Pierre Lassalle rappelle que la qualité de nos relations dépend de la qualité de notre respiration. À chaque cycle nous inspirons de l'oxygène frais pour renouveler l'énergie de nos cellules et nous expirons les déchets qu'elles rejettent.
Mais avec un masque couvrant la bouche et le nez, qu'en est-il ?
« L’idée que nous pouvons nous préserver de propager des virus en portant des masques et en restant à une certaine distance les uns des autres est à peu près aussi réaliste que de penser que mettre un masque sur un poisson le préserverait de l’humidité… Les masques, les désinfectants, la distanciation sociale, et le fait de rester chez soi n’accomplissent rien. Comme plus d’un médecin l’a observé, il est rationnel de mettre en quarantaine les malades, mais irrationnel de mettre en quarantaine les bien-portants. »