FEM), organisation internationale non gouvernementale et de lobbying, a été fondé en janvier 1971 par l’économiste allemand Klaus Schwab. Initialement, l’entité s’appelait “European Management Forum” ; il a changé son nom en Forum économique mondial en 1987.
L’ordre mondial globalisé centré sur l’Occident s’effondre, d’autres pays adoptant un statut de non-aligné et mettant en œuvre leurs propres scénarios de développement en termes de politiques financières, de commerce extérieur et de politiques fiscales, selon Babkin. Le chercheur russe soutient que la réindustrialisation et le renforcement des économies nationales pourraient assurer la stabilité du monde et la diversité des modèles.
« Le forum de cette année a présenté le nouvel état du monde : divisé, plein de ressentiment et sinistre. Davos est devenu le vestiaire de l’Occident et est plus séparé que jamais du reste. Il ne représente plus les véritables préoccupations de la plupart de la population mondiale. Son obsession pour le changement climatique, la justice sociale, le genre et d’autres formes d’éveil en a fait une risée et une cible de mépris pour la majeure partie du monde. »
Robert S. Spalding III (né en 1966) est un général de brigade à la retraite de l’US Air Force. Il est reconnu pour sa connaissance de la concurrence économique chinoise, de la cyberguerre et de l’influence politique, ainsi que pour sa capacité à prévoir les tendances mondiales et à développer des solutions innovantes.
La relation du général Spalding avec les chefs d’entreprise, entretenue pendant son mandat de militaire au Council on Foreign Relations, lui a permis de recommander des solutions pragmatiques à des problèmes complexes de politique étrangère et de sécurité nationale. Le travail révolutionnaire du général Spalding sur la concurrence dans la 5G sécurisée a réinitialisé l’environnement mondial pour la prochaine phase de la cybersécurité à l’ère de l’information.
Alors qu’il était en poste au Conseil de sécurité nationale, le général Robert S. Spalding a rédigé une note appelant à nationaliser le développement du réseau sans fil 5G. Le plaidoyer de Spalding aurait été jugé en dehors de son autorité et il a ensuite été invité à quitter le NSC.
À mesure que la 5G se déploie sans consultation en France et dans le monde, avec une multiplication des antennes-relais et des satellites, et une croissance exponentielle de l'utilisation d'objets connectés, il est important de se demander comment cet electrosmog peut affecter notre santé.
Basé sur son parcours personnel en tant qu’ingénieur devenu électro-hypersensible, Anthony partage les résultats de ses recherches sur les effets potentiellement négatifs souvent ignorés des ondes électromagnétiques, allant du courant électrique alternatif aux antennes-relais de la 5G, en passant par la radio, les radars, les satellites, la 2G/3G/4G, le Linky, la Wi-Fi, etc. Les ondes électromagnétiques peuvent présenter un risque pour la santé des EHS, mais aussi pour tous les êtres vivants.
Inconnu du grand public en 2016, François Ruffin n'arrête pas de monter depuis lors. Au point que ce communiquant hors pair couvre désormais tout le spectre de la gauche, avec la particularité d'être à la fois très ancré localement et totalement connecté à l'intelligentsia parisienne.
D'aucuns voient en cette personnalité complexe le futur chef de file d'une « gauche plurielle » ressuscitée, ralliant, à l'intérieur comme à l'extérieur de la NUPES, tous ceux qui s'opposent à Jean-Luc Mélenchon.
La modernité à travers les yeux de la tradition
Passons maintenant à une partie absolument différente de l’anthropologie : la manière dont la philosophie et la science de l’Occident moderne présentent l’homme, son essence, sa nature. Nous commençons presque toujours par des notions modernes, que nous tenons pour acquises (« le progrès est obligatoire »), et à travers leur prisme, nous nous tournons vers d’autres notions, par exemple pré-modernes. Avec un certain degré d’indulgence.
Si tel était le cas, toute anthropologie religieuse, et en particulier sa section eschatologique, apparaîtrait comme une généralisation naïve et arbitraire. Or voici ce qui est intéressant. Si nous regardons de l’autre côté et essayons d’évaluer les théories anthropologiques de la modernité à travers les yeux d’un homme de la Tradition, une image choquante s’ouvrira devant nous.
Si l’histoire est le processus de division de l’humanité en moutons et en boucs, c’est-à-dire l’actualisation finale, à travers quelques étapes successives, de la liberté des hommes à choisir soit en faveur des enfants de la lumière soit en faveur des enfants des ténèbres, alors les derniers siècles de la civilisation de l’Europe occidentale, qui se positionne de plus en plus en retrait de Dieu, de la religion, de la foi, du christianisme et de l’éternité, apparaîtront comme un processus continu et croissant de glissement vers l’abîme, un glissement massif vers le côté Denitsa, un vecteur conscient et structurellement vérifié de lutte directe contre Dieu.
La modernité européenne est la « voie des boucs », c’est-à-dire l’invitation compulsive faite aux sociétés et aux peuples à devenir des boucs émissaires lors du Jugement dernier. La civilisation européenne occidentale de la modernité s’est construite dès le départ sur le rejet de la religion: d’abord par la relativisation de ses enseignements (le déisme), puis par un athéisme dogmatique pur et simple.
L’homme est désormais pensé comme un phénomène matériel/psychique indépendant, porteur de rationalité. Dieu apparaît comme une hypothèse abstraite. Dans la culture New Age, ce n’est pas Dieu qui crée l’homme, mais l’homme s’invente un « Dieu », dans la quête naïve d’expliquer l’origine du monde. Avec cette approche, ni les mondes spirituels ni les anges n’ont de place dans l’existence, toute la spiritualité est réduite à l’esprit humain.
En même temps, l’acte même de la création et l’éternité créée sont rejetés; par conséquent, l’idée de la structure du temps et de l’histoire change : le Paradis et le Jugement dernier sont présentés comme des « mythes naïfs » ne méritant aucune considération sérieuse. L’apparition de l’homme est décrite comme une étape dans l’évolution des espèces animales et l’histoire de l’humanité comme un progrès social graduel menant à des formes d’organisation sociale considérées toujours plus parfaites, avec des niveaux de confort et de développement technologique toujours plus élevés.
Cette image du monde et de l’homme nous est si familière que nous réfléchissons rarement à ses origines ou aux hypothèses sur lesquelles elle repose, mais si nous nous y intéressons quand même, nous voyons qu’il s’agit d’un rejet radical de l’ontologie du salut, d’une volonté d’interdire catégoriquement à l’homme de créer son être dans les domaines propres aux moutons de l’eschatologie. Le paradigme de la modernité tourne le dos à Dieu et au ciel et, par conséquent, se dirige vers l’intérieur.