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Mel Gibson en 4.4.2

Le Media en 4-4-2Portrait en 4-4-2 : Mel Gibson, ou l’anti-Hollywood

Le Media en 4-4-2 - 18 jan 2025

Mel Gibson, acteur et réalisateur emblématique, a marqué l'histoire du cinéma avec des films inoubliables comme "Mad Max" et "La Passion du Christ".

   

Cependant, sa carrière a également été jalonnée de controverses et de scandales qui ont fait de lui une figure à la fois admirée par beaucoup et décriée par la presse mainstream.

Un parcours presque sans faute
Mel Columcille Gerard Gibson est né le 3 janvier 1956 à Peekskill dans l’État de New York. Sixième de 11 enfants, il est un acteur, réalisateur, producteur et scénariste américano-australo-irlandais. Il n’a jamais clairement défini sa nationalité, se réclamant de ses trois origines. Son père, Hutton Peter Gibson, était un catholique sédévacantiste, ancien vétéran de la Seconde Guerre mondiale et ex-champion du jeu télévisé Jeopardy ; le 1er mai 1944, il épouse Anne Patricia Reilly, née en Irlande, à l’église paroissiale catholique de Our Lady of Good Counsel à Brooklyn, dans l’État de New York. La grand-mère paternelle de Mel Gibson était chanteuse d’opéra et son grand-père paternel, John Hutton Gibson, était un millionnaire qui avait fait fortune dans le tabac ; toutefois, il n’aidera jamais son fils ni son petit-fils financièrement.

À 12 ans, en 1968, Mel quitte les États-Unis pour l’Australie, sur la décision de son père qui veut éviter que son fils aîné ne soit enrôlé pour la guerre au Vietnam, et qui par ailleurs ne supporte plus ce qu’il nomme la « décadence morale » des États-Unis. À Sydney, Mel Gibson étudie au National Institute of Dramatic Art. Après l’obtention de son diplôme, Mel joue dans quelques films et pièces de théâtre mais c’est grâce à son interprétation du rôle-titre dans le film post-apocalyptique « Mad Max », en 1979, qu’il se fait réellement connaître. Ce que peu de gens savent, c’est que quelques jours avant l’audition pour « Mad Max », Mel s’était fait tabasser par trois autres jeunes, et c’est en voyant son visage tuméfié et plein de bleus que le réalisateur de « Mad Max » décide de le recruter ! Ce film connaîtra un énorme succès au box-office en Amérique et à l’international. Gibson rencontre à cette époque son épouse, Robin Moore, avec qui il aura neuf enfants.

Après « Mad Max », Mel se lance dans des films d’un tout autre registre : « Tim », sorti en 1979, dans lequel l’acteur joue le rôle d’un jeune adulte, naïf et retardé mentalement, qui tombe amoureux d’une quadragénaire (rassurez-vous, il ne devient pas président de la République !). Dans un autre long-métrage intitulé « Gallipoli » (1981), il incarne un champion de course à pied qui s’enrôle dans l’armée. Il remportera deux AFI Awards comme meilleur acteur, dans les deux films mentionnés précédemment. Ensuite, l’acteur enchaîne avec le deuxième opus de « Mad Max » (1981), considéré par la critique comme meilleur que le premier ; il joue ensuite dans « The River » (1984), son premier film entièrement américain contrairement aux premiers, tous produits et tournés en Australie. Puis il reprend le costume de Mad Max en 1986 qui « achève de le faire connaître du grand public ».

En 1987, Gibson tourne dans « L’Arme fatale », 1er opus d’une longue série qui entretiendra son succès. On se rappelle, pour ceux qui ont vu le film, de la scène poignante voire traumatisante où le flic joué par Mel pointe son pistolet vers son front puis se l’enfonce dans la bouche pour se suicider mais se ravise au dernier moment…

Mais Mel Gibson ne s’arrête pas là puisqu’en 1990, il incarne le personnage d’Hamlet, dans une adaptation de l’œuvre de Shakespeare par Franco Zeffirelli. Mel est alors à l’apogée de sa carrière. Il a été élu « homme le plus sexy du monde » par le magazine People en 1985 et tous les réalisateurs se l’arrachent ! Il refuse même plusieurs grands rôles tels que Bruce Wayne dans le film de Tim Burton, John McClane dans « Piège de Cristal » ou Henry Hill dans « Les Affranchis ». Grâce à l’énorme succès des deux franchises « Mad Max » et « L’Arme fatale », Mel Gibson fonde sa propre société Icon Productions, qui lui permet de produire et de réaliser ses propres films, comme « Braveheart » en 1995, dans lequel il joue et pour lequel il remporte l’Oscar du meilleur réalisateur et celui du meilleur film en 1996. Le film lui rapporte 210 millions de dollars, fortune qui lui permet d’acheter plusieurs propriétés, notamment une île aux Fidji.

Mel se concentre ensuite sur l’acting puis réalise à nouveau l’un de ses plus grands films, peut-être même le plus grand, « La Passion du Christ » (2004). L’œuvre est critiquée mais rapporte au box-office mondial 611 millions de dollars. Le réalisateur est élu personnalité américaine la plus importante au monde par Forbes en juin 2004 et en 2006, la fortune de Gibson est estimée à 850 millions de dollars. Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes pour Mel jusqu’au 28 juillet 2006. Ce jour-là, l’acteur/réalisateur est arrêté en état d’ivresse par une patrouille de police et il se met à proférer des insultes antisémites à l’encontre de l’un des deux officiers qui se trouve être juif. C’est le début de la descente aux enfers…

Mel Gibson, « La Passion du Christ » et l’antisémitisme
C’est au moment de la sortie de « La Passion du Christ » que les premières accusations d’antisémitisme éclatent ! L’Anti Defamation League (ADL), une puissante organisation non gouvernementale, l’équivalent de la LICRA en France, juge le film antisémite. En effet, selon Eugène Korn, directeur des affaires interreligieuses de l’ADL, le film « alimente l’antisémitisme en renforçant l’idée que les juifs sont coupables de la mort de Jésus ». Le propos sous-entendu serait donc que Pilate serait le seul responsable de la mort de Jésus et que l’implication des juifs dans le meurtre du Messie serait largement exagérée.

