Les diplomates américains s’appuient sur une interprétation fallacieuse du la constitution, prétextant être dans leur droit.
« Les frappes étaient à la fois nécessaires pour faire face à la menace et d’une portée limitée de manière appropriée. En ce qui concerne le droit national, le président a pris cette mesure conformément à son autorité en vertu de l’article II pour protéger le personnel américain en Irak ».