Pour cette raison, Telegram est une épine dans le pied de nombreux gouvernements qui cherchent des moyens de contrôler le contenu et les utilisateurs, comme ils le font sur Twitter, Facebook, Google et ailleurs.
C’est la réticence de Telegram à céder et à mettre sa vaste plate-forme à la disposition des forces de l’ordre et des censeurs qui lui vaut d’être saluée comme un héros lorsque cela se produit en Russie.