Malgré ce flop monumental, cette défaite historique de l’idéologie dite dominante, ou qui le croit, la presse aux ordres, comme un poulet sans tête, continue à défendre une injection qui fait peur, et à raison, aux populations qui ont eu un an pour en voir les effets nocifs. Tous ceux qui sont morts, tous ceux qui ont été touchés par les effets secondaires des trois premières injections ont été comme des bombes qui ont frappé l’esprit des sceptiques, et même des provax. Cela a réveillé les consciences. Et il fallait malheureusement en passer par là pour que les Français reprennent leurs esprits. C’est chose faite : si seulement 10 % des plus de 60 ans ont accepté de recevoir cette dose de rappel dite bivalente, alors, pour les 90 % restants, ce sera plus dur, très dur de les traîner vers les médecins qui gagnent 25 à 45 euros (le week-end !) par shoot. Les salles de shoot, elles sont là et elles sont vides !