00:00 – Géopolitique profonde numéro spécial Trump :
• Mariani blanchi
• Soutien aux paysans
• Anniversaire du Maïdan
04:29– Économie :
• Raffinage russe
• Russie : exportateur de gaz numéro 1 en Europe
• Tupolev 214 : premier vol
10:08 – Politico-diplomatique :
• ATACMS & STORMSHADOW vs NOISETTE balistique
• Scholz appelle Poutine. Macron cherche des amis
• Sommet du G20 sans Zelensky. La poignée de main. Lavrov : recherche de contacts.
• Visite de Xi à Lima au Pérou
• Venezuela : Gonzalez reconnu par Blinken
• Attaque en mer Baltique
• Sénégal : victoire du Pastef
31:33 – Empire du mensonge :
• Moment bunker : Jean-Noël Barrot
34:00 – Armement :
• Mines anti-personnelles US vs civils ukrainiens
34:52 – Carte des opérations militaires
Les rayonnements électromagnétiques ne sont pas seulement nocifs sur le plan physique et psychologique, ils peuvent même induire une capacité accrue à contrôler l’esprit des gens.
Dans le monde interconnecté d’aujourd’hui, l’accès à l’internet sans fil est devenu omniprésent, présent dans presque tous les cafés, bureaux et maisons. Mais les signaux Wi-Fi ne sont pas inoffensifs. Les rayonnements de radiofréquence (RF) bombardent constamment les cellules et influencent les ondes cérébrales. Les ondes extrêmement basses fréquences (ELF) sont particulièrement préoccupantes, car elles peuvent interférer avec les ondes cérébrales et amener une personne à entrer, à son insu, dans un état d’esprit suggestif. Le Wi-Fi est un vecteur d’ingénierie sociale, qui amène les individus à renoncer à leur esprit critique pour se conformer aux récits officiels et à la pensée de groupe.
Keith Cutter, critique bien connu de la technologie sans fil moderne, a passé des années à explorer le côté obscur du rayonnement Wi-Fi. Selon lui, l’impact du Wi-Fi ne se limite pas à l’exposition directe aux rayonnements, mais s’étend à des effets plus subtils et inquiétants, notamment l’entraînement des ondes cérébrales, les perturbations cognitives et ce qu’il appelle « l’effet mémoire du Wi-Fi » sur les tissus corporels.
Le Wi-Fi fonctionne à l’aide de champs électromagnétiques de radiofréquence, transmettant des données par le biais d’un rayonnement RF modulé par impulsion. Si la technologie elle-même peut sembler inoffensive – après tout, la plupart des appareils n’émettent que des niveaux relativement faibles de rayonnement RF -, Cutter estime que l’impact cumulatif de cette exposition au fil du temps est loin d’être bénin.
L’une des principales préoccupations de Cutter est l’effet des ondes extrêmement basses fréquences (ELF), que le Wi-Fi émet en plus de ses signaux RF à plus haute fréquence. Les ondes ELF se situent entre 3 et 30 Hz environ, une gamme de fréquences qui se trouve à chevaucher les fréquences d’oscillation naturelles du cerveau humain. L’activité électrique du cerveau est divisée en différentes bandes de fréquences, chacune étant associée à différents états de conscience et fonctions mentales :
Ondes delta (0,5-4 Hz) : Associées au sommeil profond, à la guérison et à la relaxation
Ondes thêta (4-8 Hz) : liées à la relaxation profonde, à la méditation et à la créativité
Ondes alpha (8-12 Hz) : Présentes dans les états calmes et détendus, tels que le rêve éveillé ou la méditation légère.
Ondes bêta (13-30 Hz) : Associées à la pensée active, à la concentration et à la résolution de problèmes.
Ondes gamma (30-44 Hz) : Impliquées dans les fonctions cognitives supérieures telles que l’apprentissage, la mémoire et le traitement sensoriel.
Cutter est surtout préoccupé par les impulsions ELF de 10 Hz émises par les balises Wi-Fi. Ces balises, qui émettent constamment des impulsions à cette fréquence, diffusent essentiellement un signal persistant pour s’assurer que les appareils restent connectés. Cutter pense que les impulsions de 10 Hz peuvent avoir un effet profond sur l’activité cérébrale, notamment en induisant un phénomène connu sous le nom d’entraînement des ondes cérébrales.
L’entraînement des ondes cérébrales fait référence à la synchronisation des ondes cérébrales à une fréquence externe. Lorsque le cerveau est exposé à un stimulus externe constant à une fréquence particulière, comme le signal de 10 Hz émis par le Wi-Fi, il peut modifier ses propres schémas d’ondes cérébrales naturelles pour les faire correspondre. À 10 Hz, le cerveau entre dans un état plus détendu, proche des ondes alpha, qui correspond à une activité corticale réduite.
Cutter est particulièrement alarmé par cette situation, car une exposition prolongée au signal ELF de 10 Hz peut créer un « état suggestif », dans lequel le cerveau est plus sensible aux influences extérieures. Ces influences externes peuvent être les médias, le marketing ou même la programmation subconsciente, qui sont tous présentés aux gens lorsqu’ils sont sous l’influence d’appareils émettant des ondes Wi-Fi.
« Nous parlons de la possibilité de contrôler l’esprit », prévient Cutter, en suggérant que ce type de manipulation des ondes cérébrales peut rendre les individus plus vulnérables aux suggestions extérieures (comme l’hypnose). La manipulation pourrait être utilisée pour contraindre les populations à croire ou à penser d’une certaine manière, contre leur intuition, leur connaissance, leur pensée rationnelle ou leur instinct.
Une autre préoccupation soulevée par Cutter est la possibilité que le Wi-Fi ait un « effet mémoire » sur les tissus corporels. Il s’agit de la manière dont certaines fréquences électromagnétiques peuvent être absorbées et retenues par le corps, ce qui peut entraîner des changements physiques ou des problèmes de santé à long terme.
