C’est une question de bon sens et c’est la norme de protection des enfants dans la société occidentale depuis des centaines d’années. Ce n’est qu’au cours de la dernière décennie que cette règle évidente a été abandonnée au nom de l’apaisement du mouvement transgenre.
Bien que le pendule soit revenu récemment dans certaines parties de l’Europe et dans les États rouges des États-Unis, le culte « woke » a tellement imprégné certaines sociétés comme un cancer malin qu’il est presque impossible de s’en débarrasser. Si vous avez un sens morbide de la curiosité et que vous voulez savoir à quoi ressemblerait la vie sous un autoritarisme woke total, vous pourriez déménager en Californie, ou ne pas chercher plus loin que la Suisse.
Oui, le même pays qui est constamment présenté comme la « bonne façon » de gérer une république est devenu un cauchemar d’extrême gauche, avec un gouvernement, des écoles et des hôpitaux complètement intégrés dans l’agenda LGBTQ. Les personnes qui ont des enfants en Suisse ne sont pas en sécurité et n’ont pas leur mot à dire sur l’avenir médical de leur enfant.
Des parents suisses souhaitant rester anonymes ont raconté leur histoire d’horreur juridique après que leur fille de 13 ans se soit proclamée « garçon ». Les parents ont découvert des preuves que leur enfant avait été préparée par ses enseignants, ses conseillers scolaires et même des médecins à adopter des croyances transgenres et qu’ils avaient commencé à la désigner comme un garçon avec un nouveau nom masculin en classe. Lorsque les parents ont découvert cela, ils se sont plaints auprès des responsables de l’école, mais le gouvernement suisse leur a retiré l’enfant à l’âge de 16 ans.
Les parents signalent que des fonctionnaires, des représentants de l’hôpital et de l’école ont uni leurs forces, utilisant l’appareil juridique pour faire pression sur eux afin qu’ils signent des documents autorisant l’administration de bloqueurs de puberté à leur enfant. La plus haute juridiction du canton de Genève – la Cour de justice – a statué contre les parents, qui avaient fait appel d’une ordonnance leur enjoignant de remettre les documents. Ils doivent désormais le faire sous la menace de poursuites pénales. Soutenus par l’ADF International, les parents vont tenter de faire appel de cette décision. Les parents notent :
« Non seulement l’État nous a séparés de notre fille parce que nous nous sommes opposés à sa ‘transition’, mais nous sommes maintenant menacés de poursuites pénales si nous n’aidons pas à sa ‘transition légale’ en lui remettant des documents légaux ».
« L’État ne devrait pas avoir ce pouvoir. Si cela peut nous arriver, cela peut arriver à d’autres parents. Nous ne renoncerons pas à protéger notre fille et nous ferons appel de cette décision ».
Les opérations de changement de sexe et les bloqueurs de puberté présentent un risque élevé de dommages physiques irréversibles pour les enfants, y compris la stérilisation. La communauté des activistes transgenres a longtemps cherché à supprimer et à nier l’existence de ces risques. Des pays comme la Grande-Bretagne ont récemment interdit les procédures de transition de genre pour les enfants en raison des nombreux dangers qu’elles comportent. Le programme trans ne vise pas seulement à endoctriner les enfants sur le plan idéologique, il est aussi un moyen pour l’État d’effacer les droits parentaux. Une implication massive du public est nécessaire pour contrer cette tendance.