Cette déclaration pourrait prêter à rire si cela n’avait pas posé de problèmes pour la diffusion du film ; en effet, le patron du circuit des salles MK2, Marin Karmitz, a refusé de diffuser « La Passion du Christ » dans ses salles, prétextant que le film était « fasciste », « antisémite » et « d’une violence inouïe ». Autant la dernière affirmation est compréhensible puisque Jésus est torturé, battu, cloué sur la Croix et ensanglanté, autant déclarer que ce film est « antisémite » voire « fasciste » est de la pure diffamation ! En outre, le co-fondateur de Miramax, le tristement célèbre Harvey Weinstein, avait appelé ses associés français de TFM pour leur demander de ne pas distribuer le film en France. Face à la polémique aux États-Unis, la Commission des relations interconfessionnelles avait « publié un guide de réflexion sur le film » et précisé que les « descriptions dramatiques de l’histoire de la Passion ont une histoire tragique. Excités par de telles représentations, certains chrétiens ont étiqueté les juifs comme ceux qui ont tué le Christ, ce qui a parfois conduit à des actes de violences contre des juifs ». L’ADL a même tweeté que le mythe selon lequel les juifs ont une responsabilité collective dans le meurtre de Jésus a été désavoué par des historiens et leaders chrétiens.

Cependant, si l’on se réfère à l’évangile de Matthieu chapitre 27, versets 20-26, il est bien écrit : « Les grands prêtres et les anciens poussèrent les foules à réclamer Barabbas et à faire périr Jésus. Le gouverneur reprit : “Lequel des deux voulez-vous que je vous relâche ?” Ils répondirent : “Barabbas !” Pilate leur dit : “Que ferai-je donc de Jésus appelé le Christ ?” Ils répondirent tous : “Qu’il soit crucifié !” Pilate demanda : “Quel mal a-t-il donc fait ?” Ils criaient encore plus fort : “Qu’il soit crucifié !” Pilate, voyant que ses efforts ne servaient à rien, sinon à augmenter le tumulte, prit de l’eau et se lava les mains devant la foule, en disant : “Je suis innocent du sang de cet homme : cela vous regarde !” Tout le peuple répondit : “Son sang, qu’il soit sur nous et sur nos enfants !” Alors, il leur relâcha Barabbas ; quant à Jésus, il le fit flageller, et il le livra pour qu’il soit crucifié.” ». Dans ces versets évangéliques, l’on voit bien que les grands prêtres et les anciens excitent et manipulent les foules pour faire assassiner Jésus. Toutefois, il est bien évident que le peuple juif actuel et celui de l’époque ne sont pas dans leur globalité entièrement responsables de la mort du Messie, mais le peuple juif de Jérusalem a bien une responsabilité dans la mort du Christ.

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Fluor et QI en baisse

Aube DigitaleDes niveaux élevés de fluorure et des scores de QI inférieurs chez les enfants

Aube Digitale - 16 jan 2025

Une nouvelle étude établit un lien entre des niveaux élevés de fluorure et des scores de QI inférieurs chez les enfants

   

Suite à la publication en août 2024 d’un rapport du gouvernement américain établissant un lien entre des niveaux plus élevés de fluorure dans l’eau potable et un QI plus faible chez les enfants, une nouvelle étude menée par les National Institutes of Health semble confirmer ces résultats.

La nouvelle analyse, publiée lundi dans JAMA Pediatrics, révèle que l’exposition au fluorure dépassant 1,5 milligramme par litre (mg/L) est associée à une diminution de l’intelligence chez les enfants.

L’étude, menée par le National Toxicology Program (NTP) des États-Unis, a duré neuf ans et constitue la plus grande méta-analyse réalisée à ce jour sur les effets du fluorure sur la santé.

Les études examinées ont mesuré les niveaux de fluorure dans l’eau potable et dans l’urine. Les auteurs ont utilisé le fluor urinaire comme indicateur de l’exposition totale au fluor.

74 études examinées
Parmi les 74 études examinées, 64 ont établi un lien entre des niveaux d’exposition au fluorure plus élevés et un QI plus faible chez les enfants. La force de cette association est considérée comme modérée à importante.

Trente et une études ont constaté une relation dose-réponse, c’est-à-dire qu’une augmentation des niveaux de fluorure dans l’eau de boisson était liée à une diminution supplémentaire des résultats de QI chez les enfants.

Toutefois, la relation entre le fluor et les résultats inférieurs en matière de QI ne persistait que lorsque les concentrations de fluor dans l’eau de boisson étaient supérieures à 1,5 mg/l, soit plus que la norme actuelle de 0,7 mg/l pour l’eau de boisson fluorée.

Le seuil de 1,5 mg/l est la même concentration que celle identifiée dans le rapport du NTP d’août 2024. Ce rapport a été cité plus de 120 fois dans un procès qui a conduit le tribunal à statuer que l’Environmental Protection Agency (EPA) devait réviser sa norme actuelle de 0,7 mg/L pour l’eau potable.

En évaluant le fluor urinaire, les chercheurs ont constaté que chaque augmentation de 1 mg/L de fluor urinaire était associée à une diminution moyenne de 1,14 à 1,63 point de QI.

Le fluorure peut traverser la barrière hémato-encéphalique et s’accumuler dans les zones du cerveau responsables de la cognition et de la mémoire, bien que ses effets sur le cerveau ne soient pas encore clairs.

Les résultats de l’étude éclairent les futures évaluations des risques et des avantages liés à l’exposition au fluorure, écrivent les auteurs, en soulignant notamment la contribution significative de l’eau et des boissons fabriquées avec de l’eau fluorée, comme les sodas, les jus de fruits, la bière et certaines eaux en bouteille, à l’ingestion totale de fluorure.