Cutter compare ce phénomène à un traumatisme stocké dans l’organisme, à l’instar du concept psychologique de « mémoire traumatique », selon lequel un traumatisme émotionnel ou physique se manifeste dans l’organisme même après la fin de l’événement. Dans le cas du Wi-Fi, il suggère que le corps pourrait absorber les radiations et les stocker dans les tissus, ce qui entraînerait des problèmes de santé permanents tels que la fatigue, les maux de tête et même des troubles plus graves associés à la sensibilité électrique.
Le Wi-Fi est loin d’être une commodité technologique bénigne. Sa prolifération dans la vie quotidienne constitue une « épidémie cachée » qui nuit silencieusement à la santé et au bien-être des individus et rend leur esprit plus vulnérable aux suggestions.
Ce n’est pas un concept. C’est une réalité inscrite dans chaque coup de cloche d’église orthodoxe, chaque murmure d’encens, chaque regard de sainte icône sur la corruption du monde.
Bien sûr, dans notre Wokistan européen, une telle attitude devant la vie vaut un ticket pour la lapidation sociale. L’Occident a oublié ce que résister signifie et la France, autrefois un phare de civilisation, incarne la vacuité de l’âme aux niveaux les mieux accrédités : la preuve par Jean-Noël Barrot au mont des Oliviers…
En Russie, front spirituel et front militaire, c’est tout un et c’est d’abord affaire d’âme collective.
Voyons.
Dans chaque église orthodoxe, les cloches jouent une symphonie de fer et de foi. L’Occident y a droit à une attention particulière : ce n’est pas par déférence que les cloches sont orientées vers l’ouest, mais pour proclamer la victoire du Christ sur les ténèbres. L’Ouest, symbole de l’obscurité spirituelle, lieu où le soleil se couche, où l’ombre s’étend. Les cloches appellent les âmes damnées et sonnent pour leur dire : « Repentez-vous. Revenez à l’est, à la lumière, à la résurrection. » Dans chaque église orthodoxe, les autels sont, en conséquence, orientés vers l’est, la lumière, la résurrection, le Christ. C’est bien cette lumière que l’Occident a troquée contre des néons colorés et des slogans creux.
Les stratèges de Washington feraient bien d’oublier la « solution » d’un gel du conflit ukrainien. Ce piège à ours inspiré du 38e parallèle coréen, cette cage de barbelés qui achèvera l’Europe, ne parviendra pas à broyer l’âme russe.
Vladimir Poutine n’a pas défié l’Occident pour se satisfaire d’un champ de patates ukrainien. Encore moins d’un champ de bataille figé, d’un permafrost stratégique qui entraînerait une saignée économique et militaire lente et certaine, mais, avant tout, une déroute spirituelle.
Invasions mongoles, guerres napoléoniennes, révolution bolchevique, Adolf Hitler, effondrement soviétique : la résilience russe ne vient pas de la géographie ou de l’histoire, mais de cette foi profonde que Staline lui-même a dû reconnaître. Elle ne pliera ni sous le poids de l’histoire, ni sous la pression d’un monde obsédé par le confort. La Sainte Russie peut accueillir, aimer, compatir ou sauver, mais elle ne sait pas plier. La guerre qu’elle mène aux tempêtes idéologiques de l’Occident est d’abord la défense de ses fondations spirituelles.
La Russie ne gèle jamais vraiment. Dans le froid, elle s’adapte. Dans l’obscurité, elle prie. Et quand le moment arrive, elle avance à nouveau, portée par cette flamme intérieure que rien, ni le gel, ni les pièges de l’Occident, ne peuvent éteindre.
La guerre teste sa foi en même temps qu’elle la purifie.
Сильные дух. Souvenez-vous de ces mots. L’Occident pourrait un jour avoir besoin de les apprendre.
Ignorez tous les faux drames. Oubliez toute la rhétorique de la campagne et les conflits kayfabe. Voici ce qui est réel. C’est cela qui mérite votre attention.
Ils ne se détestent pas. Ils ne se considèrent pas comme une menace existentielle pour le pays. Ce ne sont pas des ennemis. Ce sont à peine des adversaires. À la fin du spectacle, ils s’étreignent et s’embrassent comme des boxeurs après des semaines d’affrontements bidons destinés uniquement à vendre des billets.
L’un peut dire que son adversaire est le prochain Hitler, qu’il vient pour mettre fin à la démocratie, prendre les votes de tout le monde et détruire le pays. L’autre peut dire que son adversaire est un dictateur communiste, venu pour faire la même chose. À la fin de la pièce, les acteurs se tiennent la main et saluent, puis ils sortent et boivent un verre ensemble.
Ils font chacun semblant de se battre contre l’autre pour vous défendre, vous et vos intérêts, alors qu’en réalité ils sont du même côté, se battant contre vous, pour défendre les intérêts de l’oligarchie et de l’empire.
Vous pouvez le voir là. Ils ne le cachent plus. Ils n’ont pas besoin de le faire. Ce n’était qu’une mise en scène et ils l’admettent ouvertement. Un match amical, comme deux riches dames jouant au tennis dans les Hamptons.
Ils peuvent le montrer ouvertement parce qu’ils savent que la plupart d’entre vous ne prêteront pas attention à ce qu’ils voient ou, s’ils le font, qu’ils l’oublieront et se laisseront emporter par la fièvre du prochain cycle électoral. Il y a tellement de messages qui renforcent le clivage partisan illusoire que ces petits aveux tacites ont tendance à passer complètement inaperçus.
