Les instances de santé s'étaient déjà fait remarquer en avril dernier lorsque le Centre régional de pharmacovigilance de Tours avait demandé aux patients vaccinés de ne pas faire remonter leurs effets secondaires. L’établissement prétextait que pour chaque effet signalé il y avait trop de travail administratif nécessaire, compte tenu du nombre d’employés disponibles, et réclamait qu'on ne signale que « les plus graves ».