Aux États-Unis, on estime qu’environ 40 à 70 % des apports en fluor proviennent de l’eau de boisson fluorée.

L’Organisation mondiale de la santé a fixé à 1,5 mg/l la dose maximale de fluorure dans l’eau de boisson et le service de santé publique des États-Unis recommande une concentration de fluorure de 0,7 mg/l dans l’eau de boisson. Cependant, « des niveaux de fluorure supérieurs à 1,5 mg/L sont trouvés dans les puits et les systèmes d’eau communautaires qui desservent près de 3 millions de personnes aux États-Unis », a déclaré Christine Bruske Flowers, directrice de la communication aux Instituts nationaux de la santé, au Epoch Times.

Food & Water Watch contre l’EPA
En septembre 2024, devant un tribunal fédéral californien, l’organisation environnementale à but non lucratif Food & Water Watch a poursuivi l’EPA, arguant que l’ajout de fluorure à l’eau potable était nocif. Le juge a donné raison à Food & Water Watch, estimant que le niveau actuel de fluorure dans l’eau potable (0,7 mg/l) pose un « risque déraisonnable » pour le quotient intellectuel des enfants.

Cette décision se fonde sur le rapport du NTP, qui a constaté que les concentrations de fluorure proches de la norme actuelle de l’EPA présentaient un risque pour le développement neurologique.

L’EPA est désormais tenue de prendre des mesures pour remédier à ce risque, ce qui pourrait entraîner des changements importants dans la manière dont nous traitons l’eau potable.

Désaccord des experts
Malgré les conclusions de l’étude, les experts ne s’entendent pas sur la signification des résultats.

Les études qui ont suggéré un lien entre l’exposition au fluor pendant l’enfance et la réduction du QI « ont leurs limites », a déclaré au Epoch Times Suparna Mahalaha, professeur adjoint à l’école de médecine dentaire de l’université Case Western, qui n’a pas été associée à l’étude.

Dans un éditorial publié en même temps que la nouvelle étude, le Dr Steven Levy, un dentiste qui n’a pas participé à l’étude, souligne qu’il n’y a « aucune preuve » d’un effet néfaste aux niveaux de fluorure inférieurs couramment utilisés dans les systèmes communautaires de fluoration de l’eau.

Un exemple qu’il a cité en opposition à l’étude du NTP est l’utilisation par les chercheurs du fluorure urinaire comme moyen de mesurer l’exposition au fluorure à long terme, déclarant que de telles mesures ne sont pas valables parce que « le fluorure a une courte demi-vie et qu’il y a une variation substantielle à l’intérieur des jours et d’un jour à l’autre ».

Flowers a souligné l’importance de l’eau fluorée et son utilisation depuis des décennies pour réduire les caries dentaires et améliorer la santé bucco-dentaire en général.

Cependant, l’augmentation des modes d’exposition au fluor peut également mettre en danger les femmes enceintes et les enfants.

La consommation de fluor par le biais d’aliments et de boissons préparés avec de l’eau fluorée, de dentifrices et de bains de bouche peut augmenter l’exposition totale au fluor des enfants et des femmes enceintes « et peut affecter le développement neurologique du fœtus, du nourrisson et de l’enfant », a ajouté Flowers.

Mahalaha note que la concentration de fluorure dans l’eau potable est bien inférieure à celle qui est ajoutée au dentifrice et aux bains de bouche, c’est pourquoi il est essentiel de s’assurer que les enfants n’avalent pas ces produits.

Les tubes de dentifrice portent des avertissements contre l’ingestion, car un apport excessif de fluorure peut être nocif.

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Trump - empire américain

VoltairenetTrump et Musk, le Canada, le Panama et le Groenland, une vieille histoire

Voltairenet - 15 jan 2025

Le président réélu Donald Trump a évoqué une possible annexion du canal de Panama, du Canada et du Groenland. Un projet farfelu qui figurait déjà sur une carte, imaginée en 1941 par un adepte du mouvement technocratique.

   

Or, c’est la branche française de ce mouvement qui inventa le transhumanisme cher à Elon Musk, dont le grand-père fut responsable de la branche canadienne du mouvement technocratique.

es déclarations du président états-unien réélu, Donald Trump, avant son investiture, annonçant qu’il se proposait d’acheter le Groenland (ce qu’il avait déjà comparé en 2019 à une « grosse transaction immobilière ») et d’annexer aussi bien le Canada que le canal de Panama nous ont stupéfaits. Aucun dirigeant occidental n’avait tenu de tels propos depuis la Seconde Guerre mondiale. La classe dirigeante états-unienne y a plutôt vu une « nouvelle frontière », c’est-à-dire de nouveaux territoires où leur pays pourrait continuer sa progression.

Le gouvernement danois, dont dépend le Groenland, a indiqué que celui-ci n’est pas à vendre, que c’est un « territoire autonome » dont seuls les Groenlandais sont propriétaires. Le chancelier allemand, Olaf Scholz, a appelé que « le principe de l’inviolabilité des frontières s’applique à tous les pays... qu’il s’agisse d’un très petit, ou d’un pays très puissant. » Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a commenté : « Il ne fait évidemment aucun doute que l’Union européenne ne laisserait pas d’autres nations du monde s’attaquer à ses frontières souveraines. » Selon le ministre britannique des Affaires étrangères, David Lamy, Donald Trump « soulève des inquiétudes à propos de la Russie et la Chine dans l’Arctique, qui concernent la sécurité économique nationale » des États-Unis, Ce sont « des questions légitimes. » Enfin, pour la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, ces déclarations sont « davantage un message destiné » à « d’autres grandes puissances plutôt que des revendications hostiles envers ces pays. Il s’agit de deux territoires où ces dernières années nous avons assisté à un activisme croissant de la Chine. »

Le Premier ministre du Canada, Justin Trudeau, qui s’est fait élire en tant que fils de Pierre Trudeau et donc comme défenseur de l’indépendance nationale, s’est avéré n’être qu’un suiviste de Washington. Il n’avait donc rien à répondre à ce qui paraît être une évidence : en adhérant aux États-Unis, son pays n’aurait rien à perdre qu’il n’a déjà perdu et tout le reste à gagner. Il a donc démissionné.