Ne vous méprenez pas, la dépravation de Trump lui-même n’est pas illusoire. De vraies personnes vont souffrir et mourir sous son administration, tout comme de vraies personnes ont souffert et sont mortes sous celle de Biden. Mais ils savent eux-mêmes qu’ils n’ont rien à craindre. Eux et les puissances qu’ils servent seront totalement épargnés par la machine à tuer impériale. Ils mourront de vieillesse, entourés de richesse et de luxe, sans aucune conséquence pour leurs actes.
Tout cela n’était qu’un leurre. C’est toujours le cas. Les élections sont fausses et le jeu est truqué. L’empire continuera à marcher sans interruption et sans changement, servi par un président frauduleux après l’autre, jusqu’à son effondrement final.
Cessez d’adhérer au spectacle. Arrêtez de crier pour votre lutteur politique favori et remarquez que les coups ne sont pas vraiment portés et que tout le match n’est qu’un spectacle.
Si vous voulez combattre le pouvoir, concentrez votre opposition là où se trouve le vrai pouvoir. La machine de guerre. Les structures de pouvoir impériales. Les agences de renseignement. La ploutocratie. Le capitalisme. Débranchez complètement votre énergie émotionnelle de l’illusion de la politique électorale et consacrez plutôt votre attention aux mouvements concrets des armes, des ressources et des richesses.
Tant qu’ils pourront nous faire applaudir au spectacle des marionnettes, nous ne prêterons jamais attention aux forces qui tirent les ficelles. Nous ne serons jamais assez conscients des vrais problèmes pour trouver de vraies solutions et les mettre en œuvre. Nous ne serons jamais en mesure d’opposer une véritable opposition à un véritable pouvoir.
Et c’est là toute l’idée. C’est pourquoi ce stupide spectacle de marionnettes revient tous les quatre ans.
Arrêtez d’applaudir et commencez à regarder autour du théâtre. Vous savez où les dirigeants de l’empire veulent que vous portiez votre attention, alors commencez à regarder là où ils ne veulent pas que vous regardiez.
Réveillez-vous.
Nous sommes tous d’accord sur la définition du mot renaissance : il s’agit de naître une nouvelle fois, ou naître nouveau. Qui ne veut pas vivre une renaissance dans sa vie, être nouveau ? Et, est-ce possible ?
En langage des oiseaux, nous pouvons entendre ou lire « ren’Essence » = rends essence… ou essence redonnée, ou mise au monde.
Allons plus loin dans cette ouverture révélatrice !
Nous sommes tous d’accord sur la définition du mot renaissance : il s’agit de naître une nouvelle fois, ou naître nouveau. Qui ne veut pas vivre une renaissance dans sa vie, être nouveau ? Et, est-ce possible ?
En langage des oiseaux, nous pouvons entendre ou lire « ren’Essence » = rends essence… ou essence redonnée, ou mise au monde.
Allons plus loin dans cette ouverture révélatrice !
On emploie très souvent l’adjectif essentiel, qui signifie majeur, crucial, à mettre au centre, indispensable. On en parle autant pour des objets que des sujets. Mais on utilise assez peu le nom essence. On a même fait devenir cet adjectif essentiel un nom, qui gomme le mot essence dans le langage : « ceci est mon essentiel ».
On oublie peu à peu l’essence…
On peut parfois la retrouver dans des questionnements : quelle est l’essence de ton projet ? par exemple, et… difficile de répondre à une question que l’on se pose rarement ! En creusant, on va l’entendre comme étant l’origine du projet, ou sa valeur fondamentale, ce qui le fait vivre. Mais c’est tout de même assez rare de nos jours : on emploie davantage essentiel. L’effet produit est que cela focalise sur le résultat, qui est ce dont chacun tient surtout compte de nos jours, car nous sommes dans un monde matérialiste, orienté vers et obsédé par les apparences physiques et les résultats matériels.
Or chercher l’essence requiert de passer au-delà du voile des apparences !
Il est très différent de dire : je vais te parler de l’essence de mon action, et je vais te parler de l’essentiel de mon action ! Quand on dit l’essentiel, on synthétise et on n’aborde que le plus important de ce qui a été agi. Quand on dit l’essence, on s’extrait de l’action, et on revient plus haut, derrière, dans l’invisible, on se retourne vers la source causale, la vie originelle, spirituelle, éternelle, qui a induit qu’une action est ensuite advenue. C’est très différent !
Nous ne pourrons certes pas changer le fait que les gens aient fait disparaitre le nom essence de leur langage courant, en revanche, nous pouvons nous efforcer, en plus de le voir en face, de comprendre pourquoi ce miroir nous est tendu, ce qu’il signifie, et comment le résoudre, au-delà du langage en lui-même.
Présentement, force est de constater, au travers du changement linguistique décrit ci-dessus, que l’on fuit l’essence. Dès lors, le mot essentiel se trouve vidé du nom, du sujet, dont il provient. Eh oui, l’adjectif essentiel provient du nom essence, et sans l’essence, rien ne peut être essentiel, ceci est une lapalissade !
On laisse l’essence dans l’obscurité, dans les confins grisâtres de l’ignorance générale, si ordinaire et acceptée comme normale ! On ne s’y intéresse pas : même le langage le montre ! Avoir une belle copine, c’est essentiel, avoir de l’argent c’est essentiel, réussir sa vie, c’est essentiel… Oui, bravo, on insiste bien sur ce qui est essentiel pour soi, mais « soi »… ? Quelle est l’essence de soi qui réalise plein de choses prétendument essentielles dans sa vie ?
Ne pas connaître l’essence de l’être que « Je suis » n’est pas du tout normal ! C’est symptomatique d’une civilisation qui exclut Dieu de sa vie ! En effet, l’essence de « soi » se définit par la source spirituelle, l’Âme Céleste, ce qui est de l’ordre du divin, de l’éternel, du fondamental.
Agir plein de choses soi-disant essentielles, d’accord… mais si je ne connais pas mon essence, quel est vraiment l’essentiel de mon acte ?
