Or, il s’avère que les immigrés ne constituent guère une charge financière pour leurs pays d’accueil. Bien au contraire. Une étude de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) vient de le démontrer en affirmant que la contribution des immigrés sous la forme d’impôts et de cotisations était supérieure aux dépenses publiques consacrées à leur protection sociale, leur santé et leur éducation.