Alors que certaines personnes banalisent ce geste, ce refus est tout sauf banal. Il est au cœur de ce que nous sommes, de ce que nous faisons, de ce que nous voulons faire et de ce que nous voulons être.
Nous saurons le 29 novembre prochain lors de la rentrée parlementaire à Québec s’ils pourront y siéger ou non ; s’ils pourront faire le travail pour lequel ils ont été choisis ou non.