Concernant le canal de Panama, Donald Trump avait insinué qu’il était exploité par l’armée chinoise. Le président du Panama, José Raúl Mulino, lui a répondu : « Le canal n’est contrôlé, directement ou indirectement, ni par la Chine, ni par la Communauté européenne, ni par les États-Unis ni par toute autre puissance. En tant que Panaméen, je rejette fermement toute expression qui déforme cette réalité ».

Nous allons exposer ici que ces idées d’annexion ne sont pas nouvelles, mais datent de la crise de 1929, et qu’elles correspondent à un corpus idéologique cohérent défendu, jusqu’à la semaine dernière, par le seul multi-milliardaire Elon Musk que nous connaissions plutôt comme un admirateur de l’ingénieur serbe Nicolas Tesla et comme un adepte du transhumanisme.

Lors de la « Grande dépression », c’est-à-dire de la crise de Wall Street et de la tempête économique qui suivit, la totalité des élites états-uniennes et européennes considéra que le capitalisme, sous sa forme d’alors, était définitivement mort. Joseph Staline proposa le modèle soviétique comme seule réponse à la crise, tandis que Benito Mussolini (ancien représentant de Lénine en Italie) proposa au contraire, le fascisme. Mais aux États-Unis, une troisième solution fut proposée : la technocratie.

Critiquant la lecture traditionnelle de l’offre et de la demande, l’économiste Thorstein Veblen s’intéressa aux motivations des acheteurs. Il montra que l’homme qui peut s’offrir du loisir le fait en réalité pour conforter sa supériorité sociale, et doit par conséquent le montrer. Les loisirs ne sont donc pas une forme de paresse, mais « expriment la consommation improductive du temps ». Par conséquent, dans de nombreuses situations, contrairement à ce que l’on croit, « Plus le prix d’un bien augmente, plus sa consommation augmente également » (paradoxe de Veblen). Ce ne sont donc pas les prix, mais les comportements de groupe et les motivations individuelles qui dictent l’économie.

La pensée iconoclaste de Thorstein Veblen donna naissance, entre autres, au mouvement technocratique d’Howard Scott. Celui-ci imagina que le pouvoir ne soit donné ni aux capitalistes, ni aux prolétaires, mais aux techniciens.

Ce mouvement s’est exporté en France autour de polytechniciens, notamment le romancier ésotérique Raymond Abellio (qui fonda la secte dont François Mitterrand fut membre jusqu’à sa mort) et de Jean Coutrot, l’inventeur du transhumanisme. De fil en aiguille, ce mouvement aurait engendré dans les milieux occultistes du régime de Philippe Pétain une société secrète, la Synarchie.

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ZFE - DPE

HashtableDPE, ZFE : la lutte contre les gueux s’intensifie

Hashtable - 14 jan 2025

DPE, ZFE, quelles nouvelles réjouissances se cachent derrières ces acronymes parfaitement dignes de l’ENA ?

   

Dans la lutte contre la pauvreté, les politiciens français ont tout compris et le 1er janvier 2025 est à marquer d’une pierre blanche : avec la mise en application des restrictions actives et sanctionnées pour le DPE et les ZFE, la France entre dans nouvelle ère de bonheur sucré où les pauvres seront consciencieusement pourchassés.

Le Diagnostic de Pauvreté par l’Écologie

Déjà évoqué dans ces colonnes, le DPE est cette contrainte administrative imposée aux logements permettant de relier de façon grotesque des objectifs écologiques parfaitement ridicules avec des contraintes énergétiques sorties d’un chapeau : adopté en 2021, ce diagnostic effectué sur un logement vise à déterminer s’il est thermiquement conforme à la doxa (le DPE vaut alors « A ») ou s’il est responsable d’un génocide d’ours polaires (et il est alors déclaré « G »).

Or, depuis le 1er Janvier dernier, les logements déclarés G sont désormais interdits à la location ce qui provoque inévitablement de fortes tensions sur le marché immobilier de certaines villes qui n’en avait guère besoin, et ce, même si tout le monde comprend (confusément) qu’une telle interdiction va être très compliquée à faire respecter.

Nos législateurs imaginaient officiellement que ce diagnostic pousserait les propriétaires à améliorer l’isolation de leurs logements. Officieusement, les boboïdes comprenaient assez bien que les moins aisés, incapables de faire les travaux correspondants, finiraient par renoncer à louer, faisant ainsi fuir les gueux hors des villes.

Bien évidemment, les choses prennent une tournure vinaigrée à mesure qu’on découvre l’ampleur réelle des effets de bords, surtout lorsqu’on se rend compte que le diagnostic est une vaste blague qui se transforme en véritable arnaque, le DPE étant devenu un argument commercial : le marché s’est adapté avec, outre des DPE purement bidons et des DPE « de complaisance » (une fraude estimée à 21 milliards d’euros tout de même), des notes enjolivées qui permettent à un logement de passer à une meilleure catégorie au-dessus. Concrètement, cela se traduit par des pics de DPE aux frontières entre deux lettres comme on peut le voir sur le joli graphique suivant.

S’il y a bousculade à la frontière C/D puis D/E puis E/F, c’est que tout le monde comprend l’importance d’avoir plutôt un C qu’un D, un D qu’un E, etc. Et le marché s’adapte. Autrement dit, ces lettres n’ont plus réellement de valeur ; par exemple, 19% des biens classés F passent artificiellement à la lettre E, 6% des E sont surclassés en D. Cela se traduit bien sûr par un meilleur prix de vente (entre 8 et 10% plus élevé).

