La mission du groupe est de promouvoir un environnement « sans préjugés » dans lequel les journalistes peuvent exprimer leurs préoccupations et sensibiliser le public à des questions moins connues. Interviewés, certains membres de ce groupe dénonce les biais médiatiques, tels que « le manque de contexte pour les statistiques, la couverture adéquate des traitements alternatifs, l’examen minutieux des tests PCR, l’attention portée aux effets indésirables des vaccins ou l’examen équilibré des coûts du confinement ».
« Ce sont les propriétaires et les rédacteurs en chef qui ont le dernier mot. Nous sommes donc tous d’accord pour dire que nous aimerions voir plus de journalistes devenir rédacteurs en chef et avoir leur propre journal, leur propre chaîne de télévision ou de radio, mais c’est très, très rare. Il y a toujours un rédacteur en chef quelque part qui dit non, je ne veux pas de ça, et c’est ce qui s’est passé, en particulier pendant cette pandémie. »