Nous sommes tous d’accord sur la définition du mot renaissance : il s’agit de naître une nouvelle fois, ou naître nouveau. Qui ne veut pas vivre une renaissance dans sa vie, être nouveau ? Et, est-ce possible ?
En langage des oiseaux, nous pouvons entendre ou lire « ren’Essence » = rends essence… ou essence redonnée, ou mise au monde.
Allons plus loin dans cette ouverture révélatrice !
Nous sommes tous d’accord sur la définition du mot renaissance : il s’agit de naître une nouvelle fois, ou naître nouveau. Qui ne veut pas vivre une renaissance dans sa vie, être nouveau ? Et, est-ce possible ?
En langage des oiseaux, nous pouvons entendre ou lire « ren’Essence » = rends essence… ou essence redonnée, ou mise au monde.
Allons plus loin dans cette ouverture révélatrice !
Essence, es-tu là ?…
On emploie très souvent l’adjectif essentiel, qui signifie majeur, crucial, à mettre au centre, indispensable. On en parle autant pour des objets que des sujets. Mais on utilise assez peu le nom essence. On a même fait devenir cet adjectif essentiel un nom, qui gomme le mot essence dans le langage : « ceci est mon essentiel ».
On oublie peu à peu l’essence…
On peut parfois la retrouver dans des questionnements : quelle est l’essence de ton projet ? par exemple, et… difficile de répondre à une question que l’on se pose rarement ! En creusant, on va l’entendre comme étant l’origine du projet, ou sa valeur fondamentale, ce qui le fait vivre. Mais c’est tout de même assez rare de nos jours : on emploie davantage essentiel. L’effet produit est que cela focalise sur le résultat, qui est ce dont chacun tient surtout compte de nos jours, car nous sommes dans un monde matérialiste, orienté vers et obsédé par les apparences physiques et les résultats matériels.
Or chercher l’essence requiert de passer au-delà du voile des apparences !
Il est très différent de dire : je vais te parler de l’essence de mon action, et je vais te parler de l’essentiel de mon action ! Quand on dit l’essentiel, on synthétise et on n’aborde que le plus important de ce qui a été agi. Quand on dit l’essence, on s’extrait de l’action, et on revient plus haut, derrière, dans l’invisible, on se retourne vers la source causale, la vie originelle, spirituelle, éternelle, qui a induit qu’une action est ensuite advenue. C’est très différent !
Nous ne pourrons certes pas changer le fait que les gens aient fait disparaitre le nom essence de leur langage courant, en revanche, nous pouvons nous efforcer, en plus de le voir en face, de comprendre pourquoi ce miroir nous est tendu, ce qu’il signifie, et comment le résoudre, au-delà du langage en lui-même.
Présentement, force est de constater, au travers du changement linguistique décrit ci-dessus, que l’on fuit l’essence. Dès lors, le mot essentiel se trouve vidé du nom, du sujet, dont il provient. Eh oui, l’adjectif essentiel provient du nom essence, et sans l’essence, rien ne peut être essentiel, ceci est une lapalissade !
On laisse l’essence dans l’obscurité, dans les confins grisâtres de l’ignorance générale, si ordinaire et acceptée comme normale ! On ne s’y intéresse pas : même le langage le montre ! Avoir une belle copine, c’est essentiel, avoir de l’argent c’est essentiel, réussir sa vie, c’est essentiel… Oui, bravo, on insiste bien sur ce qui est essentiel pour soi, mais « soi »… ? Quelle est l’essence de soi qui réalise plein de choses prétendument essentielles dans sa vie ?
Quelle est l’essence de soi ?
Ne pas connaître l’essence de l’être que « Je suis » n’est pas du tout normal ! C’est symptomatique d’une civilisation qui exclut Dieu de sa vie ! En effet, l’essence de « soi » se définit par la source spirituelle, l’Âme Céleste, ce qui est de l’ordre du divin, de l’éternel, du fondamental.
Agir plein de choses soi-disant essentielles, d’accord… mais si je ne connais pas mon essence, quel est vraiment l’essentiel de mon acte ?
L’adjectif essentiel qualifie l’acte que j’accomplis, dans la mesure où je suis conscient de manifester mon essence. Sinon, ce n’est pas un acte essentiel ! Ou alors, il faut inventer un autre mot pour le qualifier : un acte manqué, par exemple, puisqu’il provient d’un manque d’essence.
De nos jours, 95% de ce que l’on appelle essentiel sont en réalité des mensonges. Et l’on ne s’en rend pas compte, ou l’on ne veut pas. Finalement, très peu de choses sont sincèrement essentielles : même si l’on en prononce le mot, c’est creux, c’est faux !
Et le drame est que c’est surtout à « soi » que l’on ment !
On se pourlèche à prononcer que regarder les informations à la télévision, c’est essentiel, fonder une famille, c’est essentiel, avoir un travail bien rémunéré, c’est essentiel, avoir de belles relations, c’est essentiel, être à la mode, c’est essentiel, avoir des diplômes, c’est essentiel… mais tout est à l’extérieur de « soi » ! C’est comme une coquille vacante, ou nous dirons emplie de rêves, de conditionnements, mais notre essence n’existe pas, elle en est absente !
« Je » ne suis pas dedans, car sans mon essence, la coquille vide, c’est moi : « Je » suis éteint.
Ceci est dangereux, car l’être humain est avant tout un esprit, un sujet divin, une création sublime, éternelle, dont le but est de se révéler en tant que tel sur Terre, en jouant à l’école de la vie, en créant, en aimant, en agissant seul et avec ses frères et sœurs ! Et s’il ne le fait pas, alors… sans son essence de vie, l’être humain perd le sens de sa vie, et par là même, son humanité.