En somme, cela ne permet plus vraiment de mesurer l’isolation d’un logement, et l’obligation d’État s’est transformée en fardeau supplémentaire entre vendeur et acheteur qui se retrouvent à sinon mentir au moins bidouiller la réalité pour s’en sortir. Ce n’est qu’une contrainte de plus qui vient gripper davantage le marché de l’immobilier, déjà pas trop fluide.

Au passage, notons que le fait de rénover ne change rien à la facture : an Allemagne, malgré des milliards investis dans la rénovation énergétique des bâtiments depuis une décennie, la consommation énergétique du logement est restée stable. Échec économique, échec écologique, une réussite socialiste typique. Bonus du socialisme et des contraintes autoritaires : non seulement la baisse des dépenses de chauffage ne compense pas le coût des travaux, mais les rénovations agissent souvent comme un facteur d’augmentation des loyers.

Rassurez-vous : cette lutte (contre-productive et surtout ratée) contre les pauvres ne s’arrête pas là puisqu’en parallèle, le 1er janvier est aussi l’occasion pour les ZFE de passer à l’étape suivante, celle des interdictions.

Les Zones de Féroce Élimination
Là encore issues d’une loi de 2021 (année riche en âneries écolodestructives), ces « zones à faibles émissions » sont officiellement destinées à lutter contre un faux problème (celui d’un air pas assez pur dans les agglomérations) par le truchement d’une solution absurde (empêcher la circulation de certains types de motorisations) sous couvert d’écologie, de santé et de lutte contre le génocide d’ours polaires.

Officieusement, il s’agit là encore de virer des grandes agglomérations le plus grand nombre possible de véhicules, ceux qui ne sont pas capables d’atteindre le « crit’air 2 » donc notamment les plus anciens qui sont ceux qui font certes un peu plus de bruit et de fumée mais qui, c’est pratique, sont généralement conduits par des gueux. La coïncidence n’est pas fortuite et représente, c’est génial pour les promoteurs de cette idée, jusqu’à 30% des véhicules d’une zone considérée.

Bien évidemment, les arguments initiaux (lutter contre la méchante pollution) sont aussi bidons que sont veules les motifs cachés des écolos derrière cette interdiction : comme le mentionne cet article bien renseigné, la pollution n’arrête pas de diminuer depuis des décennies dans les agglomérations sans ces ZFE grotesques, et ces dernières gesticulations n’améliorent en rien les tendances.

Il ne s’agit ici que de bouter le pauvre hors de la ville et d’user pour cela de moyens aussi vexatoires que possibles.

D’ailleurs, le peuple ne s’y est pas trompé lorsqu’on lui a effectivement demandé son avis, ce qui fut fait en 2023 par le Sénat : après une participation record (plus de 50.000 réponses complètes sur le site), 86% des particuliers et 79% des professionnels interrogés se sont opposés à la mise en œuvre des ZFE, notamment à cause des coûts prohibitifs des véhicules jugés « propres » (et pour cause, ils sont réservés à l’élite pas cracra).

En outre, la consultation a mis en lumière les risques d’exclusion sociale et de creusement des inégalités, notamment pour ceux résidant en périphérie des agglomérations ou dans les zones rurales, où l’accès à des alternatives à la voiture est limité.

C’est logique, puisqu’il s’agit de l’objectif recherché. Et l’avis du peuple fut donc consciencieusement bafoué, comme il se doit en République du Bisounoursland.

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Candace Owens et les Macrons

Revolution 2030 : autre sourceCandace Owens magistrale défie les Macrons face à leurs menaces

Revolution 2030 : autre source - 13 jan 2025

Sylvia Miami a traduit les 34 minutes (en 2 parties) de la bombe médiatique lâchée par Candace Owens.

   

Si vous n’avez pas encore vu l'intégralité du témoignage de Candace Owens qui a reçu des menaces juridiques du couple Monsieur et Monsieur Macron, lui interdisant de divulguer ces informations, voici la partie 2.

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Laurent Schwartz

NexusLe bleu de méthylène contre le cancer dévoilé par le Dr Laurent Schwartz

Nexus - 12 jan 2025

Un remède universel ?

   

L'oncologue Laurent Schwartz nous parle de ses 20 ans de recherches sur le bleu de méthylène en médecine et ses effets sur le soin de certains cancers et de nombreuses pathologies.

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US vs Yemen

VoltairenetAprès l’Iraq, la Libye, Gaza, le Liban et la Syrie, le Pentagone attaque le Yémen

Voltairenet - 09 jan 2025

Thierry Meyssan : C’est une course contre la montre que le Pentagone a enclenchée avant que le président Donald Trump prenne ses fonctions.

   

Après avoir détruit l’Iraq, le Libye, Gaza, le Liban et la Syrie, il lance ses hommes contre le Yémen. Ne prenez pas les apparences pour la réalité : officiellement Israël réplique aux bombardements d’Ansar Allah et les États-Unis aux attaques contre des navires occidentaux. En réalité, la destruction du Yémen n’est qu’une étape dans celle de l’ensemble des institutions politiques du Moyen-Orient élargi. Ne croyez pas ce que l’on vous dit sur l’inéluctabilité du choc des civilisations, tout ceci n’est qu’une mise en scène pour vous faire accepter l’inacceptable.

Depuis le 7 octobre 2023, nous assistons à un massacre des Palestiniens, à une invasion du Liban et de la Syrie. Depuis deux semaines, la guerre se déplace au Yémen.

Comme toujours, les médias internationaux segmentent les informations et nous expliquent chaque évènement par certains facteurs locaux, parfois exacts, parfois faux. Pendant que nous nous dépatouillons avec cette mixture, nous ne parvenons pas à percevoir que tous ces évènements appartiennent un plan plus large et qu’il n’est pas possible de vaincre sur un front si l’on ignore jusqu’où il s’étend.