L’adjectif essentiel qualifie l’acte que j’accomplis, dans la mesure où je suis conscient de manifester mon essence. Sinon, ce n’est pas un acte essentiel ! Ou alors, il faut inventer un autre mot pour le qualifier : un acte manqué, par exemple, puisqu’il provient d’un manque d’essence.
De nos jours, 95% de ce que l’on appelle essentiel sont en réalité des mensonges. Et l’on ne s’en rend pas compte, ou l’on ne veut pas. Finalement, très peu de choses sont sincèrement essentielles : même si l’on en prononce le mot, c’est creux, c’est faux !
Et le drame est que c’est surtout à « soi » que l’on ment !
On se pourlèche à prononcer que regarder les informations à la télévision, c’est essentiel, fonder une famille, c’est essentiel, avoir un travail bien rémunéré, c’est essentiel, avoir de belles relations, c’est essentiel, être à la mode, c’est essentiel, avoir des diplômes, c’est essentiel… mais tout est à l’extérieur de « soi » ! C’est comme une coquille vacante, ou nous dirons emplie de rêves, de conditionnements, mais notre essence n’existe pas, elle en est absente !
« Je » ne suis pas dedans, car sans mon essence, la coquille vide, c’est moi : « Je » suis éteint.
Ceci est dangereux, car l’être humain est avant tout un esprit, un sujet divin, une création sublime, éternelle, dont le but est de se révéler en tant que tel sur Terre, en jouant à l’école de la vie, en créant, en aimant, en agissant seul et avec ses frères et sœurs ! Et s’il ne le fait pas, alors… sans son essence de vie, l’être humain perd le sens de sa vie, et par là même, son humanité.
A un moment donné, il se sent en effet vide, à côté de sa vie, épuisé de courir après on ne sait quoi, parfois résigné, voire désespéré. C’est caractéristique, mais personne n’est obligé de continuer ainsi, et ce serait même grave de le faire ! Cela explique pourquoi ce que l’on appelle la matrice, avec ses forces de mort et de destruction, est aussi prédominante ! L’être humain vit sans son essence consciente, il est donc faible, il n’apporte quasiment rien en termes de puissance de Bien pour contrer, avec des moyens vertueux, cette emprise permanente qui cherche sa perte.
En somme, nous dirons que plein de gens sont sur la Terre, oui, en apparence, mais pour autant l’Humanité n’est pas au rendez-vous ! Or il est certain qu’elle aime les rendez-vous… essentiels ! Ne pas les vivre est une vraie souffrance, et la ressentir est salvateur : cela montre que la quête n’est pas si loin… Tout reste possible !
L’important est donc de quêter et trouver : « Quelle est mon essence !? » Ainsi, je pourrai vraiment habiter ma vie de mon essence consciente, et ma vie deviendra enfin… sincèrement essentielle ! Ce sera la clé pour une vie nouvelle, une renaissance !
Pour cela, il existe une méthode : la méditation créatrice, créée par Pierre Lassalle.
Ce n’est pas une baguette magique, mais à la pratiquer régulièrement, il est vrai que la notion de magie ou de miracle prend tout de même un sens plus palpable !
Rencontrer notre essence requiert un recul puissant face à l’attraction de la matière qui, si nous nous y identifions trop, nous projette et nous enfonce loin du divin, de l’Âme.
Or, cette méthode de méditation a justement ceci de particulier qu’elle permet une entrée profonde en soi, qui procure une bienfaisante expérience de détachement vis-à-vis de tout ce qui est matériel : ce qui alourdit et qui est éphémère, futile, utilitaire, extérieur à soi, bref, beaucoup de charge et un état d’esprit focalisé sur le monde physique, alors que ce n’est pas la vraie réalité de l’existence d’un être humain sur Terre.
C’est ce que Pierre Lassalle appelle l’Intériorisation. Ce processus, qui précède et permet l’expérience de la méditation créatrice, a fait ses preuves sur des milliers de personnes, depuis plus de 30 ans. L’Intériorisation permet un déplacement de la conscience, un passage de l’extérieur de soi vers l’intérieur de soi, garantissant que l’être humain qui souhaite vraiment découvrir son essence puisse y parvenir !
Ceci n’est pas une simple vue de l’esprit, encore moins du channeling, de la médiumnité, ou autre méditation orientale, ou de pleine conscience ou de rêve éveillé, ou autres : c’est totalement différent, et donc unique !
Il s’agit de créer en soi une nouvelle arche, pour rejoindre son Soleil intérieur, sa Source spirituelle : son Essence avec un E capital ! C’est comme un pont que l’on construit en soi, et qui permet de traverser les apparences physiques, pour pénétrer dans sa profonde intériorité.
Pour ce faire, la méditation créatrice se pratique non pas dans le corps physique, mais dans le corps éthérique, le corps de la vie (corps vital ou énergétique). Pénétrer dans cet univers intérieur permet de se ressentir vivant, certes, et aussi de ressentir sa vraie appartenance, sa vraie patrie, et… sa vraie essence !
C’est une méthode qui est enseignée en stage, en direct, pour amplifier cet aspect vivant.5 Elle permet de lâcher l’éphémère pendant le temps de la méditation, et d’apprécier ce qui est vraiment vital, pour ensuite l’amener dans sa vie de tous les jours.
Certes, c’est une façon de se détacher du monde extérieur, mais comme elle s’appelle méditation créatrice, il s’agit aussi de cultiver une dynamique intérieure, de façon à créer une relation avec sa partie divine… son essence… qui existe vraiment ! Elle vit dans le monde spirituel, et chacun a la chance et les moyens de se relier à elle par le biais de son corps éthérique. C’est pourquoi cette méthode de méditation est unique et vitale, car justement elle se pratique dans le corps éthérique !
