En soi, l’histoire de ProtonMail est un exemple d’entreprise résistante, puisqu’elle n’a pu donner qu’une adresse IP. Si le militant utilisait Gmail, LaPoste ou Orange, alors le gouvernement aurait mis la main sur l’ensemble de ses mails et de ses correspondants. Or grâce au chiffrement mis en place, ProtonMail est techniquement incapable de livrer toutes ces données.