Ce à quoi nous assistons est la troisième étape du plan élaboré par Donald Rumsfeld et l’amiral Arthur Cebrowski, en 2000. Dans la tradition états-unienne, que le général Smedley Butler avait résumé en 1933 dans son célèbre discours War Is a Racket (La Guerre est un racket), le Pentagone s’est donné pour mission de détruire toutes les institutions politiques du « Moyen-Orient élargi » (c’est-à-dire d’une zone allant de l’Algérie au Kazakhstan en passant par la Somalie, à l’exception d’Israël et éventuellement du Maroc).

Smedley Butler expliquait : « J’ai effectué 33 ans et 4 mois de service actif, et durant cette période, j’ai passé la plupart de mon temps en tant que gros bras pour le monde des affaires, pour Wall Street, et pour les banquiers. En bref, j’étais un racketteur, un gangster au service du capitalisme. J’ai aidé à sécuriser le Mexique, plus particulièrement la ville de Tampico, au profit des groupes pétroliers américains en 1914. J’ai aidé à faire de Haïti et de Cuba un endroit convenable pour que les hommes de la National City Bank puissent y faire des profits. J’ai aidé au viol d’une demi-douzaine de républiques d’Amérique centrale au bénéfice de Wall Street. J’ai aidé à purifier le Nicaragua au profit de la banque américaine Brown Brothers de 1902 à 1912. J’ai apporté la lumière en République dominicaine au profit des entreprises sucrières américaines en 1916. J’ai livré le Honduras aux entreprises fruitières américaines en 1903. En Chine, en 1927, j’ai aidé à ce que l’entreprise Standard Oil fasse ses affaires en paix. »

Aujourd’hui, les forces armées états-uniennes, dont la mission n’est pas de défendre l’intégrité territoriale de leur pays, mais de défendre le capitalisme dans sa version la plus sombre (la défense de la patrie US incombe à la seule Garde nationale), détruisent l’Iraq depuis 2003, la Libye et la Syrie depuis 2011, le Yémen depuis 2014, et bientôt l’Iran.

Le docteur Henry Kissinger aurait dit : « It may be dangerous to be America’s enemy, but to be America’s friend is fatal » (Il est dangereux d’être un ennemi de l’Amérique, mais être son ami est fatal).

C’est ce qu’avait dit Mouammar Kadhafi, au sommet de la Ligue arabe de 2008 : non seulement les États-Unis ne respectent pas leurs alliés, mais ce sont généralement leurs premières victimes. Il prenait l’exemple du président iraquien Saddam Hussein, ancien agent de la CIA, pendu après que son pays ait été vaincu, et mettait en garde ses confrères. Il a pourtant par la suite fait alliance avec le président George Bush Jr. et démantelé son arsenal nucléaire. Il en fut chaleureusement remercié avant que son pays ne soit détruit et qu’il soit lynché.

En 2002 [6], l’Arabie saoudite était parvenue de justesse à échapper à la destruction. Mais ce n’est que partie remise. Dans ce jeu sinistre, chaque domino est appelé à tomber l’un après l’autre. Sans exception.

Selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri), qui fait autorité en matière de commerce des armes, les États-Unis ont fourni 22 milliards de dollars d’armement à Israël pendant le massacre des Gazaouis. Ces armes comprennent, entre autres, 70 000 tonnes de bombes, c’est-à-dire autant que toutes celles utilisées pour détruire à la fois Dresde, Hambourg et Tokyo durant la Seconde Guerre mondiale.

Nous persistons à tenir Benyamin Netanyahou comme responsable du nettoyage ethnique à Gaza. Certes, c’est lui qui en a pris la responsabilité dans la lignée des déclarations de son maître Vladimir Ze’ev Jabotinsky, mais il n’est qu’un petit exécutant de la politique de Washington. De même, nous pouvons accuser Netanyahou de mettre en œuvre le plan d’Oded Yinon au Liban et le plan « A Clean Break : A New Strategy for Securing the Realm » (Une rupture nette : une nouvelle stratégie pour sécuriser le royaume d’Israël) en Syrie. Tout cela est important, mais partiel.

Nous persistons à tenir les Britanniques pour responsables de la progression du sectarisme au Moyen-Orient. Certes, c’est eux qui, avec Lawrence d’Arabie, organisèrent la Grande révolte arabe de 1916-1918 qui mit au pouvoir les Séoud et la secte des Wahhabites en Arabie saoudite. Certes, ce sont eux qui, avec Lord Herbert Samuel, organisèrent la Grande révolte arabe de 1936-1939 en Palestine mandataire. Certes, ce sont eux qui, avec Sir James Craig, ont organisé le Printemps arabe des années 2011-2012 qui mit au pouvoir la Confrérie des Frères musulmans en Égypte. Et ce sont eux, encore, qui se tiennent aujourd’hui derrière Ahmad el-Chareh à Damas. Mais s’ils soutiennent systématiquement les guerres des États-Unis et en profitent toujours pour en tirer profit, ce ne sont pas eux qui mènent le jeu.

Nous voyons aujourd’hui la guerre se déplacer au Yémen. Ce pays est déjà profondément marqué par les opérations préliminaires qui s’y déroulent depuis 2014 : près de 400 000 morts, directs ou indirects. Officiellement Israël réplique aux bombardements d’Ansar Allah, officiellement les États-Unis et le Royaume-Uni répliquent, quant à eux, aux attaques contre des navires en mer Rouge. Mais Ansar Allah ne fait que soutenir les civils gazaouis massacrés par les FDI, ce que nous devrions tous faire. Le Conseil de sécurité des Nations unies, réuni le 30 décembre à New York, n’a pu que se rendre à l’évidence : « Ce n’est que par une approche unie et coordonnée que nous pouvons espérer parvenir à la paix et à la sécurité pour tous les peuples du Yémen et de la région. » Il n’y a qu’une seule guerre au Moyen-Orient élargi depuis 23 ans.