C’est une révolution en termes de méditation ! Elle est sans comparaison aucune.
Ainsi, lorsque l’on vit l’Intériorisation, et que l’on se retrouve dans son corps éthérique, (dans son cœur éthérique, ou chakra du cœur), l’on a ce ressenti suprême de se retrouver « chez soi », et l’aspiration à rejoindre ses hauteurs célestes devient évidente.
Bien sûr, cela demande des efforts de concentration, de dynamisation de la pensée, d’élévation de conscience, mais les questions Qui suis-je ? ou D’où viens-je ? ou Quelle est mon essence ? émergent par le fait même de cette reconnaissance que « Je » ne suis pas qu’un corps, « Je » suis un esprit : dans le corps éthérique, ceci est une certitude, une reconnaissance, « Je » le ressens, « Je » le vis !
Par la suite, ce sera une démarche de dévoilement conscient et persévérant : quelle est, ou qui est mon essence ? C’est un jeu d’exploration !
Autant l’on a fait le tour de son corps physique, autant le corps éthérique est inexploré ! C’est paradoxal au fond : il nous permet d’être en connexion, en proximité avec notre vrai monde, le monde spirituel, mais en même temps, nous y intérioriser en conscience, voici qui est nouveau !
C’est très unique : dès la première reliance intime avec sa Source spirituelle… oh, comme elle est bouleversante cette vie divine qui est « soi » ! Ce n’est pas une vague énergie, ni quelque chose de rêvé ou intellectualisé, non, c’est réel, c’est vrai et c’est Soi de toute éternité !
Chaque expérience dans le cœur éthérique, l’une après l’autre, ôte tous les doutes et sentiments de vide et de désespérance.
[...]
La réélection de Donald Trump, malgré la campagne de la quasi totalité des intellectuels occidentaux contre lui, redistribue les cartes.
Les deux dernières semaines, nous avons montré que l’Iran avait abandonné son idéal révolutionnaire et s’était éloigné de ses alliés sunnites du Hamas et du Jihad islamique, et même chiites du Hezbollah libanais, d’Hachd al-Chaabi iraquien et d’Ansar Allah yéménite. Ces points sont largement confirmés par la réunion au cours de laquelle Hassan Nasrallah fut assassiné par les FDI « grâce » à des informations iraniennes, les déclarations confuses de l’ayatollah Ali Sistani en Iraq, et les mesures prises pour prévenir l’assassinat d’Abdel Malek al-Houthi au Yémen.
Puis, nous avons montré que les BRICS, au sommet de Kazan, ont affirmé leur attachement au droit international contre « l’ordre fondé sur des règles » des anglo-saxons.
Cette semaine, la victoire écrasante de Donald Trump aux élections états-uniennes marque le triomphe des jacksoniens sur les démocrates, mais aussi sur les républicains, bien que Trump ait été soutenu par leur parti. Il devrait s’ensuivre que les États-Unis cesseront leurs guerres en Ukraine et au Moyen-Orient au profit d’une guerre commerciale généralisée.
Sur le continent européen, nous avons assisté au Royaume-Uni à la chute de Rishi Sunak et à son remplacement par un membre de la Commission trilatérale (c’est-à-dire un soutien des intérêts patronaux US), Keir Starmer. Nous nous attendons, en Allemagne, à la chute du chancelier Olaf Scholz et, en France, à celle du Premier ministre Michel Barnier, sans savoir qui les remplacera.
En Occident, ces évènements ont partout le même sens : l’idéologie néo-conservatrice et la religion woke sont condamnées au profit de la défense des nations. Il s’agit d’une révolte des classes moyennes. Celles-ci, qui ne sont pas xénophobes, n’acceptent plus d’être sacrifiées, au nom de la spécialisation du monde imposée par la globalisation anglo-saxonnes.
D’une manière générale, on se dirige, dans les prochaines années, vers l’abandon aussi bien de la volonté impérialiste des Anglo-Saxons que de celle, anti-impérialiste, de l’Iran. Simultanément, on devrait assister à un renforcement du droit international, bien qu’il ne soit pas reconnu par les jacksoniens. Ceux-ci admettent cependant, en matière commerciale, l’importance des signatures. Il est probable que Washington poussera l’Initiative des trois mers en Europe centrale après avoir contraint l’Ukraine à reconnaître sa défaite face à la Russie. Il s’en suivra une montée de la Pologne au détriment de l’Allemagne et un affaiblissement de l’Union européenne. Les États-Unis et les BRICS se rejoindront sur la nécessité de coopérer, mais s’affronteront autour du statut de référence du dollar.
Ces modifications importantes nous sont encore masquées parce que nous ne comprenons pas la manière dont réfléchissent chacun de ces acteurs. Nous interprétons à tort ce qu’ils disent et ce qu’ils font en fonction de leur place dans l’ancien monde.
Nous sommes particulièrement aveugles vis-à-vis des États-Unis que nous persistons à considérer comme nos maîtres. Nous ne connaissons que la doxa néo-conservatrice et nous imaginons que les États-Unis pensent de cette manière alors qu’ils viennent de s’affranchir de leur férule.
L’élection, ou plutôt la réélection, de Donald Trump, sa victoire écrasante pour la Maison-Blanche comme pour le Congrès, marque la révolte des classes moyennes US contre les intellectuels occidentaux qui s’étaient tous ligués contre lui.
