J’ai écrit il y a peu de temps que les États-Unis avaient choisi une position jusqu’auboutiste.
Je le maintiens.
Ils se sont mis dans un engrenage terrible et au lieu de naviguer avec prudence et retenue, ils essaient de placer les Européens dans le même engrenage qu’eux.
Ils prennent acte de la rupture maintenant définitive de la coopération internationale, ils jouent à fond le clivage et veulent le rendre irréversible.
La position de la France et de l’Italie favorables aux négociations et à un retour au statu quo antérieur, la position des industriels Allemands qui veulent rester partenaires de la Chine, les dérange.
Ils saisissent ce moment de bascule en Ukraine pour forcer la main aux Européens avec l’aide des chevaux de Troie atlantistes forcenés comme von der Leyen, Charles Michel et les Verts allemands.
Je crois que nous sommes à un point critique au plan des relations internationales. Ou au plan de l’ordre mondial.