Le Pentagone avance à marche forcée, sachant que, le 20 janvier, Donald Trump sera réinvesti président des États-Unis. Or, c’est lui qui, le 21 mai 2017 à Riyad, a stoppé la « guerre sans fin », en exigeant de certains régimes arabes qu’ils cessent de soutenir les organisations terroristes affiliées au Pentagone. Celle-ci avait dû s’interrompre jusqu’aux élections truquées de 2020.

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Apocalypse 2025

Géopolitique profondeLes signes de l'Apocalypse sont là : 2025 L’avènement du diable ?

Géopolitique profonde - 07 jan 2025

Les prophéties de l'Apocalypse de Saint-Jean semblent s’accomplir sous nos yeux. Un monde où le mal se dissimule sous des formes séduisantes, changeant nos repères et inversant les valeurs fondamentales.

   

Le 1er janvier 2025, Jean Molliné, Andrzej Linowiecki et Jean-Luc Robert étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.

Jean Molliné, auteur engagé et ancien professeur de philosophie, est connu pour “Apocalypse : On n’a rien vu venir”, un ouvrage prophétique dénonçant les dérives sociétales et spirituelles contemporaines. Sans surprise, ce livre est boycotté par les grandes maisons d’édition. Il vient nous en parler lors de cette émission.

Andrzej Linowiecki est un écrivain et historien polonais spécialisé dans les mouvements d’opposition en Europe de l’Est, notamment ceux qui ont lutté contre le communisme. Il a écrit plusieurs ouvrages sur l’histoire de la Pologne, en particulier sur le mouvement Solidarnosc, et son rôle dans la chute du régime soviétique.

Jean-Luc Robert est un auteur et conférencier français reconnu pour ses analyses critiques sur les dérives sociétales, en particulier celles liées à la santé mentale et à la neurodiversité. Après une carrière en tant que psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez les enfants, il se tourne vers l’écriture et la vulgarisation pour dénoncer les excès de la médicalisation à outrance. Son dernier ouvrage, “Neuro divers +”, explore les enjeux et les conséquences du surdiagnostic chez les jeunes et les adultes, dévoilant les dangers de la marchandisation de la santé mentale.

Les prophéties de l’Apocalypse selon Saint-Jean prennent vie

Saint-Jean annonçait une inversion des valeurs, où le mal se substitue au bien. Aujourd’hui, des signes visibles, comme les cérémonies des Jeux Olympiques ou la reconstruction de Notre-Dame, illustrent cette prophétie. Le mal agit à visage découvert, cherchant légitimation et acceptation.

Pourquoi ce silence face au mal ?

Le mal avance masqué sous des idéaux séduisants tels que le progrès et la liberté. L’idéologie transgenriste, sous couvert d’inclusivité, s’attaque à l’identité humaine dès l’enfance. Les médias et élites, en ridiculisant les opposants, facilitent l’acceptation d’idées autrefois impensables.

Les architectes d’un nouvel ordre immoral

Des lobbies, institutions et loges orchestrent cette chute en attaquant éducation, culture et religion. La pédocriminalité commence à être banalisée dans certaines œuvres, tandis que des symboles occultes imprègnent les cérémonies publiques, habituant les masses à l’inversion des valeurs.

L’Apocalypse : réalité ou avertissement ?

Les crises actuelles – sociales, économiques et spirituelles – rappellent les fléaux prophétisés. Ce chaos, fabriqué pour désorienter les peuples, vise à effacer tout ordre divin. Pourtant, les textes sacrés indiquent des solutions : un retour aux valeurs chrétiennes, un refus de la passivité et une reconstruction morale.

Résister face au chaos

La résistance commence par la prise de conscience et le rejet des narratifs imposés. Il faut préserver les symboles chrétiens, transmettre les valeurs traditionnelles et s’unir pour contrer les propagateurs de ces idéologies destructrices.

Pour explorer ces enjeux et comprendre les stratégies en cours, plongez dans votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.


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Dr Ana Mihalcea

Jeanne TraductionNanotechnologies, Morgellons, Injections et Géoingénierie ~ Ana Mihalcea

Jeanne Traduction - 06 jan 2025

Mary Holland, avocate et présidente du Children's Health Defense (CHD) interview le docteur Ana Milhacea sur l'autoassemblage de nanotechnologie trouvées chez les vaccinés Covid et non-vaccinés.

   

A la fin de la vidéo Ana Milhacea fait mention de deux solutions pour annihiler l'autoassemblage des nanostructures dans le sang.

« Si vous voulez empêcher les nanoparticules de s'autoassembler, vous devez utiliser un agent chélateur et un agent réducteur. Et que mentionnent ils dans leur brevet ? EDTA et acide ascorbique. C'est de là que je l'ai tiré et ça fonctionne. »

Dr. Ana Mihalcea

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2025 - neuf

Pierre LassalleAnnée 2025 : rien que du neuf !

Pierre Lassalle - 06 jan 2025

L’Année 2025 est une Année 9 (2+0+2+5 = 9). C’est la troisième et dernière année spirituelle de cette suite de neuf années (depuis l’Année 1 = 2017).

   

Alors que les Années de 1 à 6 sont des périodes de révélation de soi, ou d’accomplissement matérialiste et des cycles favorables aux relations, les Années 7, 8 et 9 sont principalement d’ordre spirituel.

Ces trois dernières années permettent de s’élever et d’évoluer au-delà de ce qui semblait possible dans les six années précédentes !

Cette année est la dernière du cycle de neuf ans et la troisième et dernière des trois années spirituelles.

Si vous avez laissé passer l’Année 7 (la plus subtile des trois) et l’année 8 (avec son gros potentiel de transformation), il ne vous reste plus que cette année, l’Année 9, pour relancer votre évolution spirituelle et atteindre un sommet.

L’Année 9 est la plus cosmopolite, la plus universelle, la plus vaste qui s’ouvre sur l’infini.

