Une fois que l’identifiant numérique aura accès à un ensemble de données très personnelles, le WEF propose de l’utiliser pour décider si les utilisateurs sont autorisés à « posséder et utiliser des appareils », « ouvrir des comptes bancaires », « effectuer des transactions financières en ligne », « effectuer des transactions commerciales », « accéder à des assurances, à des traitements », « réserver des voyages », « passer les contrôles frontaliers entre pays ou régions », « accéder à des services tiers qui s’appuient sur les connexions aux médias sociaux », « déclarer des impôts, voter, percevoir des allocations », etc.