Selon Elon Musk, la Commission européenne aurait suggéré à X de censurer discrètement certains discours, sans en informer le public. En échange, X serait épargnée des amendes. X a refusé cet accord, contrairement à d’autres plateformes qui l’auraient accepté. Vous ne rêvez pas, l’UE demande de comploter contre ses propres citoyens !
Avec plus de 112 millions d’utilisateurs actifs mensuels en Europe, X occupe une place centrale dans le débat public et la diffusion de l’information en temps réel.
Cette accusation met gravement en cause l’intégrité et la transparence des institutions européennes. Elle soulève également des questions cruciales sur la liberté d’expression et la censure dans l’espace numérique. La censure non divulguée porte atteinte au débat public et aux fondements de nos démocraties. Des procédures légales sont actuellement en cours contre X pour non-respect des réglementations numériques, avec des sanctions potentielles à la clé.
Musk a ouvert un débat essentiel sur la transparence et la responsabilité des médias sociaux et des institutions régulatrices.Les accords de censure secrets révèlent une dérive inquiétante vers un contrôle total de l’information, manipulant l’opinion publique, influençant la politique et menaçant la liberté d’information et notre démocratie.
De l’UE du chantage à l’UE de la censure, il n’y a qu’un pas. Le Digital Services Act (DSA) était censé protéger les consommateurs européens, mais il semblerait qu’il soit en train de les sanctionner.
« La Commission européenne a proposé ???? un accord secret et illégal : si nous censurions discrètement les discours sans en parler à personne, ils ne nous imposeraient pas d’amende. Les autres plateformes ont accepté cet accord. ???? ne l’a pas fait. »