Rappelons que Donald Trump, alors qu’il était promoteur immobilier à New York, fut la première personnalité, le 11 septembre 2001 dans l’après-midi, à remettre en cause la version officielle des attentats prétendument islamistes. Par la suite, il finança, au sein du Tea Party, la contestation de la légitimité du président Barack Obama. Enfin, il s’empara du Parti républicain malgré la résistance de l’ancien vice-président Dick Cheney (qui était membre du « gouvernement de continuité » [continuity government], de ce que Trump a désigné comme « l’État profond » [Deep State]). Il fit campagne d’une manière nouvelle en se fondant sur l’observation des réseaux sociaux et en répondant de manière symbolique aux attentes des classes moyennes. Dès son élection et avant même qu’il ne siège à la Maison-Blanche, le Parti démocrate lança une campagne mondiale de diffamation contre lui. Durant tout son mandat, il dut affronter ses propres collaborateurs qui n’hésitèrent pas à lui mentir et à faire le contraire de ce qu’il leur ordonnait, puis à s’en vanter. Cependant, il parvint, seul contre tous, à interrompre la « guerre sans fin » au Moyen-Orient et le soutien militaire et financier de la CIA à Al-Qaeda et à Daesh.
Au contraire, Joe Biden composa son équipe à partir du personnel du Center for Strategic and international Studies (CSIS), du Center for a New American Security (CNAS), de la Rand Corporation, et de General Dynamics, Raytheon, Northrop Grumman et Lockheed Martin. Il relança les guerres au Moyen-Orient, puis en débuta une nouvelle en Ukraine.
Nous ignorons si Donald Trump tentera de poursuivre durant son second mandat ce qu’il avait entrepris durant le premier. Il connaît désormais les chausse-trapes de Washington et a composé une équipe dont il était dépourvu la première fois. La seule inconnue est de savoir ce qu’il a dû concéder pour pouvoir vaincre cette fois. Sa politique au Moyen-Orient a consisté à remplacer la guerre par le commerce avec les accords d’Abraham. Elle a été mal comprise car son gendre, Jared Kushner, qui avait été chargé de les mettre en œuvre, est profondément raciste. Il avait aussi transféré l’ambassade des États-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem, laissant entendre que celle-ci était la capitale du seul État juif. Durant sa campagne, il a accepté des dons considérables de la veuve de Sheldon Adelson, un soutien inconditionnel des « sionistes révisionnistes ». Nul ne sait s’il s’est engagé à soutenir en retour l’État d’Israël ou le projet colonial de Vladimir Jabotinsky.
La victoire de Donald Trump ne mettra pas fin aux affrontements, mais les déplacera du champ de bataille militaire vers celui de l’économie. Attention, pour analyser sa politique, les catégories politiques avec lesquelles nous réfléchissons depuis le XVIII° siècle s’avéreront inopérantes. Il n’entend pas choisir entre le protectionnisme et le libre-échange, mais entre des secteurs économiques : les produits qu’il défendra avec des droits de douanes parce qu’ils ne seront pas capables de rivaliser avec ceux de ses concurrents, et les produits qui sont capables d’inonder le marché global. Donald Trump n’est pas l’ami de tous les entrepreneurs, bien loin de là. Il s’oppose à ceux qui vivent au crochet de l’État en lui vendant de mauvais produits comme le fait le complexe militaro-industriel états-unien depuis trente ans. Les notions de droite et de gauche, d’interventionniste et d’isolationniste sont toutes aussi obsolètes. Ce qui se joue aujourd’hui est d’une autre nature.
Thierry Meyssan
Ce duo audacieux, Musk et Ramaswamy, a pour mission d’économiser 2 000 milliards de dollars, avec pour objectif un gouvernement plus léger d’ici 2026.
Coup de tonnerre à Washington ! Donald Trump, fraichement réélu et désormais seul maître à bord, vient de surprendre la planète entière en confiant à Elon Musk, le magnat de Tesla et SpaceX, la mission de réinventer le gouvernement américain. Son arme secrète ? Un tout nouveau ministère de l’« efficacité gouvernementale », surnommé avec une touche d’humour très « Muskienne » : le Department of Government Efficiency ou… « Doge » ! Ce clin d’œil au célèbre mème du chien Shiba Inu est à la fois une déclaration d’amour à la culture web et un pied de nez audacieux à la bureaucratie traditionnelle.
Le duo de choc : Musk et Ramaswamy, pour un gouvernement plus léger et agile
Aux côtés du climatosceptique Vivek Ramaswamy, autre homme d’affaires et soutien inébranlable du Parti républicain, Elon Musk s’attaque désormais à la bureaucratie comme il l’a fait pour les voitures électriques et les fusées : avec audace et passion. Investissant plus de 100 millions de dollars dans la campagne de Trump, Musk n’a pas hésité à plonger tête baissée dans ce défi d’envergure, fermement décidé à couper dans les dépenses « inutiles » du gouvernement. Donald Trump, avec son enthousiasme habituel, a déclaré : « Ces deux génies vont faire souffler un vent de liberté et d’efficacité dans nos agences fédérales. »
L’objectif ? Pas moins de 2.000 milliards de dollars d’économies dans un budget annuel d’environ 7.000 milliards. Avec cet argent « libéré », Trump promet de donner un nouvel élan à l’économie et de réduire le poids de la dette publique. « Apurer les dépenses excessives et rationaliser l’administration, voilà ce que veut le peuple ! » a affirmé Trump. Pour lui, ce ministère inédit, confié à deux alliés de premier plan, représente une véritable révolution, qu’il n’hésite pas à qualifier de « Projet Manhattan de notre temps ».
Le ministère Doge : quand la bureaucratie rencontre la culture internet
Le choix du nom « Doge » pour ce ministère a fait sourire plus d’un observateur. Ce clin d’œil au dogecoin, cryptomonnaie née d’une blague sur internet mais adoptée avec ferveur par Elon Musk, est le reflet d’une culture de l’innovation, mais aussi d’un humour mordant. Imaginez le ministère fédéral de l’efficacité orné d’un logo Shiba Inu ! Si Musk a souvent flirté avec l’absurde et les mèmes, il semble prêt à injecter une bonne dose de fantaisie dans la machinerie étatique. Le message est clair : l’administration Doge ne reculera devant rien pour bousculer les conventions.
