Elle a notamment fait retirer au début 2020 l’hydroxychloroquine du Pr Raoult de la liste des médicaments en vente libre – une substance « vénéneuse » –, soi-disant sur les ordres de l’ANSES (l’agence de sécurité sanitaire), ou, euh, de l’ANSM (l’agence de sécurité du médicament), elle ne sait plus trop, devant la commission d’enquête du Sénat.
Les Français s’en souviennent très bien. Pour elle, cette mémoire est de l’antisémitisme.
Les attaques contre sa personne sont en réalité des attaques contre ses décisions, contre sa politique, attaques qu’elle transforme allègrement en attaques antisémites. C’est pour ça qu’elle a été installée à ce poste, au vu de ce qui se tramait contre les Français ?
Aujourd’hui, se présentant comme une victime – ce culot ! –, elle pleurniche chez Haziza. L’accusation d’antisémitisme est devenue un bouclier contre la justice.