La Banque de France prévoit quatre ou cinq autres expériences cette année et l’année prochaine, impliquant davantage d’entreprises privées et d’autres banques centrales étrangères. Elle a déjà travaillé avec la Banque Nationale suisse, l’Autorité monétaire de Singapour (MAS) et la Banque centrale de Tunisie sur des projets distincts de paiement transfrontalier.
« L’euro numérique ne peut être un succès que s’il fait partie de la vie quotidienne des Européens. Il doit apporter une valeur ajoutée par rapport aux solutions existantes »