A un moment donné, il se sent en effet vide, à côté de sa vie, épuisé de courir après on ne sait quoi, parfois résigné, voire désespéré. C’est caractéristique, mais personne n’est obligé de continuer ainsi, et ce serait même grave de le faire ! Cela explique pourquoi ce que l’on appelle la matrice, avec ses forces de mort et de destruction, est aussi prédominante ! L’être humain vit sans son essence consciente, il est donc faible, il n’apporte quasiment rien en termes de puissance de Bien pour contrer, avec des moyens vertueux, cette emprise permanente qui cherche sa perte.
En somme, nous dirons que plein de gens sont sur la Terre, oui, en apparence, mais pour autant l’Humanité n’est pas au rendez-vous ! Or il est certain qu’elle aime les rendez-vous… essentiels ! Ne pas les vivre est une vraie souffrance, et la ressentir est salvateur : cela montre que la quête n’est pas si loin… Tout reste possible !
L’important est donc de quêter et trouver : « Quelle est mon essence !? » Ainsi, je pourrai vraiment habiter ma vie de mon essence consciente, et ma vie deviendra enfin… sincèrement essentielle ! Ce sera la clé pour une vie nouvelle, une renaissance !
Pour cela, il existe une méthode : la méditation créatrice, créée par Pierre Lassalle.
Ce n’est pas une baguette magique, mais à la pratiquer régulièrement, il est vrai que la notion de magie ou de miracle prend tout de même un sens plus palpable !
Rencontrer notre essence requiert un recul puissant face à l’attraction de la matière qui, si nous nous y identifions trop, nous projette et nous enfonce loin du divin, de l’Âme.
Or, cette méthode de méditation a justement ceci de particulier qu’elle permet une entrée profonde en soi, qui procure une bienfaisante expérience de détachement vis-à-vis de tout ce qui est matériel : ce qui alourdit et qui est éphémère, futile, utilitaire, extérieur à soi, bref, beaucoup de charge et un état d’esprit focalisé sur le monde physique, alors que ce n’est pas la vraie réalité de l’existence d’un être humain sur Terre.
Qu’est-ce qui permet ce détachement salutaire ?
C’est ce que Pierre Lassalle appelle l’Intériorisation. Ce processus, qui précède et permet l’expérience de la méditation créatrice, a fait ses preuves sur des milliers de personnes, depuis plus de 30 ans. L’Intériorisation permet un déplacement de la conscience, un passage de l’extérieur de soi vers l’intérieur de soi, garantissant que l’être humain qui souhaite vraiment découvrir son essence puisse y parvenir !
Ceci n’est pas une simple vue de l’esprit, encore moins du channeling, de la médiumnité, ou autre méditation orientale, ou de pleine conscience ou de rêve éveillé, ou autres : c’est totalement différent, et donc unique !
Il s’agit de créer en soi une nouvelle arche, pour rejoindre son Soleil intérieur, sa Source spirituelle : son Essence avec un E capital ! C’est comme un pont que l’on construit en soi, et qui permet de traverser les apparences physiques, pour pénétrer dans sa profonde intériorité.
Pour ce faire, la méditation créatrice se pratique non pas dans le corps physique, mais dans le corps éthérique, le corps de la vie (corps vital ou énergétique). Pénétrer dans cet univers intérieur permet de se ressentir vivant, certes, et aussi de ressentir sa vraie appartenance, sa vraie patrie, et… sa vraie essence !
C’est une méthode qui est enseignée en stage, en direct, pour amplifier cet aspect vivant.5 Elle permet de lâcher l’éphémère pendant le temps de la méditation, et d’apprécier ce qui est vraiment vital, pour ensuite l’amener dans sa vie de tous les jours.
Certes, c’est une façon de se détacher du monde extérieur, mais comme elle s’appelle méditation créatrice, il s’agit aussi de cultiver une dynamique intérieure, de façon à créer une relation avec sa partie divine… son essence… qui existe vraiment ! Elle vit dans le monde spirituel, et chacun a la chance et les moyens de se relier à elle par le biais de son corps éthérique. C’est pourquoi cette méthode de méditation est unique et vitale, car justement elle se pratique dans le corps éthérique !
C’est une révolution en termes de méditation ! Elle est sans comparaison aucune.
Ainsi, lorsque l’on vit l’Intériorisation, et que l’on se retrouve dans son corps éthérique, (dans son cœur éthérique, ou chakra du cœur), l’on a ce ressenti suprême de se retrouver « chez soi », et l’aspiration à rejoindre ses hauteurs célestes devient évidente.
Bien sûr, cela demande des efforts de concentration, de dynamisation de la pensée, d’élévation de conscience, mais les questions Qui suis-je ? ou D’où viens-je ? ou Quelle est mon essence ? émergent par le fait même de cette reconnaissance que « Je » ne suis pas qu’un corps, « Je » suis un esprit : dans le corps éthérique, ceci est une certitude, une reconnaissance, « Je » le ressens, « Je » le vis !
Par la suite, ce sera une démarche de dévoilement conscient et persévérant : quelle est, ou qui est mon essence ? C’est un jeu d’exploration !
Autant l’on a fait le tour de son corps physique, autant le corps éthérique est inexploré ! C’est paradoxal au fond : il nous permet d’être en connexion, en proximité avec notre vrai monde, le monde spirituel, mais en même temps, nous y intérioriser en conscience, voici qui est nouveau !
C’est très unique : dès la première reliance intime avec sa Source spirituelle… oh, comme elle est bouleversante cette vie divine qui est « soi » ! Ce n’est pas une vague énergie, ni quelque chose de rêvé ou intellectualisé, non, c’est réel, c’est vrai et c’est Soi de toute éternité !
Chaque expérience dans le cœur éthérique, l’une après l’autre, ôte tous les doutes et sentiments de vide et de désespérance.
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