C’est une période très favorable à l’expression de la créativité (3 fois 3 !), mais à condition que celle-ci contienne une bonne part d’ouverture au monde spirituel, ou nous dirons à « plus grand que soi », et non au petit égo, « roi » de son placard miteux !

Lâchez un peu le profane et ouvrez-vous au sacré durant cette période. Elargissez votre horizon ! Ne restez pas les deux pieds dans le même sabot !

Passez en revue les principaux secteurs de votre vie, et voyez tout ce qui pourrait passer à la vitesse supérieure durant cette période.

Apportez du 9 dans ces secteurs de vie !

Faites preuve d’ouverture d’esprit !

Et, pour entamer cette nouvelle année dans l’état d’esprit du défi et de l’expansion de conscience que propose cette Année 9, nous vous confions une histoire à partager…

Une histoire… une prophétie

L’histoire commence dans les années ‘94/’95 au moment où Internet est devenu « grand public » … et elle se développe sur 35 ans environ.

[...]

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base documentaire covid

Kaya Team UniverseSi ça pue, céki, cékoi et ça vient d’où ?

Kaya Team Universe - 05 jan 2025

Où nous reparlons des conséquences du Covid-19 et plus précisément du faux vaxxin, baptisé, généralement, le « sérum expérimental », qui nous a été vendu en tant que « vaccin contre le Covid-19 ».

   

Le lecteur remarquera que nous écrivons LE Covid-19 et non LA Cov-19 car nous n’ignorons pas, contrairement à certains, que le Covid-19 était UN virus ; tandis que si nous parlions d’une bactérie, nous pourrions dire alors LA bactérie !

Tout d’abord, une bonne nouvelle

Un rapport de plus de cinq cents pages en provenance des Etats-Unis tord le cou des fanatiques du Covid-machin ! Ce sont, principalement, des parlementaires républicains qui l’ont rédigé, après deux ans de recherches diverses.

Vous ne le trouverez certainement pas en France, surtout dans la presse classique qui ne s’intéresse jamais à la vérité !
Le Journal de Montréal (Québec), il y a quelques jours en a révélé quelques extraits :

Le virus aurait, très probablement, été le résultat d’un accident de laboratoire à Wuhan (Chine), dans le cadre de recherches sur le gain de fonction financées par l’État américain. Les gouvernements américains et chinois, le Dr Fauci, ainsi que des membres de la communauté scientifique, auraient alors tenté de dissimuler les faits ;
Les « 6 pieds » (un peu moins de deux mètres) de distanciation sociale, recommandé par les dirigeants mondiaux, ne reposaient sur aucune base scientifique ;
Encore plus interpellant, aucune preuve scientifique n’aurait permis de démontrer que les masques avaient été efficaces pour contrôler la propagation du virus ; en réalité, les virus, minuscules, passent à travers les mailles des masques ;
Le gouvernement n’aurait pas tout dit, et a même volontairement mésinformé les citoyens, en qualifiant, notamment, la théorie de l’accident de laboratoire de « théorie du complot » ; en réalité, ce sont les scientifiques et les gouvernants qui ont fait preuve de complotisme ;
L’efficacité du vaccin aurait été (largement) exagérée…

Et, bien d’autres vérités sont ainsi mises en lumière dans le rapport.

Celles et ceux qui étaient traités autrefois (parfois encore maintenant) de complotistes n’avaient pas tort. Cette enquête explosive vise à le prouver… et à se préparer pour la prochaine pandémie !

Autre sujet : les odeurs

Certaines personnes, de plus en plus nombreuses confient qu’elles peuvent sentir les odeurs émises par les vaxxés.

Deux chercheurs, Jeff Rense et Erica Khan pensent que la plupart de ces odeurs sont certainement des composés organiques volatils (ou COV), c’est-à-dire des gaz et des aldéhydes émis par la peau et tous les fluides corporels des injectés.

[...]

« Les personnes à qui l’on a injecté l’arme biologique (le sérum expérimental) commencent à souffrir des effets d’un dysfonctionnement immunitaire. En raison de la production interne et de la persistance de la protéine toxique spike, leur corps lutte pour surmonter les dommages constants infligés par ce poison métabolique dans presque toutes les parties du corps. À mesure que le sang et le système vasculaire dégénèrent, les organes et les tissus sont privés de l’oxygène et des nutriments nécessaires à leur fonctionnement, tandis que les déchets s’accumulent et empoisonnent les cellules. Avec le temps, d’autres organes et les tissus commencent à dégénérer et un processus de décomposition s’enclenche, ouvrant la voie aux infections opportunistes et au cancer. »

Jeff Rense et Erica Khan

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ZFE - et vignette critère

Revolution 2030 : autre sourceZFE 2025 : A Quelle Sauce Allez-Vous Etre Dévoré ?

Revolution 2030 : autre source - 05 jan 2025

Zones à Faibles Emissions : Tous les Changements Intervenant le 01 Janvier 2025.

   

Les ZFE, c’est quoi ? Rien ne vaut un exemple pratique.

« Voilà l’hypocrisie incroyable de cette écologie punitive qui ne traite pas la vraie question ! […]
C’est une aberration pour trois raisons. La première : c’est une ségrégation sociale sans précédent, car à terme […] cela représente un véhicule sur deux ! Tous ceux qui n’ont pas les moyens d’acheter un véhicule neuf – et vous savez le prix d’un véhicule neuf électrique ? – […] ou une occasion récente, seront interdits de circulation, d’accès à quarante agglomérations françaises de plus de 100 000 habitants ! […]
Enfin, il y a une autre raison. C’est qu’obligatoirement, pour appliquer ces mesures, vous êtes obligés de mettre en place un système de surveillance électronique numérique généralisé à la chinoise dans nos agglomérations. Car oui, vous allez être obligés de mettre en place des portiques avec des caméras qui vont visualiser tous les déplacements de nos concitoyens ! Le harcèlement numérique va se poursuivre, les entreprises sont en train de préparer cela. »

Dupont-Aignan