Stanislas Berton souligne les aspects cachés de ce mouvement, en particulier son lien avec des courants occultes, tels que le satanisme. Cette idéologie dissimule un projet plus vaste, visant à détruire les identités nationales et religieuses pour imposer une société uniformisée, dépouillée de toute spiritualité.
Ce phénomène s’inscrit dans une guerre spirituelle profonde, où le mondialisme s’oppose au catholicisme. Les partisans du mondialisme cherchent à remplacer la foi et la morale par l’argent, la technologie et le contrôle. Face à cela, le Vatican tente de défendre la souveraineté spirituelle des nations contre l’ombre d’un ordre global matérialiste.
Sous les discours de paix, le projet mondialiste cache une ambition plus sombre : la réduction de la population mondiale. Les élites financières, les multinationales, et les mouvements transhumanistes sont désignés comme les acteurs clés de cette transformation. La question est maintenant de savoir comment les nations réagiront face à cette guerre spirituelle et aux forces qui œuvrent dans l’ombre.