Si la mort de 6550 ouvriers esclavagisés est traitée comme un fait anodin, si les souffrances des millions de travailleuses et travailleurs au Qatar sont invisibilisées : que reste-t-il de notre dignité ?
Si on autorise, si on participe, si on collabore à une compétition aussi mortifère, aussi corrompue, aussi privatisée : que reste-t-il des valeurs du sport ?
« Le Mondial 2022 au Qatar, c’est un petit peu de sport, énormément d’argent, et des violations massives des droits humains »