Un « cadeau parfait » pour l’Amérique du 4 juillet 2026
Le duo Musk-Ramaswamy se voit confier une mission avec un timing qui fait déjà sourire : transformer le gouvernement d’ici au 4 juillet 2026, date symbolique du 250e anniversaire de la Déclaration d’Indépendance. Un objectif que Trump qualifie de « cadeau parfait » pour l’Amérique.
Alors que Musk et Ramaswamy s’attellent à cette tâche titanesque, la capitale bruisse déjà des ambitions et des changements à venir. Ce ministère, né sous le signe de l’audace, pourrait bien insuffler un vent nouveau et décoiffant dans les couloirs feutrés de Washington. D’ici là, chacun se demande : jusqu’où iront Musk et Ramaswamy pour faire de l’administration américaine une institution à la fois efficace… et un brin excentrique ?
Les prochains mois s’annoncent captivants – et qui sait, peut-être que le célèbre Shiba Inu finira par trôner dans les bureaux fédéraux.
Un simple test des ongles et l’usage de la nattokinase pourraient aider à prévenir les thromboses.
Le Dr Sucharit Bhakdi propose une nouvelle méthode de diagnostic pour les personnes susceptibles de souffrir de dommages causés par la vaccination. Ce test, développé en collaboration avec le Dr Hannes Strasser, mesure la circulation sanguine dans les vaisseaux capillaires dans le lit de l’ongle, qui est indicatif des problèmes de thrombose.
Selon Bhakdi et Hannes, les tests démontrent également un effet bénéfique de la nattokinase (2000FU 2xJ) pour la prévention et le traitement des thromboses.
Le professeur Sucharit Bhakdi est un éminent microbiologiste qui s’est exprimé à de nombreuses reprises dans le cadre des politiques sanitaires “Covid-19” déployées en Allemagne. Il est également l’un des membres fondateurs de l’association Doctors for Covid Ethics qui a été parmi les premières à alerter l’Agence européenne des médicaments des risques liés aux injections Covid, notamment les thromboses.
Une annonce encourageante
Lors d’une interview récente pour Report 24, le professeur Bhakdi a présenté des essais en cours concernant la prévention de troubles vasculaires liés aux vaccins.
« C’est incroyable. Ma collègue a fait cet examen du lit de l’ongle sur toutes les personnes chez qui l’on suspectait des dommages causés par la vaccination. Chez beaucoup, je pense même la majorité, elle a effectivement observé des changements vasculaires. »
Cette pandémie est terminée, mais les autorités britanniques semblent très désireuses d’en lancer une autre, politique cette fois, où divers ministères semblent aligner des propositions visant à maintenir le plus grand nombre possible de personnes à la maison.
Ces ministres semblent très optimistes quant aux capacités de surveillance de divers dispositifs portables, allant jusqu’à permettre le fonctionnement de « prisons virtuelles » (cette fois-ci pour de vrais criminels, et non pour la population en général prise dans des mesures de confinement).
Les responsables des soins de santé aimeraient que les gens s’occupent eux-mêmes de leur santé, dans la mesure du possible, et sont prêts à distribuer des dispositifs portables aux patients pour qu’ils puissent surveiller chez eux tous les aspects de leur vie, de la glycémie à la guérison du cancer ; et maintenant, la ministre de la justice Shabana Mahmood envisage des « prisons virtuelles ».
Quelle serait la différence entre l’assignation à résidence et ces « alternatives à la prison » ? La première est généralement prononcée pour des délits mineurs ou pour permettre aux détenus de purger les six derniers mois de leur peine dans ces conditions (« HDC », comme on l’appelle au Royaume-Uni, qui impliquent un certain niveau de surveillance technologique), tandis que l’autre est nouvelle et implique un nouveau rôle de la technologie, dans l’esprit de Shabana Mahmood.
Il existe aujourd’hui des balises GPS, des téléphones et des montres (tous « intelligents », c’est-à-dire tout à fait capables d’assurer une surveillance 24 heures sur 24 – mais la question de savoir si cela serait légal et dans quelles juridictions reste à éclaircir).
Pour Mahmood (et ceux qui sont à l’origine des politiques dont il est le porte-parole), la solution pour que les prisons manquent de place (tout comme les hôpitaux manquent apparemment de personnel et de capacité) est de faire en sorte que les gens purgent leur peine de plus de cinq ans à domicile.
Et, tout comme le travail à domicile semble faire l’objet d’un retour de bâton, au Royaume-Uni du moins, le fait de se soigner ou de s’emprisonner chez soi, en payant ses propres charges, etc. semble gagner du terrain.
Les travaillistes n’hésitent pas à « travailler » avec les conservateurs, en particulier sur des initiatives qui laissent perplexe, voire qui heurtent le bon sens.
« Théoriquement, un juge pourrait prononcer une peine d’assignation à résidence. Nous avons aujourd’hui l’occasion de remodeler et de redéfinir ce à quoi ressemble une peine en dehors d’une prison », a déclaré Mahmood.
Selon le Telegraph, Mahmood devrait confirmer David Gauke, « l’ancien ministre conservateur de la justice, à la tête de la révision des peines qui vise à garantir qu’il y aura suffisamment d’espace pour enfermer les criminels les plus dangereux, à encourager les délinquants à tourner le dos à la criminalité et à étendre les peines en dehors de la prison ».
Selon les opposants issus des rangs des défenseurs des droits civils et numériques, il s’agit là d’un nouvel exercice dystopique qui mérite d’être critiqué, notamment parce que le plan prévoit de s’inspirer des (autres) États autoritaires de surveillance qui espionnent leurs propres citoyens – peut-être simplement, pour l’instant, parce qu’ils le font de manière plus efficace que le Royaume-Uni.
