Un collectif de parents s’était rencontré en 2016 et avait ouvert l’école privée et hors contrat en 2018, avec deux salariés à plein temps et une subvention. À son maximum au moment de la crise sanitaire, la classe « multiâge » comptait une vingtaine d’élèves de 3 à 9 ans. La journée, les enfants avaient des temps « d’apprentissage autonome au contact de la nature » et aussi des moments pour apprendre à leur rythme les compétences obligatoires, lecture, écriture ou maths.
« L’enfant passe une ou deux heures à jouer dans la gadoue, et après ses performances en maths sont très bonnes. Je pense que les bonnes hormones, le plaisir et l’enthousiasme, sont vertueuses pour l’apprentissage. Les enfants avaient de très très bons résultats. »