Les attaques incessantes – qui se sont poursuivies toute la nuit et jusqu’aux premières heures du matin – se sont considérablement intensifiées alors que les troupes de combat russes continuent de rejoindre leurs unités le long du périmètre en vue d’une offensive hivernale majeure. Le président russe Vladimir Poutine a attendu patiemment que le régime Zelensky prenne conscience de la gravité de sa situation et fasse pression pour des négociations bilatérales. Mais le président ukrainien s’est obstiné à rejeter la diplomatie à chaque instant, préférant se battre jusqu’au bout. Il est pleinement soutenu dans cette décision par ses partisans à Washington, qui voient dans ce conflit une occasion d’affaiblir la Russie afin qu’elle ne puisse pas faire obstacle aux projets américains de « pivot » vers l’Asie. La transformation de l’Ukraine en un désert glacial et inhabitable est en grande partie le résultat des ambitions géopolitiques voraces de Washington.
« Les attaques précédentes avaient limité la capacité de distribution à environ 50% de la demande. Des blackouts contrôlés sur plusieurs heures par jour ont permis de donner un peu d’électricité pendant quelques heures à la plupart des régions du pays. L’attaque d’aujourd’hui a créé un problème beaucoup plus important. Non seulement les réseaux de distribution ont été attaqués, mais aussi les éléments qui relient les installations de production d’électricité de l’Ukraine au réseau de distribution. Les quatre centrales nucléaires ukrainiennes et leurs 15 réacteurs sont désormais en mode arrêt. Kiev ainsi que la plupart des autres villes d’Ukraine n’ont plus d’électricité. »