Nous savons ce que tout cela dit de ces régimes autoritaires ordinaires, mais que nous apprend cette « ambition » sur les autorités britanniques ?
Selon le Sun, la question et le problème sont réels – le journal cite « un initié » qui affirme que le problème réel ou perçu de la surpopulation – telle que nous la connaissons aujourd’hui – des prisons, devrait se répercuter sur le reste de la société.
Si l’on en croit le rapport – qui cite un initié anonyme – « nous (le Royaume-Uni) devons tirer les leçons des États de surveillance qui espionnent leurs propres citoyens et utilisent les mêmes tactiques avec nos criminels ».
Cela peut paraître incrédule à ceux qui considèrent encore que les gouvernements comme celui du Royaume-Uni sont, en ce qui concerne les pratiques démocratiques, purs comme la neige.
Mais la réalité semble être que la position officielle se rapproche de plus en plus d’une situation où les prisons de « sécurité maximale » peuvent, en fin de compte, être installées n’importe où. Y compris au domicile d’une personne.
Souvenez-vous de l’époque où la technologie était une force au service du bien, et au service des personnes qui l’utilisaient.
Et maintenant, apparemment, oubliez cette époque.
« Les personnes soumises à des couvre-feux en détention à domicile sont en pratique soumises à une forme d’assignation à résidence, avec une étiquette à la cheville et un capteur à leur domicile, elles sont soumises à des couvre-feux, généralement pendant 12 heures par jour », a déclaré Mahmood.
« D’une certaine manière, les peines prononcées en dehors d’une prison peuvent être encore plus restrictives que la prison. »
Il convient de répéter qu’une fois que l’utilisation généralisée de la technologie de reconnaissance faciale comme mesure de surveillance est en place dans une société, cela signifie que tout le monde y est soumis – et pas seulement ceux qui sont actuellement traités comme des suspects et/ou des détenus condamnés.
Une fois mis en place et opérationnel, ce système peut très facilement être « reconverti » dans un certain nombre de scénarios, y compris la capture d’individus qui n’enfreignent aucune loi, mais qui sont simplement des dissidents politiques, idéologiques ou d’opinion.
Bonne nouvelle mes amis !
Enfin bonne, pas pour toutes les âmes sensibles de gauche qui pleurent la défaite de Kamalaty Jane, dont personne n’a voulu voir le manque de valeur face à Trump, un tantinet combattif (et que l’on peut ne pas aimer, tel n’est pas le sujet).
La bonne nouvelle c’est que l’or baisse, il s’effondre même depuis la victoire de Trump.
Pourquoi est-ce une bonne nouvelle me direz vous si l’on est détenteur d’or ?
Simple.
Je préfère un monde en paix avec de l’or qui baisse et mes enfants en vie, que mon or qui monte, une troisième guerre mondiale avec les Russes et les Chinois et mes fils se battant sur le front de l’Est contre des Nord-Coréens…
Simple.
Je vous le dis.
Un économiste de grenier normand est un homme simple, avec des préoccupations simples.
Tout mon “or” contre la vie de mes enfants.
Qu’a dit Trump ?
Qu’il n’allait pas déclencher de guerre mais mettre fin aux guerres.
Alors dites ce que vous voulez de Trump le fasciste, le raciste, le méchant, mais s’il devient un artisan de paix, alors le monde y gagnera, surtout les fils d’Ukraine et de Russie qui tombent par centaines de milliers depuis deux ans. Les mères ukrainiennes et russes y gagneront aussi. Les mères européennes, espérons-le, n’auront pas à pleurer leurs fils.
Alors oui.
L’or baisse sur des anticipations de paix.
J’aime la paix et vous ne me ferez jamais aimer la guerre.
Poutine n’arrive déjà pas occuper l’Ukraine… alors avant qu’il s’aventure plus loin cela relève de la pure imbécilité militaire et stratégique.
L’or baisse mes amis et c’est une bonne nouvelle.
Cela nous donne aussi le “montant” et le pourcentage exact de la prime de risque “géopolitique”. Merveilleux chiffre que l’on va pouvoir calculer avec précision.
L’or baisse et c’est une bonne nouvelle, car vous allez pouvoir en racheter à un meilleur prix. Nous allons avoir notre nouveau point d’entrée, parce que… l’or va remonter encore et encore.
Pourquoi ?
Parce que les taux vont baisser et que le problème des dettes ici en Europe comme là-bas en Amérique reste entier !
Il explique que l’objectif est de contrôler les vastes ressources naturelles de la Russie et de l’Eurasie, estimées à des milliers de milliards de dollars. Les États-Unis et leurs alliés cherchent à intégrer ces pays dans leur sphère d’influence économique et politique. Benz cite l’exemple de l’Ukraine, où des accords ont été signés avec des entreprises occidentales pour exploiter les ressources. Il évoque également le cas du Pakistan, où le Premier ministre Imran Khan a été destitué pour avoir adopté une position neutre sur l’Ukraine. Selon Benz, la simple neutralité de Trump dans un second mandat pourrait compromettre cette stratégie et causer d’énormes pertes financières aux intérêts occidentaux impliqués.
Sommaire :
00:00 - Introduction et contexte de la réélection potentielle de Trump
01:31 - Explication des enjeux géopolitiques en Eurasie et des ressources de la Russie
04:41 - Discussion sur les accords énergétiques en Ukraine et la privatisation
06:40 - Impact potentiel d’un second mandat de Trump sur la stratégie en Eurasie
08:26 - Analyse du cas d’Imran Khan au Pakistan et de l’ingérence américaine
11:48 - Conclusion sur l’importance de la neutralité dans ce contexte géopolitique
NB : le trillion américain vaut un billion français (soit un million de millions, ou mille milliards) ;
DoD : Department of Defense.